Lettre à Nicolas Sarkozy
DROIT ET DEVOIR, LIBERTE ET RESPONSABILITE?, certes…
Mais avant tout precisons le concept economique.
(extrait de l’univers des signes, les signes de l’univers, traitant de la question: qu’est-ce que l’art?;page 37 a 40, chapitre 4: ART ET AUTRE CONCEPT)
Si cette recherche reussit a dire, a montrer, a faire comprendre ou sentir ce qu’est l’art, le but sera d’evaluer le pouvoir de l’art, illusion ou non, sur le devenir, sur notre devenir.
Creuser les rapports que le concept d’art entretient avec les autres concepts devrait servir cette finalite, en optimisant l’apprehension des limites du concept, et en permettant de comparer les realites qu’il recouvre a des phenomenes comparables.
Ainsi, avons nous constates que lorsque l’artiste cree, sa creation est l’objet d’une perception de la part d’un public. L’oeuvre d’art, la creation est donc le support d’une transmission de message d’un emetteur vers un recepteur. Que le message ne soit pas percu, qu’il ait ete altere, d’une facon ou d’une autre, une communication s’etablit par le biais de l’art. Autrement dit, quel qu’indistinct, que nous apparaisse le concept d’art, il reste que, procedant d’un echange de signes, nous savons que l’art est un phenomene de communication.
Or, c’est en tant que les manifestation d’art usent d’un mode de communication specifique et engendrent des situations de communication comparables a d’autres situations de communication que nous pourrons mieux observer le concept.
Ainsi, quant a ce que nous pourrons considerer comme le dehors du concept, est-il envisageable de determiner les interactions qui lient l’art aux autres « instances de l’economie », jouant un role direct dans la communication des societes considerees. A savoir principalement:
la religion, la morale, la politique et le droit.
Comme nous nous appuyons sur un concept de communication a trois niveaux. Celui de la communication des biens et des services. Celui de la communication (ou circulation) des femmes ( vital pour les societes du neolithique). Et bien sure, troisieme niveau: celui de la communication des messages. Aussi, la mise en perspective de l’art avec la religion ou la politique, devrait nous permettre un appreciation au cours du temps de la maniere dont l’art et les « instances » plus specifiquement ideologiques influent sur la chaine economique de la production, la distibution et la consommation.
Notre recherche sera donc, egalement, l’occasion d’evaluer selon le type de societe consideree, de quelle facon la production domine l’economie, ou plutot comment la communication regit les modalites de la superposition de la « base economique » et des « instances ideologiques »
En effet, si la production de la vie materielle conditionne la vie sociale, la production est en retour strictement dependante de la vie sociale quant a sa perennisation.
La production des moyens de satisfaire les besoins vitaux ne se maintient pas de la meme facon en etat de guerre civile, par exemple.
Or la vie sociale, qui implique la coordination de l’action des individus de la societe, derive forcement du mode de communication d’individu a individu, d’individu a groupe, de groupe a individu et de groupe a groupe.
Ces constatations rapportees a l’univers des signes artificiels des societes, l’on concoit que l’univers des signes articiciels est la designation symbolique, du lieu, de l’espace ou se deploit la communication d’une societe; et qu’il permet presque idealement de rendre compte de la fausse opposition entre la production et les « instances ideologiques ».
Les outils, les techniques, et les produits qui decoulent de leur utilisation y existent en tant que signes artificiels crees par l’homme.
De plus, les echanges et le commerce des biens, et des services de la production participent a la circulation des signes, en ce qu’ils sont aussi un echange et un commerce de signes.
Rien ne sort de l’univers des signes artificiels. En fait , les rapports de force sont motives, de maniere comprehensible, par la maitrise de l’information et de la representation. Car la course a la propriete des moyens de production est egalement une course a l’appropiation d’une partie de l’univers des signes artificiels d’une societe.
Notre recherche, en utilisant l’art a la maniere d’un revelateur, montrera, dans cette optique, comment au fil des siecles, cette « instance de l’economie » a servi la maitrise de l’information, dans le sens d’une adequation, quasi-parfaite,de la propriete des moyens de production et de l’ensemble des signes artificiels.
Et comment en devenant ART, cette « instance » a cherche a se desolidariser des autres « instance ideologiques » pour que la maitrise d’une partie determinee de l’univers des signes artificiels, n’implique pas une maitrise totale de la communication.
extrait de la 5eme partie de l’univers des signes, les signes de l’Univers, intitule: MONTEE DE LA FACE CACHEE DU MONDE: brouillon du dernier chapitre numero 10 : ART ET ALTERNATIVE ( refondation du systeme bancaire et financier internationnal)
Comme on l’a vu dans la 2eme partie de l’univers des signes les signes de l’univers, chapitre II: ECRITURE: INSTRUMENT COMPTABLE ET RELIGIEUX AUX MAINS DES SCRIBES ET DU PHARAON (voir dans la galerie: L’allegorie du secret du pouvoir de l’ecriture), l’utilisation de la monnaie, prolongation du verbe divin aseptise de sa dimention esthetique, tend a etre l’intermediaire entre les echanges de biens et de services, au profit d’une societe pyramidale, dont elle mesure les valeur en se voulant elle meme valeur parmi les valeurs, lorsque le pharaon cherche a s’affranchir de la tutelle economique et religieuse des scribes, defenseurs du secret de l’ecriture et de la cohesion de l’univers des signes.
Or, jadis comme actuellement, c’est l’art qui regule la stabilite de la masse monetaire, ou la masse de l’univers des signes, en se situant a la peripherie de notre univers de signe, la ou il y a echange avec les signes de l’univers qu’il decode dans le sens d’une harmonie entre culture et nature, communication et moyens de production
Et, chaque fois, au cours de l’hitoire, qu’il y a eu un reajustement meurtrie dans l’ordonnance des concepts, cela a coincide avec l’epuisement des moyens de production et une economie ou la transparence de l’offre et la demande est devoyee par le mensonge, l’intrigue et la trahison.
L’equilibre de l’univers de signes humain,retrouvant sa souverainnete par la creation de lois artificielle assez ferme pour, au-dela des idees, des strategies, des illusions et des erreurs des dirigeant, defendre la liberte de l’individu, fut-il le seul a beneficie de cette liberte comme dans le cadre juridique d’une tyranie.
Ainsi, toutes politique economique visant a garantir l’existence effective pour la majorite des etres des valeurs supreme (l’amour, l’amitie, la fraternite) devrait fonder l’assise monetaire sur le plus petit denominateur commun de l’univers des signes.
A ce jour, il me semble a vue de nez que le plus petit denominateur commun de l’univers des signes humain, c’est le BITS, la plus petite unite de valeur de la sphere vituelle dont l’existence aura ete un facteur determinant dans l’eclatement du concept d’economie virtuelle.
Veuillez agreer l’expretion de mes sentiments distingues monsieur le president de la republique.
nota bene: droit et devoirs, liberte et responsabilite, oui mais a la seule condition d’une egalite entre les etres et pour cela la requalification de la notion de personne et la protection du tier de celle-ci, a savoir sa masse monnetaire dont l’ideal serait qu’elle ne soit pas assujetie a la raison pure.