Généraux, Soldats,Policiers qui avez réveillés le cœur des français en osant vous adresser directement au gouvernement, le delitement de la France n’est pas une fatalité. Ne restez pas interdit devant le mépris et l’ironie politique que vos tribunes ont suscitées. Reste aveugle celui qui ne peut voir, celui qui ne veut voir, ainsi que tout ceux chez qui la mauvaise foi et la perfidie restent les meilleurs des armes politiques …

Or, il nous est impératif et vital de ne pas nous soucier d’une classe politique ou dirigeante dominée par la haine du peuple français et des simples gens, dont le seul but demeure de faire du buisness sitôt arrivé aux postes de pouvoir ; trop de preparatif sont requis pour briser la spirale du delitement actuel.

Je préconise que les généraux, les militaires d’active et les policiers qui ont déjà fait un pas en avant se rencontrent,se concertent et envisagent de rédiger un appel à l’action susceptible de mobiliser l’ensemble de la fratrie militaire et policiere, comme le peuple français,  considération faite de ce que une force de changement, au regard de  l’échec des  » gilets jaunes » ,  ne peut plus être mobilisée  sans le soutien actif de l’armée et des forces de police.

Avant que d’aborder la question proprement dite d’un changement déterminant à la tête de l’état français est-il encore impératif de préciser ce qui sera et pourra être réalisé par la suite, afin que chaque militaire,policier ou simple citoyen désireux d’engagement concret, sache,en connaissance de cause, les perspectives qui nous attendent.

Car vouloir remédier au delitement de la France et plus spécifiquement à la derive des banlieues ou des zones de non droit en France, suppose de s’être entendu sur ce qu’il est possible et souhaitable de mettre en œuvre, en ne réduisant pas la problématique au seul fait d’une jeunesse désœuvrée ou à l’inacommodation aux lois françaises de la communauté maghrébine. Car le delitement à l’œuvre requiere différents niveaux d’analyse puisqu’il est multi-factoriel en France.

Certes, depuis le 11 septembre et significativement depuis la guerre de Syrie,  le projet politique mondiale de l’islam radicale,chaque jour s’impose  un peu plus dans nos vies et nos démocraties telle une lame de fond capable de renverser nos lois. cela est vrai, il est relayé par une partie de la communauté musulmane, et ce qui est encore plus vrai, cette frange de la population, en majorité maghrébine,  notre démocratie n’a pas réussie ni à la convaincre, ni à en apaiser les maux, en participant à son éveil culturel et en faisant reculer la pauvreté, mère de toutes les dérives et  revoltes du peuple. Aussi faudra -t-il à terme chasser du territoire tous les prédicateurs musulmans extrémistes. Que l’armée vienne en soutien des forces de police dans les zones de non-droit, appuyée par une institution politique et judiciaire capable de cibler les meneurs , cela simultanément à l’intervention armée de quadrillage du terrain,dans le but de les éloigner durablement de leur quartier d’influence, soit en les expulsant dans une autre région , hors du territoire si ils ne sont pas français ,en les emprisonnant le cas échéant, bien sur,cela en fonction des délits et des crimes commis…

Mais entendons nous,militaires et policiers, cela n’aurait pas de sens sans une politique globale et entièrement nouvelle, et ne reviendrait qu’à harceler et stigmatiser encore un peu plus une communauté devenue bouc émissaire des maux de la France. N’oublions pas combien le dévoiement et la corruption de nos dirigeants politique sont les premiers responsables de cette situation.

La jeunesse des banlieues a besoin de travailler ou du moins si un revenu universel était alloué à chaque citoyen, de pouvoir vivre dignement. Raison pour laquelle il nous faudra être capable de multiplier les offres de travail pour chacun comme créer des conditions de vie honnorable, en mettant en œuvre une politique de reindustrialisation de la France , très important même essentiel : des mesures sociales bénéfiques pour le bien être du citoyen, et non réduire ou bafouer les droits sociaux ainsi que n’ont cessé de le faire les gouvernements depuis l’an 2000. Ils nous incombera sans nuls doutes également de mettre en œuvre la réforme écologique dont a besoin le monde, comme d’appliquer stricto sensus les mesures préconisées par le collectif de citoyen désigné suite au mouvement des gilets jaunes,ainsi du crimes climatique ,arsenal juridique essentiel afin de contrecarrer les 20 multinationales responsable de plus de 50 % ,à elles seules ,de la pollution sur Terre.

Le gouvernement provisoire qui sera établi aura pour mission de poursuivre les politiciens responsables du dépeucement des biens collectifs au profit d’une élite financiere dont il sera question de modérer l’avidité juridiquement . En vue d’election présidentielle au suffrage universelle, il s’agira de créer les conditions durables d’une Démocratie participative. A cette fin, le gouvernement provisoire travaillera à ce que les deux assemblées ne soient constituée chacune que d’un tiers de parlementaires et de sénateurs élus. Les deux tiers devant être designes au hasard parmi la population pour une durée limitée ,  plusieurs nomination de citoyen devant rythmer la mandature dans l’assurance d’une parfaite représentation du peuple par le peuple, sans qu’aucun parti ne puisse s’arroger le droit de légiférer  à lui seul. Chaque grande réforme sera précédée de la désignation aléatoire d’une assemblée de citoyen en charge du sujet. Tous les lobbies seront systématiquement éloignés des ministeres régalien, la sphère marchande systématiquement dissociée du pouvoir exécutif…

A ces seules conditions non-exhaustive,   pourra être juguler le delitement de la France.

Aux généraux, aux soldats,aux policiers,aux citoyens décidés, il incombera de décider l’état major interarmées de la zone de défense de l’île de France de Saint-Germain en Laye à les suivre dans cette refondation politique totale de la France, comme il sera question de mobiliser les garnisons militaires les plus proches de la capitale pour se préparer au jour « j » …

Citoyens,citoyennes nous entrerons dans l’ Histoire durablement si notre union et notre détermination sont à  la hauteur de l’enjeu… Si nous echouons, nous ne serons pas mort sans avoir ouvert une voie royale qu’emprunterons tous nos enfants jusqu’à ce que vive une véritable Démocratie participative en France…

Généraux,  je vous souhaite courage,chance et succès,  et reste à votre disposition.

 

Patrick Rakotoasitera, General désarmé .

 

 

 

LETTRE D’UN DIGNITAIRE VIRTUEL A LA PRESIDENCE – objet : PROPOSITIONS POUR RENDRE LA POLITIQUE DU GOUVERNEMENT PLUS LISIBLE : ( lettre datée du 02 octobre envoyée le 04  octobre)

Monsieur le Président de la république Emmanuel Macron,

Je ne peux me résoudre à l’impression décevante que laisse augurer dans sa présentation actuelle aux français, la réforme du marché du travail, de la fiscalité des entreprises et des particuliers, dont, déjà, la critique de l’iniquité sociale de la vision économique qu’elle sous-tend commence à ensemencer les esprits à votre détriment – sans la mettre en perspective avec les hautes et équitables propositions que vous défendez, par ailleurs, pour rendre l’ Europe à elle-même et aux citoyens ; avant que les soubresauts de l’histoire ne risquent de la voir se perdre à nouveau dans l’utopie extrémiste, violente et totalitaire, où les peuples la pousseront inéluctablement si les dirigeants européens négligent le tournant économique, politique et stratégique historique que l’Europe doit initier en son sein, avant les élections européennes de 2019 et l’échéance de 2024.

Il y a en effet une antinomie économique radicale entre votre projet national et les perspectives macroéconomiques que vous souhaitez voir mises en œuvre au nom du Bien Commun européen, et je le devine au nom du Bien Commun Universel. Antinomie à laquelle un esprit formé comme l’est le votre à la démonstration philosophique, ne pourrait se résoudre ( je le crois )  sans y être poussé par la nécessité politique de vous concilier d’abord les suffrages des organisations internationales, des décideurs, et des acteurs économiques les plus puissants ; afin qu’ils ne soutiennent, jusqu’à leur réalisation, le projet européen et universel dont vos brillants discours sont animés.

Et certes, cela passe peut-être, dans un premier temps, par le gage de pratiquer une politique libérale concédé aux instances dirigeantes du monde, quand dans un deuxième temps, le but est d’infléchir le modèle économique suranné et funeste que l’idéologie libérale capitaliste a soutenu jusqu’à présent ; pour ensuite, mieux assoir un modèle de civilisation visant à réformer la Production, universaliser la Redistribution, selon l’état des ressources terrestres, à dessein de concourir à l’amélioration du sort de l’humain et de celui de la Terre.

Votre pari politique deviendrait une velléité cependant, si le citoyen, à commencer par le citoyen français, ne devait percevoir dans les premières mesures prises par votre gouvernement que l’ombre de la justice et de l’équité économique. Les mécontentements de la population française en risquant de se fédérer pourraient même, prenez-y bien garde, pulvériser le crédit dont vous semblez bénéficier auprès des populations européennes – si vous ne parvenez pas lors d’un nécessaire rendez-vous télévisé avec les français , à expliquer par le détail la façon dont, sur cinq ans, vous avez prévu d’augmenter le pouvoir d’achat moyen ( des déciles de revenus les moins riches ), par le biais de réajustement fiscaux tentant de concilier pour les différentes classes d’âge : nouvel impôt plus juste et suppression des taxes inéquitables.

Je ne vous conseille absolument pas lors de cet entretien ni d’afficher la certitude d’instaurer une fiscalisation plus juste, car assurément, et j’y reviendrai en détail, la copie du gouvernement laisse à désirer ; je vous le dis sans vouloir vous offusquer car vous ne semblez pas en avoir pris conscience à quel point – ni ne vous conseillerais d’apparaitre autrement qu’en homme de bonne volonté, capable de reconnaitre ses erreurs, de les corriger, du moment qu’il s’agisse d’engager chaque citoyen dans l’élan du renouveau de la France, le renouvellement de sa capacité à proposer des idées pour le monde qui faciliteront la transition écologique inéluctable à moins du pire, en répondant à l’aspiration de l’humanité à plus de justice entre les hommes dont on peut sentir le cœur de la conscience universelle nouvelle battre aux quatre coins du continent numérique qui constelle l’internet.

Votre but sera de rassurer les français, tous les français. A commencer par les retraités, les salariés précaires et les fonctionnaires. En expliquant combien à l’égard de qui le budget 2018 de l’Etat a été concocté avec le souci que les rémunérations brut des salariés et des travailleurs indépendants bénéficient d’une baisse des cotisations salariales maladie et chômage qui permettra un gain de pouvoir d’achat annuel substantiel. Par exemple pour la catégorie socioprofessionnelle des employés : celui qui gagnerait 2000 euros pourra bénéficier de 390 euros supplémentaire par an. Même une fois déduite la hausse de la contribution sociale généralisée, la csg, cet autre impôt qui finance la protection sociale. Les salariés rémunérés au minimum salarial, le smig, bénéficieront quant-à eux d’un gain net de pouvoir d’achat de 260 euros.

Certes, la csg dont s’acquittent tous les revenus dont ceux des retraités, augmentera ; et ne participant pas à la cotisation maladie et chômage, les retraités ne bénéficieront pas de la baisse de cet impôt. Mais l’augmentation de la csg n’interviendra qu’à partir de 1200 euros de revenu pour les moins de 65 ans et 1350 ( 1400 ?) euros après 65 ans. Les retraités les plus modestes ne seront donc pas concernés. Quand sinon, excepté pour 20 % des retraités qui perçoivent plus de 2500 euros à qui l’effort demandé sera le plus dur, pour les autres : la compensation viendra de ce qu’ils n’auront  plus à s’acquitter tous les ans de la taxe d’habitation, l’impôt communal. Ce qui chacun doit en faire le calcul n’est pas négligeable. Bien sûr et à moyen terme des solutions devront être inventées pour palier à l’injuste inégalité de la croissance des pensions de retraite comparée à l’augmentation prévisionnelle future du revenu des actifs.

Les fonctionnaires également mis à contribution, pour qui aucun gain de pouvoir d’achat n’interviendra d’ici 2018, le rééquilibrage fiscal revenant à ne pas augmenter leur niveau de vie, seront rassurés si :

  • La compensation de la hausse de la csg n’est pas dégressive dans le temps, ni refusée aux nouveaux fonctionnaires.

  • Si , lorsque l’organisation de l’OCDE d’ici cet été aura avancé des propositions concrètes pour que les multinationales numériques cessent de transférer artificiellement leurs profits dans les pays où elles ne payeront quasiment pas d’impôts, pour échapper à la fiscalité des pays où se réalisent leurs gains financiers réels , et lorsque la réorganisation fiscale de l’Europe aura aussi évoluée sur le sujet … Les fonctionnaires seront rassurés si vous certifiez qu’une partie de ce nouvel impôt numérique d’ici 2019-2020, financera la réévaluation du point d’indice, socle de la rémunération des agents publics.

  • L’idée lorsque l’on manque de ligne budgétaire pour une catégorie socioprofessionnelle cardinale comme celle des fonctionnaires étant de tout de suite améliorer au mieux la protection sociale et la qualité de vie, à défaut de celle du pouvoir d’achat, en mutualisant les services que proposent les ministères à leurs fonctionnaires. De sorte qu’ils puissent disposer de services dans d’autres administrations, de sorte que ces services soient avantageux, nouveaux et à déterminer, et que la qualité du service public rendu en ressorte grandie ( amélioration de la qualité de vie au travail … possibilité pour un fonctionnaire de visiter gratuitement, une fois par mois, en famille, le musée de son choix … etc) (  Le budget d’une cinquantaine de milliards prévu pour le financement des investissements d’avenir piloté par notre brillant économiste français devrait englober, ainsi, une partie des dépenses relatives à l’amélioration de la qualité de vie au travail des fonctionnaires de police, des hôpitaux publics et des enseignants : la fonction publique est un investissement d’avenir ! )

Pour les fonctionnaires communaux soumis au durcissement de leur condition de travail, en raison de l’augmentation de la tension salariale consécutive de l’assèchement des budgets des communes, il vous faudra rassurer et les employés et les maires qui les emploient.

A brûle pourpoint, je ne vois pas par quels moyens, sinon en laissant habilement entendre que les largesses fiscales que vous escomptez pour les revenus du capital allant du revenu de placement aux revenus des jeux – vous ne pouvez assurer que ces baisses d’impôt seront pérennes. Car, nécessité budgétaire oblige, vous n’avez pas de boule de cristal pour savoir si finalement, comme Sarkozy en 2011, vous ne serez pas obligé de revoir à la hausse la contribution des ménages les plus favorisés. Sachant que par principe vous refuseriez que le vingtile de revenu le plus riche ne perde du pouvoir d’achat comme en 2016, sous le « matraquage fiscal » de Hollande. Aussi pourriez-vous laisser entendre à l’opinion publique que la porte reste ouverte à un rétablissement des comptes communaux, essentiel au bien être des fonctionnaires de mairie et à la qualité de vie dans les territoires ruraux, par le recours à une contribution exceptionnelle des ménages les plus aisés.

Je ne vous conseillerais pas si vous êtes titillé sur le sujet d’invoquer cette théorie libérale économique fumeuse du ruissellement des revenus les plus hauts jusqu’à ceux les plus modestes, quand une large latitude fiscale est laissée aux plus riches. Sa mise en œuvre augmente les inégalités de revenu et grève les services publics de la ressource nécessaire à la bonne qualité de leur fonctionnement. Elle est facilement réfutable et ne repose que sur une illusion économique qu’on pourrait croire destinée uniquement à rassurer les bien-pensants, les biens-possédants, en mentant aux bien pauvres …

Permettez-moi de vous dire qu’il transpire de tout votre être une intelligence nourrie par sa capacité de synthétiser les courants de pensée contemporains, philosophique, religieux et littéraires, en cherchant à les combiner avec une approche économique nouvelle expurgée au maximum de toutes dimensions idéologique surannée. Pourtant, et peut-être est-ce dû à la dimension psychosociale de votre destin social exemplaire : vous ne semblez doté que d’une approche théorique de la condition humaine des destins sociaux les plus défavorisés ; sans avoir montré jusqu’à présent de sympathie ni de réelle empathie envers les plus pauvres, les plus défavorisés culturellement. Cela vous fait commettre des bévues, des indélicatesses envers cette frange de la société la plus démunie. De laquelle pourtant, seules votre haute compréhension intellectuelle des forces régissant le monde et votre aptitude philosophique vous rapprocheront. Il y a qu’un Président moderne n’a pas à laisser ses concitoyens les plus fragiles à leur triste sort. L’œuvre du Grand Homme, celui dont les générations futures loueront les vertus, consiste à ne pas améliorer le sort de l’Humanité sans d’abord comprendre et améliorer le sort de l’humanité en danger.

Aussi, à dessein de rassurer les salariés les plus précaires, ceux demain, en raison des mesures restrictives d’accès aux emplois aidés, qui viendront, par millier, grossir la cohorte des chômeurs ; pénalisant l’œuvre sociale du secteur associatif qui les réinsère en grand nombre ; comme perturbant le bon fonctionnement de nombres de services publics où ils sont actuellement indispensablement employés. Ces futurs exclus seront pour leur entourage social immédiat, et au cœur des villes et des villages de France, les preuves vivantes de l’échec de vos réformes nationales – si vous ne renoncez pas à cette mesure spectaculairement inefficace et impopulaire.

Autre mesure au retentissement psychologique désastreux de par les signaux que le gouvernement en mal d’économie voudrait adresser aux plus fragiles : la réduction de toutes les aides au logement. Sachez montrer au peuple français qu’il ne doit pas vous tenir rigueur des erreurs de votre gouvernement, quand vous pouvez vous amender devant lui en expliquant combien la mesure était maladroite et male formulée. Vous y gagnerez le respect et la confiance des français.

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Permettez-moi un autre instant de lecture puisque j’en ai fini avec mes conseils à votre égard pour débuter une rapide digression sur les raisons profondes qui me conduisent, aujourd’hui plus que jamais, à demeurer un « dignitaire virtuel » prompt à rapporter sa perception de la situation sociale, économique et stratégique de la société contemporaine à son gouvernement, comme à ses internautes et aux acteurs religieux, politiques et militaires de ce monde.

J’avais fortement anticipé et cru à l’hypothèse de votre élection, même si une fois celle-ci effective je savais qu’il me faudrait vous écrire. A vous « le candidat des élites » qui ne sembliez pas pouvoir apporter au peuple français la preuve de votre dévouement exclusif à l’aube du premier tour de l’élection présidentielle …

J’ai redouté qu’un parti d’extrême droite ne prenne le contrôle des destinées de la France jusqu’à votre dernière confrontation télévisée avec Marine Lepen. Mon malaise était si intense les mois précédant, à l’idée de voir Marine Lepen l’ emporter et démunir la France de cette voix qui porte dans le monde les valeurs si inépuisables et fécondes du gouvernement des hommes par la Démocratie ; que j’étais persuadé que le « webwriter » que je suis ne pouvait se permettre de ne pas envisager le pire.

Commentateur de la vie politique voir philosophe virtuel, j’étais convaincu qu’il me faudrait incarner virtuellement les ressources morales de la démocratie pour faire face au pire, qui en diffusant virtuellement sur mon site ce que le « Président honoris causa de l’Europe » pourrait et devrait dire – qui en devenant « Président honoris causa de l’Afrique », «  Procureur alpha de la Cour Pénale Internationale », « Général honoris causa de l’armée libre de Syrie » – rien que cela !  Car fallait-il que survivent les figures tutélaires emblématiques en germe dans le projet français … une manière d’excès pour contrecarrer l’extrême …

Depuis vous avez été élu. Je n’ai pas voté pour vous au premier tour, pourtant votre discours à la Sorbonne sur l’avenir de l’Europe, la semaine dernière, m’a convaincu qu’il y avait quelque chose de parent entre nos visions de l’avenir des sociétés humaines.

Vous avez même mieux écrit que je ne me proposais de le faire la lettre que j’avais prévu d’adresser au parlement européen et aux partenaires de la France. En insistant à très juste titre sur l’enjeu de la création du bien commun de l’Europe que les Etats-Nations devront défendre.

Le résumé de votre intervention ainsi que sa vidéo seront présentés sur le site de sorte qu’un maximum d’internautes puisse prendre conscience de l’efficience de vues macroéconomiques pour le monde et l’Europe.

Il me tient à cœur de travailler sur la « doctrine militaire commune de l’Europe » que vous appelez de vos vœux, et de tenter d’approfondir certains sujets que vous avez présentés, participant par la même à la circulation des idées : mission essentielle de mon site.

Monsieur le Président, satisfait de voir certaines perspectives s’ouvrir, je vous enjoins de ne pas minimiser l’importance de ce que je vous ai proposé afin de redonner courage et confiance aux français les plus démunis. Ces ajustements ne sont pas de nature à remettre en cause le budget nécessaire à la réussite de votre projet global. Ils rendront votre politique plus compréhensible et équitable.

                    Bien à vous. PATRICK RAKOTOASITERA

 

THUCYDIDE dans son « Histoire de la Guerre Du Péloponnèse » relate comment PÉRICLÈS fit l’éloge d’ATHENE après qu’elle fut devenue  » l’école de la GRECE » et par son système démocratique le plus sûr chemin par lequel la LIBERTÉ vibre dans le cœur du Citoyen et devient cette règle de gouvernance de la République grâce à laquelle, « dans nos relations quotidiennes la suspicion n’a aucune place; (grâce à laquelle) nous ne nous irritons pas contre le voisin, s’il agit à sa tête; enfin ( grâce à laquelle ) nous n’usons pas de ces humiliations qui, pour n’entraîner aucune perte matérielle, n’en sont pas moins douloureuses par le spectacle qu’elles donnent ».

Mais certes chers Députées et Députés, chers Sénatrices et Sénateurs me diriez-vous les guerres du Péloponnèse sont d’un autre siècle et depuis ISTANBUL, désormais, on peut voir ce pont enjamber le BOSPHORE, suite à la mise en oeuvre duquel la DÉMOCRATIE et l’ECONOMIE ont joint leurs pieds pour visiter l’EST du MONDE; quand l’ ORIENT s’y acheminait et s’achemine encore, guidée par le battement et la recherche du CŒUR de la DÉMOCRATIE, qu’actuellement se disputent plusieurs Villes, et Capitales, et peuples d’EUROPE notamment.

Et certes me diriez-vous, si pour cette nouvelle oraison funèbre en l’honneur des guerriers, des hommes, des femmes, des enfants et de tous ces êtres morts à la guerre, je vous disais aussi : « dites-vous que la Liberté se confond avec le Bonheur… et le Courage avec la Liberté … et ne regardez pas avec dédain les périls de la Guerre. » – vous me rétorqueriez certainement que ce locataire de mon cerveau n’est pas commode !

Or, précisément c’est justement et certainement parce qu’il ne l’est pas que le Président de la République française vous exhorte de voter cette extension de la CONSTITUTION qui concerne principalement la chose militaire dans la DÉMOCRATIE, et non de pérorer, mais bien de juger de  ce que ferais certainement la chose militaire si elle devait primer durablement sur la DÉMOCRATIE , à savoir la mise en oeuvre du nivellement des priorités, dont au cours de mes incarnations passées j’ai toujours pu constater que cet œil par lequel la GUERRE regarde le monde et finit toujours par le mener à sa perte , et commence toujours par le nivellement du degré de citoyenneté en fonction du degré supposé ou réel de son attachement à la chose militaire….

L’ÉGALITÉ entre CITOYENS français n’a pas un fondement ethnique et mythique , celui de l’ISOGONIE, qui feraient des français les seuls descendants d’AUTOCHTONES nés instamment du sol de France. La DÉMOCRATIE FRANÇAISE repose sur la LIBERTÉ donnée à chaque habitant du sol français d’AIMER de CŒUR, d’AME et d’ESPRIT qui il le veut, sachant que si cette union de l’AMOUR DES PEUPLES ENTRE EUX engendre une descendance sur le sol de FRANCE, la loi de la république doit demeurer intangible, inchangée et éternelle :  » né FRANÇAIS TU LE RESTERAS JUSQU’À TA MORT SI LES LOIS DE LA RÉPUBLIQUE SERVENT TOUJOURS TA PERSONNE QUOI QUE TU AIS FAIT, CAR LES SILLONS QUI ABREUVENT NOS CHANTS COULENT DANS TES VEINES, ET LA RÉPUBLIQUE EN VÉRITÉ EST TOUJOURS RESPONSABLE DE CEUX ET CELLES QU’ELLE ENGENDRE. COMME LA DÉMOCRATIE GAGNE A RENDRE L’HOMME, LES PEUPLES et LES NATIONS MEILLEURS QU’ILS NE L’ÉTAIENT A LEUR NAISSANCE. »

PATRICK RAKOTOASITERA

 

Nota bene : le développement de notre stratégie en Afrique aura pour engendrement final le « GRAND PONT DE GIBRALTAR entre l’EUROPE et l’AFRIQUE »…