Patrick Rakotoasitera de Boulogne-Billancourt a écrit le 27 août 2019 à 22 h 20 min:
Message pour Emmanuel Macron et avrin le gilet jaune. La dernière fois que j’ai tenté de rallier les gilets jaunes, le samedi 3 aout, la veille des conflits verbaux mentaux imaginaires ou non, m’avaient opposé à d’autres généraux. Ce samedi s’annonçait donc aussi tonique que la bataille de France qui opposa Napoléon à ses propres généraux. Réveillé dans un tee-shirt indien rouge représentant Ganeça et d’autre idéogrammes que je n’avais pas réussi à déchiffrer, vêtu pour le bas du corps d’un simple shurt couleur moutarde, je suis passé dans le XVIème arrondissement boire un café, bien décidé à user de ma force si quelqu’un avait tenté de me violenter… Je n’ai découvert personne dans Paris. Là,près de notre dame des touristes américains, ici le long de la cathédrale de la vierge, une bohémienne apeurée semblant en savoir plus sur l’incendie que sur le sort de ses propre enfants… Et finalement comme je n’avais d’autre indice à suivre que l’effigie jaune, je suis reparti, laissant ces enquêtes à d’autre limiers. Je me suis rendu à Montparnasse ou, il y a de cela un temps reculé un parent de ma famille possédait un atelier, devenu depuis un cinéma, pour une nouvelle fois être confronté aux gueux de Montparnasse organisés en clan et n’obeissant qu’à la loi du talion. Étant epais de ma personne aucune âme désolée ne m’a portée préjudice et ainsi de biais en biais j’ai pu observer le ventre de Paris. Celui des réveil sous la tente en pleine chaleur comme celui des règlements de compte à la machette… J’ai donc continué mon cheminement l’âme droite entièrement acquise à Dieu, le cœur vaillant, marchant comme dans les pas d’un saint général s’il se peut que cela soit possible.. J’étais préoccupé en arrivant vers le parc montsouris. Je n’avais pas vu de gilet jaune. J’avais béni un couple de jeune marié. Mais je n’arrivais ni à réguler la température extérieure, ni à contacter astralement les bonnes personnes… Comme s’il était dit que je n’étais pas vraiment en kether le sefirote royale des êtres du royaume de la lumière divine…. Une histoire de sous-marin au large de l’Indonésie et vers la Papouasie nouvelle Guinée ruinait mes efforts pour être autre chose qu un militaire… Je suis donc redescendu vers les maréchaux, visitant l’église du père Grégoire, dont j’ai retenu cette phrase, : Ô mon Dieu que le temps de la rédemption est court… Si il est ou sera vrai qu à l’avenir un pays détiendra l’arme climatique… Ô mon Dieu que le temps de la rédemption est court… Après je suis rentré chez ma tante, un homme vêtu de noir faisait le guet devant l’entrée de son immeuble…. Et mon père accompagné de mon frère sont venus me chercher pour me conduire à l’hôpital… Artistiquement votre Emmanuel… À la prochaine fois Avrin. PATRICK RAKOTOASITERA