Ni par répartition, ni par capitalisation
Pour comprendre le chapitre VII de « L’Univers des Signes les Signes de L’Univers » à savoir celui de la 2eme partie traitant de l’approche de la resolution du conflit ( Rôle de la diffusion de l’écriture et du développement des moyens de communication, dans la stabilité de l’empire romain); il est nécessaire de le confronter avec le VIIeme chapitre de la 3ème partie: La Figure de l’autre, intitulé : La Sorcière et la figure de l’ENFANT; tout en ne perdant pas de vue le VIIème chapitre de la 4ème partie ( Révolution des modes de transmission de l’INFORMATION) dont le titre est: Dédoublement de l’art: L’art totalitaire, et diffusion croissante de l’image-information; ce, si l’on veut comprendre le VII chapitre de la cinquième Partie du projet de recherche ( Montée de la face cachée du monde, dont nous sommes les contemporains), Chapitre s’intitulant: Le projet Architectural et la volonté politique.
En effet, en proposant mon projet de recherche au collège international de philosophie je ne pensais pas ou si peu, que ce projet fondé par l’interrogation du concept d’art servirait de colonne vertébrale aux guerriers des 9 continents, cela m’a valu d’être un temps arbitre international perpétuellement en procès, devenu fou parmi la folie inhumaine, donc clairvoyant et sinon peintre du moins poète, soit un des législateurs méconnus du monde terrestre.
Mais ne perdons pas de vue l’axe de notre projet de recherche du sens de l’art. Souhaitons être encore plongé dans le terreau de la communication de n’importe quelle société sans la dépouiller de sa chair languangière afin que ses fruits fécondent une anciennement nouvelle philosophie de l’art, puisque nous sommes mus par le besoins impérieux de ne plus créer de nouveaux concepts, attitude perpétuant la guerre.
Ainsi, souhaitons que notre démarche n’enferme pas le questionnement philosophique sur lui-même comme ce fut le cas lors de la seconde guerre mondiale, lorsque le nazisme et le fascisme pendant du liberalisme et du communisme voulurent tous en même temps habiller Eve de leurs signes distinctifs en lui proposant ce nouvel homme mi-Dieu, mi-satanique dont seul Lilith, l’Eve au coeur déchiqueté aurait pu espérer vouloir. Eve insatisfaite de Beauté pure qui en la personne de Simone wiel refusera toujours d’enfanter malgré les injonction du conseil israélite déstabilisé par ce membre incapable de s’élever socialement, donc de quitter le travail à la chaine, comme il se fallut que Simone au nom de Dieu refusa d’abandonner ses amis ouvriers, donc esclaves modernes, quand bien même son travail d’écrivain lui aurait permis de briguer les plus fameuses recompenses, elle, être de mumière qui avait tout compris des raisons qui poussèrent Léonard de Vinci à écrire à l’envers. Elle, pion de Freud et point de référence qui lui aurait permis au coeur du mal de chercher le beau, et de mieux s’interroger sur sa laideur. Si et seulement si Freud à l’instar des Surréalistes avait reconnu combien ce n’était pas un hasard si tous les fous l’avait autorisé a regarder le diable droit dans les yeux par l’intermédiaire du miroir psychanalitique propre à considérer l’envers du monde de Dieu et idoine à trouver et retrouver d’autres chemins pour les hommes.
Mais à Vienne, berceau d’une valse des regards s’entrecroisant pour tisser un réel où les sensibilités de chacun se défendaient d’être ramenées à la pensée d’un seul sujet énonciateur, Freud piètre médecin, dont il était de notoriété publique que ses frères maitrisaient verticalement et horizontalement la production de la cocaïne, lui qui tel Caïn mortifié à l’idée d’avoir assassiné son frère héroïnomane, s’était juré et noblement juré d’aller à la rencontre d’autrui et de la matérialité des choses en s’inscrivant dans la lignée de cette intention philosophique caractérisée par une dimension critique vis à vis du langage, telle que l’avait réactualisé Nietzshe, puis plus tard telle que la réactualiseront, aprés la seconde guerre mondiale, Foucault ou Wittgenstein. Mais là, à la différence prés ou à la trop grande ressemblance de qui, ayant mal compris Victor Hugo quand il nous enjoignait de mettre du génie dans notre vie, Freud l’inventeur de la cocaïne, verra dans chacune de ses patientes l’héroïne qu’il faut plonger dans le noir (l’inconscient), de telle manière qu’ainsi aveuglée, elle recherche à travers la brèche du language le point surréel: mi-réel, mi-symbolique, grâce auquel, le discours cesse d’être un motif de dissimulation des mobiles humain, point lumineux qui rayonne dans le coeur de l’homme, étalon de la véritable beauté, la plupart du temps sans rapport, ou plutôt ayant cent rapports avec la beauté de son enveloppe terrestre. Homme que les veines circulatoires de la Terre taillée dans sa chair argileuse, véhicule toujours de la même manière depuis la nuit profonde des premiers temps, tandis que seuls la guerre ou l’art permettent d’inflechir les caprices, (excusez moi du terme),de l’espace temps en se révélant destin ou anti-destin.