UN VIEIL HOMME REVE
Un vieil homme de 74 ans, ancien secrétaire d’AMANDA DEVY et NERU, gentil comme une fleur de nénuphar, regrette comme moi que les 196 partis de la cop 21 refusent de considérer ce qui est simple : les Hommes souffrent encore de la faim quand le gaspillage des pays européens pourrait à lui seul nourrir sept fois ces populations par an…et certes, il sait que l’accord de PARIS doit avoir la ratification ou le décret de 55 chefs d’ETATS dont leurs NATIONS émettent de 55 à 70 % des gazes à effet de serre.
Hier, il m’a dit que le SYSTEME AGROALIMENTAIRE MONDIALE est responsable à lui seul de 47 à 57 % des émissions de CO2 mondiale. Là réside le point d’achoppement et d’entente possible des 196 partis en présence à la COP 21, selon lui.
Et il ne sera pas difficile à l’EUROPE, LES ETATS-UNIS, LA RUSSIE, L’INDE, LA CHINE, LE CANADA, LE BRESIL, L’AUSTRALIE, LES PAYS DE L’OPEP de s’entendre sur une aide de 100 milliards alloués au » FOND VERT » chaque année et en fonction du résultat annuel de leur taux de croissance de leur PNB respectif, car ces 100 milliard peuvent être autant des aides fiduciaires, que des envois de vivres excédentaires gratuite en cas de famine, que des soutiens particulier à des projets écologiques, que des avances de ressources allouées à des laboratoires écologiques privilégiant le développement durable et l’économie locale qui seront les prémisses de leur propre désinvestissement futur de leur dépendance aux énergies fossiles, par nature non illimitée.
Ainsi ce vieil homme m’a dit qu’un COMITÉ CENTRALE DU FOND VERT doit recenser les préférences des PAYS CONTRIBUTEURS aux destinataires de leurs fonds, et en la matière il est préférable de respecter la logique du locale , d’abord aider ses propres populations locale et autochtones et dans les « laboratoires écologiques étranger », les anciennes colonies , ou adversaires économiques par exemple : développer des partenariats ou la TRANSPARENCE et le RESPECT DES RECHERCHES DES SCIENTIFIQUES, comme les DESTINATIONS DES FONDS NE DOIVENT PAS ETRE DÉVOYÉS et demeurer parfaitement TRANSPARENTS.
Le vieil homme m’a dit qu’il y aurait des reculs, des hésitations, mais que si le problème est traité micro et macro-économiquement l’ESPECE HUMAINE pourra relever ce défit que DIEU lui impose.
Les lois de l’ECONOMIE étant pour partie intangibles : l’ouverture de la conscience du CONSOMMATEUR sera cruciale, c’est cette conscience mondiale connectée qui diffusera l’information et les participations des intellectuels, des religieux, des peuples premiers, des victimes climatiques, des philosophes, des scientifiques NON DEVOYEES à la résolution du problème climatique.
Le vieil homme m’a rappelé également cette fable du lion pris dans un filet dont un rongeur grignote les liens pour le libérer… Il m’a dit que les animaux nous aideraient pour peu que nous ne leur réservions pas ce seul destin qu’est la mort croissante des espèces terrestres qui seraient la prémices de notre propre extinction.
J’ai quitté ce soir ce vieil homme bouddhiste, serein : Et maintenant moi aussi je crois en l’horizon des bonnes volontés d’un soleil qui se penche dans l’azur de l’œil humain pour lui transmettre sa force magico-mystique et profondément physiquement compréhensible aussi…
BONNE REUSSITE MONSIEUR LAURENT FABIUS , JE CROIS EN VOTRE CLAIRE-VOYANCE.
PATRICK RAKOTOASITERA