Le Daily News
Mission Napoléon IV
Bonjour chers lecteur, j ´ai l’honneur de vous annoncer la réussite de la mission : « Napoléon IV » en vous révélant ; ce jour de septembre : ma venue à Paris.
Durant cette mission, mandaté par mon journal, toujours continuant les dérivées de mon enquête sur les attentats du « vendredi 13 » ( lire ici : « vendredi 13 , jour maudit » ) : il s’en est fallût de peu que je ne revienne jamais.
Confronté à la situation sociale complexe des habitants de Charleroi. Pour mémoire, ville de Belgique connue en mal par les belges et ayant été mentionnée à plusieurs reprise dans le procès parisien des auteurs de l’attentats, j’étais sûr que tous les auteurs et certainement, les « plâtrier du ciel » ayant donné et suggéré comme bonne cible de leurs méfaits, le « Bataclan » : courraient toujours d’un prêche à l’autre, habillé des arguments et des preuves de leur foi , contrôlant suffisamment leur zone d’influence direct , pour n’avoir pas été averti de ma venue à Charleroi, ce 14 juillet 2022, telles qu’ainsi me valait cette nouvelle invitation de mon journal, à revenir sur les lieux du crime… .
Bien sûr, je n’avais qu’à passer dans ce quartier de Charleroi pour mesurer combien, chaque fois que j’y venais avant de rejoindre mon lieu de résidence : les regards étaient incessamment curieux, vifs et comme un seul homme, avertis des dangers et déchéances de la Vie.
Et chaque fois que je rentrais de Paris, crevant la toile d’araignée de leurs regards surpris : s’activait « le téléphone arabe ». Bien sûr, je le savais : depuis l’évènement et l’avènement de « l’ État Islamique », « le téléphone » « arabe »; cette succession de la même phrase ou de commentaires sur le même sujet ; sont devenus l’assurance d’un calcul (algorithmique) précis, que la Communauté de Croyants doit faire converger vers « l’imam »(l’équivalent d’un Pasteur) qui serait prêtre également [au sens catholique du terme]).
Seulement le tribunal musulman est régi par une hiérarchie très structurée. Plus un Imam est capable de rester longtemps en fonction, plus certain est-on de voir dans sa zone d’influence religieuse directe : une communauté stable ; la stabilité de l’Imam fondée en droit coranique lui permettant de rendre des jugements…Il existe et demeurera le risque d’un ministère religieux propageant la peur de perdre sa vie pour les désobéissants ; la peur de n’être personne aux yeux de Dieu. Cela donne de surcroît à cet Imam la possibilité de mener des actions inter-communautaire ou intra-communautaire, en s’adonnant à « la chasse aux sorcières » et sorciers. ( lire sur ce site: « Le Sentier Suprême des âmes bleues »[les 3 peurs y sont expliquées])
À Charleroi ville minière parcourue de terrils de charbon d’extraction que la municipalité a rendus accessible au public à mesure que fermaient les dernières mines, ayant bien avant la 1ère Guerre Mondiale (1914-1918), et Ô combien durant la 2ème Guerre Mondiale ,(1939-1945 [selon l’enseignement français]), comme au cours des siècles précédents, contribuées, à la sueur des fronts, des pelles et des pioches : à faire jaillir des bâtiments de brique rouge par millier. D’ailleurs l’architecture des habitations de Charleroi me fait songer à l’Angleterre ; par ces nuances de briques rouge pourpre, d’où ressortent des nuances de bronze ; au trépillement et au trépignement de l’or aussi. Or capable d’arracher à main nue ou gantée des millions d’arbres : des mains bâtissant – sous le pouvoir alchimique des mains pleines de billets ou de sous sonnants de métal – le trébuchement des âmes et l’absolu désir des femmes ; qui renverse les verres, dégaine les couteaux, les épées, les revolvers ; femmes suspendues à la trajectoire d’une balle perdue ; mais capables si l’adjuvant est beau ; son amour sublime : de briser la lame de l’épée. Elles capables depuis l’avènement de la Communication (lire: »l’univers des signes, les signes de l’Univers »), d’hurler les tyrannies, de briser les démocraties des ménages, finalement de faire s’écrouler les empires…
C’est cela que J’aime à Charleroi ! On y sait que Tout est important ! Et que l’histoire comme l’Histoire, sont vécues sur un temps accéléré, vif,nerveux ; et, d’une allégresse légèreté, on est proche du Drame ou de la Tragédie !! Les Femmes ont leurs mœurs, les hommes le leur de pognon ; et seules les femmes avides de quelque chose, osent sortir après le couché du soleil . Pire !!! Même à son levé, le soleil voit se croiser, les plumés de la nuit en mal de coup à faire; quand rôdent les traqueurs sexuels désireux d’agrandir leur lot ; dans le quartier où je réside lorsque je vais à Charleroi … Et ça, il me plaît mon petit quartier carolo … Or, je sais que je plais à la société musulmane : << l’ Ouma >>… Pas toujours à la barbe qui se cache derrière Elle ( biensûr les cils parfaitement manucurés, et dans la manche de tissus légé un couteau : j’en fais mon affaire au cas par cas !!! ) ; mais je ne pensais pas que cela allait se terminer comme cela.
En bon Prophète rimbaldien, avant de me rendre à Paris, ma mission m’avait conduit à Amsterdam . Je devais y arrêter ce qui s’annonçait comme un des pires événement météorologiques et maritime : j’en étais revenu le 1er juillet à Charleroi . La nouvelle s’était répandue dans tout les états-majors que Nous avions réussi à sauver les Pays-Bas ! Les instances religieuse s’en mêlant, l’imam de mon quartier, ou peut-être un sachant, après avoir garé sa voiture devant la vitrine du magasin jouxtant ma maison, avait tout de suite remarqué, en me voyant assis sur le pas de la porte , que quelque chose n’allait pas.
<< – regardez ce n’est pas normal : maintenant le vent vient dans notre direction ! On ne peut pas le laisser comme ça ! Le vent souffle plus fort dans notre direction ! >>
Et de fait, blessé à la jambe, la douleur m’empêchait d’être serein et calme, m’obligeant à une vigilance de tout instant, naturellement désarmé que j’étais. L’affaire ne fit pas trop de vagues : le lendemain la prière musulmane m’avait guéri ! J’en atteste et témoigne. Depuis ce temps là, je savais que l’imam bien m’appréciait.
*
Moi j’aimais Charleroi et les yeux de la plus belle de ses chie-men. Il faut en avoir du courage pour la femme belge pour être belle quand les hommes vivent en communauté avec l’ivrognerie, le vol, le meurtre sur bien, biensûr ! Et leurs sacrées patates planquées, ils l’espèrent, toutes, en frites ! – dans le même sachet… Le courage doit être double pour celles, chimène ou non, qui accueillent les réfugiés de la Vie guerrière, ou de la Vie derrière soi.
J’avais une Vie devant soi, une Vie guerrière pour en deçà de la Vie, avant que la Vie n’expire, mettre fin à toutes les guerres des Hommes, considérant que toutes les Vies sont devant : soit l’Amour ; soit son premier objet : la Vie, comme dans » la vie devant soi » ; soit, ainsi qu’est mon cas, avec une Vie en arrière de la Vie : une autre Vie jaillie d’une mémoire inscrite dans mon capital génétique entier, par delà la Vie, qui me conduit à des combats ontologiques dans plusieurs dimensions, des mondes comme par transparence superposés à la Vie, ou dans des mondes éloignés qui lui sont pourtant connexe ; soit les Vies ont la mort devant soi et, en hurlant, cherchent à éviter que toutes les vies ne se rencontrent pas dans la mort… .
A Charleroi, celle que j’aime a une Vie derrière elle, et une Vie devant soi, celle de notre enfant commun. A Charleroi, je sens, je sentais, je sentirai un accueil chaleureux où que je sois, ce de la part de toutes les communautés nombreuses, à Charleroi. Par exemple, on y peut assister à des performances pyrotechniques ( lorsque la fête est bonne ! ) d’au moins cinq heures sans discontinuité !!! Et comme je ne veux pas déjeuner, ou comme on le dit en Belgique : dîner, je préfère fumer et je m’enfuis sans ennui dans mes écritures en Littérature.
Mais seulement voilà, j’avais tellement bronzé au soleil qu’il se discernait nettement à la couleur de ma peau que j’étais noir. Mon plus beau rêve était accompli, quand bien même je savais qu’aux yeux des noirs j’étais un beau » toubab » from Africa… or, le danger ne devait pas venir , ni des blacks, ni des musulmans, mais bien des blancs.
Trop tard au bar coco Patrick Rako, le général désarmé est pâle colo, pas le premier, ni le troisième, mais bien le quatrième Napoléon : Napoléon IV, Septime ! Pas n’importe qui parmi les Napoléon, un qui aime Goya, Manet, Monet, monnaie Gauguin, Van gogh et le plus talentueux des impressionnistes : Bazille, grand comme un géant, mort à la guerre de 1870, trop jeune, si jeune doit-on dire, à 28 ans. Lui,perclus de certitudes tant il était talentueux, certain de toucher par son maître de toucher, à la pointe du pinceau, et à l’aulne de ses lectures difficiles, en sculptant les couleurs selon la manière dont le Soleil les voit et les impressionne, au secret de Monet, son ami. Mais avec un degré de précision des proportions exactes des sujets peints qui lui était supérieur, au point d’atteindre l’hyperréalisme ( certes pas comme celui de Manet),( point non plus comme Caillebotte) mais avec le talent de Caravage et son sens de la représentation ultime de la chair. Sauf que lui, Bazille, cerne souvent les visages par un contour noir qui confère à son hyperréalisme une dimension allégorique. Seulement voilà, lui qui était conscient de peindre avec les plus grands peintres, tous les plus grands peintres, croyait que Dieu allait faire cas de telles considérations, lorsqu’il serait à la guerre. Il ignorait que le point de vue de Dieu ignore l’Histoire. L’Histoire n’existe pas. Pas plus,pas moins que chaque histoire…. .
Patrick Rako reporter for Daily News.
Durant cette mission, mandaté par mon journal, toujours continuant les dérivées de mon enquête sur les attentas du « vendredi 13 » ( lire ici : « vendredi 13 , jour maudit » ) : il s’en est fallût de peu que je ne revienne jamais.
Confronté à la situation sociale complexe des habitants de Charleroi. Pour mémoire, ville de Belgique connue en mal par les belges et ayant apparue à plusieurs reprise dans le procès parisien des auteurs de l’attentats , j étais sûr que tous les auteurs et certainement pas les « plâtrier du ciel » ayant donné et suggéré comme bonne cible de leurs méfaits, le « Bataclan » : courraient toujours d’un prêche à l’autre, habillé des arguments et des preuves de leur foi , contrôlant suffisamment leur zone d’influence direct , pour n’avoir pas été averti de ma venue à Charleroi, ce 14 juillet 2022, tél qu’ainsi me valait cette nouvelle invitation de mon journal, à revenir sur les lieux du crime… . ( …to be continued)
Biensur, je n’avais qu’à passer dans ce quartier de Chaleroi pour mesurer combien, chaque fois que j’y venais avant de rejoindre mon lieu de résidence : les regards étaient incessamment curieux, vifs et comme un seul homme,avertis des dangers et déchéances de la Vie.
Et chaque fois que je rentrais de Paris, crevant la toile d’araignée de leurs regards surpris : s’activait « le téléphone arabe ». Bien sûr, je le savais : depuis l’évènement et l’avènement de « l’ État Islamique », « le téléphone » « arabe »; cette succession de la même phrase ou de commentaires sur le même sujet ; sont devenus l’assurance d’un calcul (algorithmique) précis, que la Communauté de.Croyants doit faire converger vers « l’imam »(l’équivalent d’un pasteur) qui serait prêtre également [au sens catholique du terme]).
Seulement le tribunal musulman est régi par une hiérarchie très structurée. Plus un Imam est capable de rester longtemps en fonction, plus certain est-on de voir dans sa zone d’influence religieuse directe : une communauté stable ; la stabilité de l’Imam fondée en droit coranique lui permettant de rendre des jugements…Il existe et demeurera le risque d’un ministère religieux propageant la peur de perdre sa vie pour les désobéissants ; la peur de n’être personne aux yeux de Dieu. Cela donne de surcroît à cet Imam la possibilité de mener des actions inter-communautaire ou intra-communautaire, en s’adonnant à « la chasse aux sorcières » et sorciers. ( lire sur ce site: « Le Sentier Suprême des âmes bleues »[les 3 peurs y sont expliquées])
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À Charleroi ville minière parcourue de terrils de charbon d’extraction de que la municipalité a rendus accessible au public à mesure que fermaient les dernières mines, ayant bien avant la 1ère Guerre Mondiale (1914-1918), et Ô combien durant la 2ème Guerre Mondiale ,(1939-1945 [selon l’enseignement français]), comme au cours des siècles précédant, contribuées, à la sueur des fronts, des pelles et des pioches : à faire jaillir des bâtiments de brique rouge par millier. D’ailleurs l’architecture des habitations de Charleroi me fait songer à l’Angleterre ; par ces nuances de briques rouge pourpre, d’où ressortent des nuances de.bronze ; au trépillement et au trépignement de l’or aussi. Or capable d’arracher à main nue ou gantée des.millions d’arbres : des mains bâtissant – sous le pouvoir alchimique des mains pleines de billets ou de sous sonnants de métal – le trébuchement des âmes et l’absolu désir des femmes ; qui renverse les verres, dégaine les couteaux, les épées, les revolvers ; femmes suspendues à la trajectoire d’une balle perdue ; mais capables si l’adjuvant est beau ; son amour sublime : de briser la lame de l’épée. Elles capables depuis l’avènement de la Communication (lire: »l’univers des signes, les signes de l’Univers »), d’hurler les tyrannies, de briser les démocraties des ménages, finalement de faire s’écrouler les empires…
To be continued…Patrick Rako
Correction paragraphe 3 : » et certainement, le « plâtrier du ciel ». Dernier paragraphe : supprimer au début le « de » en trop