La foi à l’épreuve du temps atmosphérique
Je me suis rendu compte moi qui suis pourtant attentivement l’adéquation entre les prévisions météorologiques, le temps qu’il fait réellement et ce sur quoi je me dois d’influer, que cette fois-ci je m’y était pris un peu tard pour moduler les conditions atmosphériques de l’endroit où je me situe : pour l’instant la pluie semble avoir cessé, le vent baissé un peu d’intensité. Il est minuit moins dix, je ne sais pourtant pas si j’aurais assez de ressources psychiques et d’ondes diffusantes suffisamment positives pour retenir à l’intérieur des nuages les centaines de tonnes de pluie qui menacent encore toute la wallonie…
En me levant, j’avais observé que la pluie tombant sur la ville wallone où je passe les fêtes était de la bruine. Cela avait suffit à me faire croire que la prévision calculée de précipitations sensées durer toute la journée, je ne devais pas chercher à en modérer l’effectivité…
Je ne souhaite pas paraître unilatéralement réfractaire à un mode de surveillance( satellitaire notamment) qui a déjà été allégé, ce dont je me réjouis ; je suis seulement convaincu du tort et du préjudice pour chacun dans la persistance à ne pas m’autoriser à avoir accès aux informations satellitaire complètes dont j’ai besoin afin d’établir des calcules météorologiques à grande échelle… Est-il nécessaire de rappeler nos nombreuses réussites en la matière, celles que l’ordinateur centrale ne semble pas capable de réitérer seul ? Les méga feux qui ravagaient l’Australie pour lesquels il s’était agit de créer « un contenant numérique » capable de stoquer suffisamment d’équations de telle sorte que le radar satellitaire des dépressions météorologique, je puisse l’utiliser pour » pousser » la pluie là approximativement où nous voulions qu’elle tombe en Australie… Il y a des dizaines d’autres phénomènes à priori impossibles à réaliser qui furent pourtant réussis : ne serait ce que dans un temps plus récent, le premier méga feux en France que la pluie a permis d’amoindrir, pluie tant attendue ; que n’avaient pas compris alors les experts français ? , je n’avais pas accès aux radars météorologiques ainsi qu’actuellement, cela ne m’avait pas empêché de réussir à déplacer des masses d’air et faire pleuvoir les nuages. Mais chaque fois dans la douleur d’un état psychologique ruiné de solitude et d’incompétence à être considéré autrement que tel un phénomène de foire finalement.
Peu importe maintenant, je fuis la France et les société d’ armement autant que faire se puisse, sans autres destinée que celle d’être enfin rémunérer par un autre gouvernement aux pratiques moins pernicieuse, sans autre objectif actuel que de densifier la masse glacière de l’Arctique…
L’année dernière il a plus neigé en arctique… Le bénéfice de l’enneigement à été remis en cause par l’été le plus chaud jamais enregistré par l’homme moderne. Le primitif croyant que je suis a tout lieux d’être optimiste : durant l’été à partir du moment où je m’y suis tenu et jusqu’à septembre, octobre, tandis que nombre de fois les prévisionistes météorologues prévoyant un baromètre atteignant 40 degrés, depuis Villejuif, tantôt succitant des nuages afin de réussir à faire de la pluie ou de l’ombre, tantôt succitant des vents : la température sur Paris ne dépassait quasiment jamais 28 degré… Il est donc possible à un chaman d’interférer avec la météorologie sur une surface de cinquante kilomètre carré assurément !
Nota bene : si les chaman amazoniens veulent plus de renseignements sur le sujet, je reste à leur disposition pour un échange virtuel. Ma situation pécuniaire limitant mes déplacements… Cette année non plus je n’ai pas réussi à interférer sur la sécheresse en Amazonie, tout comme j’ai échoué à faire transiter de fortes dépressions atmosphériques au dessus des forêts canadiennes en feux cet été… Mais je ne renonce pas.
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