CEQUE JE SAIS D’INTERNET, DES GAFA et de leurs moyens de surveillance : www.patrick-rako.net dans toute ce capharnaüm organisé !

1. 1. Ceux et celles ,internautes surpris de la disparition de mon site dans le classement des sites selon leur fréquentation journalière ; lorsqu’ils liront ces lignes, apprendront que la relégation de www.patrick-rako.net  à la 99 millionième place n’est pas le fruit du hasard.

Mon « hébergeur » ayant été racheté, il m’a été signalé, après que j’ai eu demandé pourquoi mon autre nom de domaine : www.patrick-rako.nuxit.net n’existait plus – il m’a été signalé que je ne pouvais plus utiliser le nom « nuxit ».

Or, www.patrick-rako.nuxit.net  a été successivement classé depuis 2006, à son apogée au 8o millièmes rang, sur 20 millions de sites ,quatre ans après sa création… en 2011, et durant toute la mandature de Nicolas Sarkozy, plusieurs fois le site a été bloqué ; certains articles politiques et sur la guerre ,je ne réussissais jamais à les terminer,comme depuis le tableau de bord du site, où j’écris mes articles, j’avais l’horrible impression de ne pas en avoir le contrôle : non seulement le clavier de mon ordinateur,par moment, devenait immetrisable,  régulièrement aussi, le correcteur de mon tableau de bord réécrivait mes mots, en biaisant le sens de mes phrases… puis le site n’a plus affiché sur le blog, que la dernière page écrite,  interdisant aux visiteurs du site de pouvoir consulter tous les articles antérieurs , ce pendant des semaines… faisant chuter l’audience du site, qui à cette époque était très visité par les traders, avides ,alors, de points de vue nouveaux et macro-économiques qu’offraient ce média. Cela pour la partie anglophone de mes visiteurs, car pour la France, l’affluence a été surtout le fruit de mon passage en 2008, dans l’émission « zones interdites ».

Après 2008, de 2011 à 2012, le site a été d’autant plus suivi dans les pays du maghreb, que , fort de mon audience dans les pays anglophones, j’ai quasiment tout de suite commencé à écrire des articles en faveur des révolutionnaires du  » printemps arabe « , choisissant de présenter le mouvement comme une alternative aux montées des radicalismes religieux dans les pays musulmans. Vers 2012 aussi, j’ai été un des premiers blogueur non musulman mais islamophile, à pouvoir dialoguer avec l' »ouma »  mondiale, en profitant de mon site pour diffuser des idées ayant trait aux droits des femmes et à la direction éthique que devait prendre l’islam pour ne pas sombrer dans l’obscurantisme. Au plus fort de ces prises de partie journalistique, le site a été suivi en Afrique du Nord, Centre Afrique,au Pakistan, en Inde,au total dans plus de 15 pays n’ayant ni la même culture ni la même histoire, si l’on considère qu à  cette époque le site était très regardé aux États-Unis, en Angleterre, au Canada,même en Russie…

J’ai eu l’impression de faire l’objet d’une surveillance moins acharnée, sous la mandature de François Hollande. Pour en avoir fait la critique,  cette présidence se revendiquant »social-démocrate  » n’a eu de cesse de promulguer une politique néoliberale, durcissant les lois du travail au détriment des salariés,  et detricottant un peu plus le tissus industriel français ; politique qui annonçait déjà la collusion du monde politique,médiatique et des grands industriels ,d’une élite française jouissant de ses hôpitaux privés, de plus en plus aussi, de milices privées, et qui tel qu’au début du xx ème siècle , dispose d’une cohorte de sympathisants politiques, à l’instar du président Macron pour lui permettre de faire main basse sur le bien publique : la privatisation de la loterie nationale et de l’aéroport de Paris,comme EDF sont autant de montage financiers scandaleux, par la prevarication du bien commun qu’ils impliquent : on ne vent pas quelques milliards des entreprise qui tous les deux ans rapportent déjà 1,5 milliard !

Revenons au sujet principale de cet article : ma relation avec les GAFAM. Celle-ci débuta au tout début des années 90,avant l ‘heures des balbutiements d’internet,à ces moments précieux où nous autres français bûcherions pour créer une fibre optique capable de transmettre 1milliard d’informations à la segonde,ce que nous fîmes brillamment.

J’habitais alors la jolie ville d ‘Arcueil. Mes voisins me savaient artiste et tout mon quartier n ‘ignorait pas que j’hurlais en m ‘adressant en direction des satellites de surveillance, comme il se fallut qu’ en ce temps jadis,je sois informé de l’existence du programme « échelon « de surveillance généralisé des télécommunications et de la couverture satellitaire globale de l’ensemble de l ‘Europe et bientôt de la Terre par les États-Unis.

A cette époque je travaillais ardemment à l’écriture du livre : » l’univers des signes,les Signes de l’Univers ». Certain de ne devoir divulguer son contenu qu’à un nombres choisi de personnes,je m’était appliqué à n’en dactylographier certaines parties que sur de vieux modèles de machines à écrire. Choisissant le moment opportun pour attirer l’attention sur mes recherches,lorsqu’il me semblait venu le moment de faire taper sur ordinateur la colonne vertébrale du livre,autrement dit le détail de ses parties,ainsi que les titres de ses chapitres…déjà au fait du programme « échelon « : je savais que la chasse à l’homme allait débuter,ayant la conscience pleine et totale d’en être la proie principale.

L’ouvrage était très particulier : pluridisciplinaire d’abord,il ne se privait d’aucuns des avantages amassés comme autant de pièces d’or par l’ensemble des Sciences-humaines. Mieux même, il y était question de réconcilier l’Eidolon et la Philosophie : l’image,l’imagerie et le concept philosophique. Aussi était-ce un rouage à peine scientifique qui devait pouvoir actionner logiquement : la profusion monstrueuse des mythes_ l’articuler avec la Grande Histoire des religions ; ce dans le respect de la discipline Historique et de tous ses moyens de fouilles paléontologique,et archéologique suivant un paradigme de l’humain,capable d ‘expliquer ou au moins d ‘archiver l’étude de toutes images,ou inscriptions sur  un support, ou à défaut d extirper d’un support des archétypes de type anima ou animus (soit féminin ou masculin).

En réalité il était question de mettre au service de l’histoire de L’art, toutes les disciplines de l’art lui-même, afin qu’il soit permis d’approcher les concepts philosophiques qu’elles sous-tendent, élaborent ou en sont la compression ou l’extension dans la matière elle-même !

Bien sûr, le livre était d’autant plus révolutionnaires qu’il impliquait que le niveau technologique d’une société si utile soit-il,reste subjectif et jusqu’à un certain point anecdotique. Il n ‘existe pas de société sans écritures, fussent ces signes réduits au tatouage. Et il est donc parfaitement probant d’étudier la façon dont les concepts sont agencés chez les sociétés racines,ou primordiales,comme celles qu’on dira modernes,en développement, ou saisies à n importe quel stade révolutionnaire de leur pérégrinations historiques.

Je suppose que ce qui a pu vivement intéresser la NSA dans mes recherches, à l’approche de l’an 2000, était le biais par lequel j’appréhendais les trois monothéisme.  La question de l’existence de Dieu était d’emblée résolue. Car si Dieu est la cause ultime,première ( et même finale) de tout les concepts de la Superstructure, le langage par lequel notre conscience s’abreuve à Cette Source,  confère à l’homme la « capacité « grammaticale de résoudre Dieu au concept qui lui est afférent. Ainsi dans ce genre d’approche peut-on affirmer: << si le concept de Dieu existe, forcément Dieu existe, puisqu’un concept se distingue d’un autre par les faits,les phénomènes et les œuvres qu’il produit dans le réel commun, la réalité ou pour l’homme dans « l’univers de signes », au sein duquel évolue sa société !>>. 

Cette approche simple a dû sembler une aubaine pour la NSA , tant toutes les statistiques prévisionnelles subodoraient, à l’époque, qu’au regard de la croissance de sa population de fidèles,  L’islam, vers 2050, en nombre d ‘adeptes aurait rejoint le milliard et demi de chrétiens déjà présent sur Terre.

 » L’univers des signes, les Signes de l’Univers » en procédant à des comparaisons, esthétiques,géopolitiques et idéostratégiques entre les monothéismes a dû d’autant plus éveiller les intérêts algorithmique et bioelectroniques, que l’ouvrage est capable d’intégrer toutes nouvelles découvertes archéologiques révolutionnaires, comme de s’intéresser à l’étude de n’importe quelle civilisations, en faisant de sa capacité à plonger loin dans le passé, l’assurance d’un rejaillissement prospectif loin dans le futur, pour peu que cette particularité de l’idéostratégie à guetter le surgissement ,dans notre univers de signes, des nouvelles figures dominantes (figure du trader, figure du djihadiste, figure du multimilliardaire,figure du révolutionnaire …etc) – soit en raisonnance avec « les Signes de L’Univers « .

a suivre