Note : -/10
“ J’AI COMPRIS POURQUOI BOUDDHA MAO MAIS ET TOI PLANEZ AU-DESSUS DE LA LUNE “

VALSE de type : « Mais Amélie lit comme une douce mélodie, quand Alison sonne comme une douce mélodie ».

J’ai compris pourquoi des AIGLES NOIRS blanchissent un SOIR les longs cheveux de nos INFORTUNES.

Pourquoi BOUDDHA, MAO MAIS et puis TOI planez au-dessus de la LUNE.

Renonce à mes armes, mes papiers, à la LUNE,
Pour saisir ton regard a l’aune de ma PLUME
Et comprendre en MIROIR le surgissement des GARES des CHEMINEES IMPORTUNES.

O mon AMOUR de l’AUBE CLAIRE d’ici jusqu’à l’ouverture d’un JOUR
Dans les MURS jaunis de nos PAYS,
Nous mourrons un JOUR jauni allonges sur le BITUME.

Les PLAGES du SABLE de la FORTUNE n’intéresseront toujours pas la LUNE.

Mais nos ENFANTS un soir où le SOLEIL éclairera ses COUTUMES
Saisirons la BEAUTE des CATHEDRALE INVISIBLES de la MEMOIRE,
Rassemblée dans leur URNE.
Les OISEAUX NOIRS auront perdu leur PLUME
Mais les PLUMES, d’un REGARD, s’envoleront vers la LUNE.

Il y a des HOMMES plus grand que leur SOLITUDE,
Des FEMMES plus BELLE que leur modestes ATTITUDES,
Et d’un REGARD, d’un GESTE le SOLEIL abolira
Les vies RUDES et les rues VIDES de la VIE.

Mais sur ton REGARD la BEAUTE de l’AIGLE NOIR, contrôle en toi
L’incontrôlable ESPOIR et mon MIROIR abolira le SABRE NOIR du SOIR,
Si d’un REGARD, d’un GESTE tu fais voler ma PLUME jusqu’à la LUNE
Comme RECOMPENSE et UNIQUE FORTUNE.

O mon AMOUR retiens l’ESSENTIEL de mes YEUX dans tes YEUX,
BAISE mes MAINS et aspire leur TENDRESSE,
Quand sur tes SEINS se redressent mes CARESSES et que ta VOIX
Pardonne toutes mes MALADRESSES.

J’ai COMPRIS pourquoi l’AMOUR n’a pas d’ADDRESSE
Et ne réclame pas qu’on dresse l’ADRESSE contre la TENDRESSE.

Les FEMMES d’un GESTE, d’un REGARD fanent le DESESPOIR,
Enflamme le SOLEIL, la LUNE, le NOIR REGARD des OISEAUX NOIRS,
Et ne retiennent le SABRE, les GESTES de GLOIRE que lorsque SURGISSENT,
Un SOIR de CAFARD, les AIGLES NOIRS de leurs PLACARDS,
Les ONGLES de la MEMOIRE venue GRATTER le long sanglot des MOTS
Qui faisaient s’envoler les PLUMES des HOMMES vers toutes les LUNES,
Les INFORTUNES.

Elles ne sont pas COMMODE, ne suivent que la MODE
Et font des PROPHETES de faibles LUEUR d’ODES incapable d’éclairer
L’ERREUR de leur INEGALABLE BEAUTE,
En font des TUEURS EHONTES incapables de PLACER les ETRES dans leur juste MILIEU,
PEUPLE de l’EGAL AMOUR de leurs VENTRES,
Obligeant l’AIGLE à surgir de NULLE PART !

Qu’on me demande de REVEILLER les MURS Blanchis d’ENNUI,
D’ETRE attentif aux LARMES, a la FUREUR et puis au BRUIT,
D’EFFACER de nos VIES l’EMPREINTE de leurs CRIMES,
TOUT me parait REALISABLE.

J’ai COMpris pourquoi BOUDDHA, MAO MAIS et TOI planez AU-DESSUS de la LUUUNE !

Depuis que nos CORPS se sont CROISES dans un COULOIR j’ai vu en TOI
La possible GARE de ma MEMOIRE,
En moi le GARDIEN heureux de la BEAUTE de ton REGARD.

Laisse moi être ton AIGLE NOIR, l’AMI de ton AMITIE,
Le VELOUR de ton AMOUR, qu’un JOUR
La VOLONTE ait la VOLONTE de la MUSIQUE
Que RIEN ne peut PLIER jusqu’au SILENCE,
Comme MEME la MORT est BRUYANTE…

OOOO mon AMOUR j’ai COMPRIS pourquoi MAO MAIS BOUDDHA et TOI
PLANEZ au-dessus de LA LUUUUUNE !!!

SI VOUS AVEZ AIME CETTE CHANSON vous AIMEREZ les ŒUVRES de la BEAUTE a la BOULONNAISE qui s’expose, du 12 SEPTEMBRE au 4 OCTOBRE, a la MAIRIE de BOULOGNE BILLANCOURT, comme mon tableau « PARADIS DU PEUPLE PRIMITIF FACON ART BRUT » : vous AIMEREZ inscrire sur la GUEULE du FRONTON a « GOOGLE », mon NOM : PATRICK RAKO ou PATRICK RAKOTO ou PATRICK RAKOTOASITERA, et je SERAI la les « 2,3 et 4 OCTOBRE » pour vous recevoir dans mon ATELIER BOULONNAIS.
Bientôt sur WWW.patrick-rako.nuxit.net : le POEME INTEGRALE de cette CHANSON.

POUR MONSIEUR SHIHIRO:

 

GULLY toujours à la recherche de son fantôme se réfugit dans un coin de ciel où il surprend un autre fantôme discuter avec CLARTE, le DIEU de Lumière:

 

GOTTHEIT :  << DOLY>> ko¨nnt ARISHE sein. Es ist ein kra¨nklich ZICK’ZACK, GeiBelung !

                   (  Doly ne peut pas être arienne. C’est trop un fragile détour, Chèvre! )

HITLEREICH : KEIN KULTUR !! …

                   ( Pas de culture !!… )

GOTTHEIT : CA¨IN KULTURE … AUSLESEN ! EINGEBOREN KU¨NTSLER !

                    ( Ou la culture de CÄin … Choisis et écoute : peintre aborigène ! )

LE COEUR OU LE VENT TRANSPORTE CETTE CHANSON JUSQU’A EUX TROIS:

<<  ARBEIT mart FREI die Aleine-SEIN ZEIT>>

<< Und ich SCHRIBE in die ALEINE NACHT>>

<< Ohne KUCHE,>>

<< Um zu EXISTIREN zu FIL ! >>

GOTTHEIT : Kein VERGESSEN, kein rude reise LACHEN

                   Arbeit macht frei die aleine-SEIN ZEIT

                   und ich SCHRIBE die ALEINE NACHT

                   Ohne KUCHE

                   Um zu EXISTIREN zu VIEL !

                  

LE COEUR : << KEIN VERGESSEN KEIN RUDE REISE LACHEN, KEIN, KEIN REIN REGE VERGESSEN !>>

                  << ARBEIT macht FREI die ALEINE-sein ZEIT>>

                  << Und ich SCHRIEBE die aleine NACHT>>

                  << Ohne KUCHE>>

                   << Um zu EXISTIREN zu VIEL…>>

GOTTHEIT s’adressant à HITLEREICH, et à GULLY qu’elle a vu derrière l’arbre : 

                 SEHEN : << EVE, CÄIN UND DIE SKLAVEREI >>

                 As EVE KAN NICHT ALEINE ODER MIT DASEIN,

                 SCHRIEBEN ohne UNTER’HALB

                                   ohne UNTER’HALT

                                   MITTERE MONDUMLAUF !

 

LE COEUR : << MOND von RINGELBLUM DOPPELGÄNGER SORGEN>>

                   << DOPPELGÄNGER und DENKEN>>

                    << Auf dieser IRDISCHEN WELT>> :

LE COEUR et GOTTHEIT: ARBEIT MARCHT FREI… DIE ALEINE-SEIN ZEIT !

GOTTHEIT : Arrbeit marrre FREI die Aleine-SEIN ZEIT !

GULLY: L’HALEINE de tes CHEVEUX mère, ondule les SAISONS

            Des IONS des PIONS de leur COULEUR,

            ET des ODEURS de leurs PEURS,

 

            Attachées au moteur de la TORPEUR,

            Aux boucliers de « l’appelez-moi raison »,

            En toutes saison de BOHNEUR,

             En toute LUEUR de RAISON,

             JASON du nom

              Du BRUIT du VIN

               Sur ton LEVIN

               Le PARCHEMIN

               De la GLOIRE, des MIROIRS, des AIGLES NOIRS,

               De la PENSEE pliée bizarrement par le BLIZARD,

               les NUITS et les BROUILLARDS,

               Les ZIGZAG de nos ARMOIRES,

               Les MIROIRS de nos MEMOIRES !

               Encombrés de SIGNES ABRUTIS !

               De SOLEIL d’Existence et de VIE,

                Sous la LUNE du SOUCIS !

 

                SOUCIS de LUNE et ORAISONS,

                INFORTUNES PLUMES,

                Summum BIBINDOMME, PLAY-MOBIL, et BEU BEUL GOMME, ne font pas HOMME :

               Maintenant dites moi où vous êtes ? Je ne vois qu’un fantôme !

               A toutes les tristesses, de toutes les FAIBLESSES du SOLEIL,

               Jet de GEANT, onguant d’HELIUM de BEU BEUL GOMME, et de bons VENTS,

               Dance dans tes CREUX les OCEANS !!!

 

LE COEUR : << ARBEIT MACHT FREI ALLEIN DICHT DICH

                                                        ALLEIN MEINUNGSVERSHIEDENHEIT

                         ARBEIT MARCHT FREI DIE ALEIN’SEIN ZEIT>>

 GULLY qui n’en tient plus sort de sa cachette s’adressant toujours au vent :

             ARBEIT MARCHT FREI NUR ICH KAN WERSTEHEN

             WARRUM BOUDDHA, MAHOMMET UND DICH PLANIEREN DARÜBER die LÜSTER

             GESHRIEBEN BY die MOND

              ARBEIT bei SICH

              SEHEN

             ELLE die MOND

             ELLE dich beim MONDSCHEIN,

             

LE COEUR : << MOND die TOT die TOT die TOT >>

                   << Die VERDEHT mein SEIN>>

                    << Am das TÜRMCHEN >>

                     << In die FLAMMEN SETZEN >>

                      << ZEN DENKEN VERGESSEN DANZEN !! >>

 

GULLY : MOND die HINGEBUNG

              Der KAUGUMMI

              Das PLAY-MOBIL

              Das BEU BEUL GOMME

              GEHEIMNISKRÄMEREI

              Des ARBEIT mÜhe MYTHOLOGISCH

              Ist OVERSTEHEN as OVERBEDANKEN

              In die LAGUNE fallstricken die HEIDE .

 

LE COEUR : << No « M » und eine GRÄSE GRAS >>

                  << EINKLEINDEN >>

                  << das KINGDOM >>

                  << RHUM der DOM >>

                  << KUPPEL DREHFFEIL >>

                  << DRECHSELBANK >>

                  << HERZ’ deine GEWIENEN >>

                  << GemÜtvoll HERZ-REICH >>

                  << Aus die eingute HERZTE HAFTIGHEIT ZEIT !! >>

 

HITLEREICH : Ich bin immer ÜBEL

GULLY : MIR gegen das LICHT BESEHEN

              Ohne bedenken der STECKEN, PFUI !!!

              DENKART der DENKER die NACHDENKLICHE aleine-sein ZEIT :

              ARBEIT MARCHT FREI die aleine-sein ZEIT …

              ARBEIT und FREI die aleine-sein ZEIT …

              REFLEX und REEPE die aleine-sein ZEIT !!!!

              OLE ! DENKEN !

Note : -/10
DEMONSTRATION DE L’INEXISTENCE DE LA LOGORREE
OU QUAND ON NE PEUT PARLER POUR NE RIEN DIRE
MEME SI ON EST FOU :MONOLOGUE DU FOU FACE A SON
MEDECIN:

Docteur,est-ce que les rimes liment la discipline de la penissiline ?

Elles glissent de mon corps, gisent de mon sort,tombe de la mort, comme mon remord ma nouvelle mort mais croissent et croassent encore plus fort que le vent dehors d’or
croissent encore plus vite que le vent dehors dort
sifflent encore plus huit que j’attend la suite
cuisent d’autant plus vite qu’elles sont complètement cuite
j’ai tout dit samedi
j’étourdis ça me dit :  » réflechi, vient ici !  »
moi,jeudi,toi,aussi,occi,vieilli;sali;pourri
tu fais comme Robinson pour te couper les ongles ?
tu attends Vendredi ?
ou est tu
ou et tu
où est tu
terre et terre taire ethère taire iter, i est et à quelle époque?
terre ré Terre quand ? tertre éther ni t, ni Thé ni K fée, capé,
Muse reitère territorialement correctement lentement doucement
reterre i tort A lis ZA SION et souffle en moi le si long sentiment Y
le sentiment de C Zon ! saison sezion de ses ions en pulle de ça vont,
savon, ça vont
la egal penis si spleen la penis is clean, la penis six lignes, non 7, pourquoi une de trop ? une de galop
Galaté galante attend les attalantes tandis que je pénètre dans la plante, quelle plante, la pennissiline ! pas S, C ! comme le penicillium, le vert de Véronaise ? , y a-t-il un rapport entre l’arsenic et la peine 28 à Boliwood en 41 ? Je vais à Bolliwood en 41 ! , an 41, j’ai 36 ans 6 et 8, 14, merci docteur si C est 8 sa place est la quatorzième lettre de l’Alphabet dans la forme de geométrie dans l’espace qui nous occupent

LA,la, las

j’ai eu un instant les mains paralysée comme le jour où j’ai goutté l’extasy extase mais pas pour moi

encore Y
i est grecque alors?

con dehors ! Sort, mort, morceau de l’or
courent encore et encore
tu sera plus fort que la mort du dehors de l’or
A corp B cote C cate ou cecable où c cable
l’ABC de trois mot volé esseule dans la liberté 2

egale

pensée esse cheveux lait
est ce l’oeuf, E et F, cheveulés ?

quoi ? il manque un e un l un s un accent sir complexe fleccible comme l’ex
X est un rayon ou un crayon d’ion ?
la penicilline un pinceau éléminant la vie de la bac Terre i
capbturé c a obturé la lumière
3 muse definissant le champ de la Cré

ré cré A SION

pourquoi je pense au protocole des sages de sion ?
Sagesse pionce
ça jet pont C et E
E aime ses 2 manière de créer

compter ou imaginer
T est le con où imaginer

20 survint dans cette démonstration
quoi des MONSTRES à SION ? quand ? ou ça ?
quel é poque !
que veut dire poquer

poK R

D des dés decedé
jamais un cou de D n’a bole ni Baltazar

chance et noir
le champ est noir ?
comme une hyperbole ?
Gueule d’amium

la je degage de l’A mi homme ni Rhum, ni ROME !
las je degage de l’H mi EUM ! HUM ! HUM ! HUM !

c bon docteur ?
lassez da cion
C égale AN 26

une muse me conduit trop loin pour compter, laquelle?
9 deesses des arts libéraux

un art ?
1 arbre
aberré

Tu meur abcède obèse et these parenthèse
je n’ai que 3 muses et 9 continents
comme un ver lent je passe le temps
il y a un art un avatar
quelle muse est la féal d’ ATTalante
ATTA égale asymptote
comment un
point peut s’éloigner
sur la courbe à l’infini ?
l’infini courbe t il ?
A saint chrome
DIEU I égale E
seul un cercle est une courbe à l’infini
il faut donc savoir si un cercle est une courte infini
si l’infini a une croute, gourde !

comment le point d’une droite peut-il tendre vers zero ?
Si c’est un point ce n’est pas rien ?
nous ne sommes pas chiens au point de croire que rien c’est le bien !

AN RAT G

enragé l’orage trepassez l’otage C égale laitage
donc quand on dit 123 on compte en montant ?
on pousse vers le ciel
– Picasso tait toi je ne ferai jamais de ciel vert deux fois !

suis-je donc seul à entendre vos voies raisonner sur mes pas, si las de la vie que je vous quitte déjà, muses de l’ennui
où est donc le paradis ?
quand je vous ai peinte j’ai toujours su que vous étiez trois.

l’hitoire Clio roule maintenant sur le monde bleu de tes cheveux vieux crasseux miteux d’AN vieux,
c’est vieux comme le monde un An
NAN,NAN,NAN,NAN,NAN,NAN,NAN,NAN,NAN
et moi maintenant je compte une deesses D et C 4 et 3,
un quatrain à trois les filles ?

Une deesse de plus, ô merci mon Dieu pour ton sérieux,
la solidité de mes yeux d’envieux, dans,dent,dance, vieux !
pourquoi s’arreter à huit Beethoven ? la veine bite au vent …
des passions! des pations! des pas si ON definit l’abreviation du groupe
dont l’haleine de l’eau, dont A l’aine de l’0 et tes hanches le bohneur ?

Chut Travaille!
OK

I HAVE BEEN KILLED IN ACTION WHEN I FEEL THE RELATION
NO MUM NO HEARTH summum de nos herses
No GOD nos anodes ne sont pas la méthode
criez pleuvez si vous fuyez à pied le soleil finira bien par se clamer
que l’âme C est un abcés de la pensée décédé decidée à céder evoquer sa liberté son util prés jugé jachère

jaja j’attends le pringtemps
Il n’est pas encore TEMPS

Le temps est le tympan des sentiments, ils s’accumulent sur le marteau et le couteau, fait couler le bateau bas tôt,
dit : je veux te voir à poil, quand tu veux voir s’avale, sa voile,fuit,PFUFF !

pourquoi dire CHRONOS a mangé tout des os de DIONYSOS ?
les ossements sont les Dents ( merci Freud, rentrez chez vous
vous êtes souffrant ), ça fait long temps ? Bon vents ?
ou Ca FEE RIEN , NADA, queue de DALE dans ce palais, ma zette, il faut une raquette pour jouer avec sa quiesse quete qui est-ce? qui est ce ?

c’est moi je viens chercher ce que deux droit on volé ! le DROIT de la nature et le DROIT de raison , deux face de la même chanson,
c’est donc ça, C donc ça, on a reussi à couper un peu de mes onde pour creer le monde, enrouler mes idées, dans des spirales mystiques,
athétique, parfaite muse, tic ! zzz ! Silice delicieux helium
de BEU BEUL GOMME

Qui a Beulé aveuglé par le : j’ai ! RIEN enfin d’année damné par tant de dé carné car D le stade 4 de l’humanité sous l’action des chiffres rare pert son energie ou disparait en créant une force montante,
ou, si le dé pouvait resenser le chiffre 8, ferait la même chose,
quand sa face observable tomberait sur le 8
tandis que le dé à jouer pourrait révéler les chiffres dû par l’humanité,
c’est à dire ceux symbolique de ceux parmis les humains, qui opèrent
des actions de contraction au voisinage d’une fenetre temporelle,
laquelle révèle qu’à la source agit un DIEU, à la foi, concret et abstrait.

Alors, la boite noire ou troisième cercle , ferait apparaitre, gentillement scintillement de la saccharose sur nous ses choses roses oooaoua! ,
le chemin qui est un.

Alors que si je savais réellement maitriser le Français, il y a longtemps que vous seriez mort ! Tous ! sans l’exeption d’aucunes exceptions.
C’est ce que vous pensez de moi ? Oui, et bien ceci n’est pas suffisant pour faire de moi un incapable curable…  »

 » Seule, la Justice est incapable d’agir sur la Folie quand elle peuple les hopitaux de faux lits ! Laissez moi sortir maintenant, je vous l’ordonne au nom de la somme d’une consonne consonnante. Mais vous ne me laisserez pas sortir, n’est-ce pas, car sans moi vous êtes dans de beau draps, le beau chez vous ne serait-il pas un drap un peu gras, trop maigre ici … . Mai voue cent mois à l’imbélicité, qui enseigne au hommes à aller sur Mars quand ils ne savent pas … ma zette : de la soie soyeuse comme un sou soit propre sur soi, soit surpropre d’être soi ! … quand il ne savent pas que: Mars et ça repart la guerre!

Mare rrrr récompense maintenant qu’on sait que l’exploration spatiale doit aller aussi loin mais exactement mais exactement dans le sens opposé,il ne s’agit pas d’aller voir Dieu, caché en lisière du système solaire ; mais en laissant Mars aux martien, de continuer le chemin ! »

 » Ne me dit pas merci d’avoir sauvé cette vie qui est votre, en épargnant seulement la scie la scie de la la lit de vos fosses vie, pour distinguer vos pas riant du bon coeur où j’ai abrité MA VIE. Ce petit coin de part d’hadi, distinct de vos folie, si si, je ris moi aussi en écrivant l’avis de la vie sur votre A vit dit T »

 » Taisez vous !, pour la deuxième foi, qu’on me laisse sortir de ce dangereux pas. Vous pensez bien que, à m’entendre, à me comprendre,ici, il n’en né rien. Et à m’entendre sans me comprendre, on comprend que je ne suis pas né de cette époque…là Assé, à mon corps des dés dé fendant, un sort, une escarre, une mouche, là, Déesse, je sens que je touche. Pic, tu louches chousse où sont nos couches ! ?  »

 » A tuer des mouches on desespère les Baleines et les femmes ne deviennent pas des reines ? N’est-ce pas que j’ai raison, et que ce que je dis s’entend comme une chanson ? Non homme laisse moi sortir avant que je t’assomme de ma somme. »

 » Je n’ai pas l’envie de dormir ici ! »

C



 

Sensation d’art brut
Jean Dubuffet est un artiste du XX siècle bien connu dans l’ouest parisien, ne serait-ce que par sa monumentale « tour aux figures » dont les habitants de Boulogne, d’Issy les Moulineaux et des alentours peuvent admirer l’ingéniosité de ses 24mètres de hauteurs dans le parc de l’île Saint Germain où la statue trône.

 

Alors, imaginez qu’on prenne l’expression « art brut » attribuée à Jean Dubuffet dans son sens le plus large : l’art brut ce ne serait plus seulement l’art du peintre isolé, indemne de culture artistique, le fou des asiles : « fou d’invention picturale », la production des enfants ou des mediums, cela pourrait être aussi les fabuleuses peintures corporelles des primitifs, débarqués avec leurs animaux, sur l’île Saint Germain où l’architecte paysager aurait lui aussi tenté de faire de l’art brut .

Des vingtaines de marguerites, des tulipes, d’insolites fleurs d’artichaut, un arbre inconnu, avec fleurs en cercle, en rectangle, en triangle etc.…

Tout cela se voudrait explosion de couleurs, sous un ciel sensation d’art brut, soit étrange ou possible. Pour que le réalisme côtois l’hyperréalisme, le figuratif mystique, le pas fini, même : mais que l’ensemble laisse une trace colorée dans la rétine : peut-être une sensation d’art brut ?


Exégèse

Partie I
Selon le peintre sculpteur Jean Dubuffet qui en aurait inventé l’expression : «  l’art brut » désigne les créations de toutes personnes indemne de culture artistique : les « non professionnel », tel que les pensionnaires d’asile psychiatrique, les autodidactes isolés, les enfants voir les mediums ; chez qui il est question d’un art spontané, sans prétention culturelle, ni démarche intellectuelle ; art où se manifeste la seule fonction de l’invention.

Sachant cela, dans le tableau « art brut » j’ai tenté de pousser jusqu’à leur paroxysme les domaines que recouvrent l’art brut. Le tableau est de facture réaliste presque hyperréaliste pourtant la Tour aux figures de Dubuffet, symbole de l’art brut dans sa dimension architecturale bien connue des Boulonnais qui en allant sur l’île Saint Germain peuvent en admirer les 24 mètres de hauteur. Cette sculpture, dans mon tableau, entre en résonance avec les peintures corporelle de mes primitifs, et est soulignée par l’agencement architectural du paysage soit deux formes d’art que je propose d’inclure sous le terme d’art brut.

 

 

 

 

D’abord comme les peintures corporelles relevent d’un art spontané bien que codifie, tant aussi, l’architecte paysager structure l’organisation de l’espace en mettant à profit l’essentielle fonction de l’invention rehaussée par la beauté brut de la flore sa matière première.
Mais le paradoxe relève de la facture du tableau, celui-ci, on l’a souligne est réaliste voir hyperréaliste. Comme si ces trois domaines de l’art brut : la sculpture de Dubuffet, les corps peints des primitifs et le paysage ne pouvaient coexister dans l’espace-temps que sous l’hospice de la coïncidence, celle-ci révélée par l’hyperréalisme, autrement dit, en extrapolant, le réel lui-même.
Or, cet instant du réel ou l’on verrait 7 êtres, 3 bêtes a corne, 2 flamants rose, un paon, 2 oiseaux devant la sculpture de Dubuffet, cet instant est un possible peut-être utopique, mais pas irréalisable. Il correspondrait à une apogée du concept d’art suivant laquelle le lien entre tous les êtres préoccupés par la refondation esthétique du monde, soit les artistes des cinq continents, pourraient exister dans le même monde sans avoir à être classés selon le type de société qui les abrite (capitaliste, communiste, primitive ou autre).

 

 

 

Monde où le fou, à l’instar de l’injonction de Dubuffet pourrait dépasser son aliénation mentale en devenant vecteur des signes d’art influant l’ensemble des signes d’art de par sa simple existence.
Monde où le chaman qu’on a longtemps pris pour un schizophrène de par sa propension à faire de l’hallucination un moyen de connaissance, deviendrait et avec lui les membres de sa société, les promoteurs d’une culture dont les signes d’art sont primordiaux soit brut en ce qu’ils sont mus par une prétention culturelle et intellectuelle non dévoyée et aussi « pure » que les prétentions culturelle et intellectuelle à l’origine du besoin de créer l’art brut.
Monde enfin où l’architecture, art suprême dit-on, serait subordonnée au paysage et donc au respect de la nature au lieu que d’être soit une rupture avec le passé historique des villes soit l’expression ratée d’un impératif social de créer des habitats, inesthétiques faute de moyens et de but recommandables.

L’art brut dans le prolongement de l’intention de Dubuffet n’est donc pas seulement l’art pour l’art mais l’art ontologique, soit celui d’un monde primordial régit par la conscience poétique, celle qui définit la loi et dessine des armes grammaticales destinées à proposer toujours de nouveau chemin pour l’homme, sachant que le chemin primordial est un, tel que le laisse deviner un art primitif capable de faire coïncider le présent avec les temps ancestraux.

Monde encore où tous les discours celui du scientifique comme du politique se confondent avec la poésie, chair du langage organisatrice naturelle des rapports de l’être humain à l’univers. Ce dans le sens d’un signal ou second degré toujours accessible, toujours pourvoyeur de savoir et donc de pouvoir.

Tandis que le retardement de la satisfaction des instincts n’est pas le faîte de la pensée analytique et calculatrice, mais le fait de l’intuition cadrée par les règles poétiques, soit la pensée intuitive seule vraiment capable d’appréhender le sentiment poétique de la nature.

Ainsi compris comme un retour à la source pure de l’énergie créatrice, l’art brut élève l’esprit foudroyé par la maladie mentale, celui foudroyé par la solitude ou la vision surnaturelle ou enfantine à une dignité humaine enfin retrouvée grâce au médiateur artistique. Et plus le champ de ce qui est art se répand sur la terre des damnés ou poètes maudits, pourrait-on dire, plus, à contrario de cet afflux de nouveaux artistes, la notion d’art s’en trouve resserrée et réduite à l’essentiel de ce que l’art est : un domaine universel, mi-réel, mi-symbolique, régit par l’invention, soit le centre d’un mouvement qui contourne les obstacles issu de la hiérarchie des êtres en proposant un philtre ou une traduction du surnaturel dans un langage esthétique abordable intuitivement par tout un chacun.


 

 

 

Partie II

La beauté qui résulte d’une telle éthique esthétique pour ne pas dire morale esthétique, est le lieu de l’affrontement du carré inscrit dans un cercle pour ne pas dire maîtrisé par le cercle. Ainsi la plupart des tableaux de malade que j’ai pu observer ressemblent souvent par leur entrelacement de courbe et l’usage de couleurs extrêmement vives et mobiles, à des instantanés de l’énergie invisible qui tient l’univers par delà les lois physiques.
Energie perceptible grâce à un langage pictural original mobilisant toutes les capacités grammaticales de la poésie libre. Ici bien évidement il n’est pas question de faire le procès de la beauté des créations des artistes brut, sinon a dire qu’excepté moi et sans doute d’autres, lorsque le corps humain est représenté il est souvent réduit a un symbole naïf ou plutôt primordial, comme si ces artistes au corps meurtri ne pouvaient viser la forme corporelle sans la percer tel un rayon X pour accéder a son intérieur, siège de la beauté déchirante et tragique d’un réseau de veines et de nerfs, dont l’artiste brut adore retranscrire les échanges énergétique.

Echanges n’ayant rien a voir, ou si peu, avec l’agencement académique des couleurs chaudes (le rouge) et froides (le bleu). Ainsi ces artistes bruts nous font percevoir une beauté tout en instinct animal et surhumain, une beauté parfois monstrueuse. Celle que les peintres classiques trop soucieux du respect de Dieu, sans doute, n’ont pu aborder qu’en introduisant une dimension mythologique ou biblique pour noyer le corps académique dans une beauté dont l’aspect monstrueux n’était perceptible que grâce a une culture artistique de la tragédie partagée par le peintre et son spectateur. Culture perdue pour la plupart des humains aujourd’hui.

Face au constat de cette perte, le génie artistique poussé par la nécessité du sens a élaborer au début du XXe siècle un art conceptuel ou définit par une démarche intellectuelle. En réaction donc a l’histoire de la culture artistique ou plutôt a ce déficit culturel historique du grand public qui quand il ne faisait pas défaut (soit lorsque l’art n’était pas aussi démocratique) définissait les conditions d’une exaltation morale encline a mettre en branle l’âme sur le chemin Divin. Celui-la même que l’art conceptuel éludera au profit d’une mise en branle de l’être sur le chemin de l’imagination.

Mais l’imagination n’est pas l’invention, plutôt son présupposé. Aussi, si Dubuffet veut privilégier l’art où se manifeste la seule fonction de l’invention, peut-être est-ce la marque d’une sorte de dédain de la réalité visible. L’artiste brut lui préférant la saisie du cœur des êtres et des choses par la force et l’impétuosité de la pensée, à travers une sorte d’idolâtrie des symboles féminins et masculins (l’anima et l’animus dont parle Jung). Car en définitif, ceux-ci laissent le spectateur libre- cela en dépit de l’agnostique Dubuffet- d’en nommer le pivot organisateur par le terme de Dieu, ou esprit humain : soit les deux énergies réussissant à se jouer de l’imposante matière ou nature.

 

 

 

Partie III


Pour ma part, si j’aime a représenter la réalité de l’enveloppe humaine telle que je sens qu’elle a été, sera, et serait, une fois le poison de l’innocence dissipé dans le code génétique, c’est qu’a l’exemple de Michel Ange, le corps athlétique, pour ne pas dire guerrier s’est toujours imposé a moi, comme le symbole et la preuve de l’éternité possible de l’homme. Cela dans un monde ou le hasard ne serait plus qu’un facteur scientifique clairement délimité. Soit un monde tyrannique ou réconcilié avec son créateur.
C’est en visant cette réconciliation que j’orne les corps de signes distinctifs autant que primitifs, et que je les confronte a une dimension esthétique moderne et contemporaine, afin d’établir des passerelles de la compréhension mutuelle. Comme il se faut que l’artiste du XXIe siècle sache dessiner comme Raphaël, tout en n’omettant pas de jouir de la spontanéité créatrice d’un enfant de six ans, a l’exemple du cheminement spirituel débroussaillé par Picasso, le Gulliver de la peinture, et partant, de l’art, en cela : frère d’arme de Dubuffet, pourrait-on dire.
Or, voila la réflexion qu’a suscitée en moi la peinture du ciel, dans le tableau : « art brut ». Le sort de l’humanité dont la condamnation a mort découle de la condition humaine elle-même, tient tout entier dans notre capacité à lire l’univers au-delà de son organisation mathématique. Peut-être s’agirait-il de dissocier l’espace-temps de ses deux composantes, celle spatiale et celle temporelle ? Entreprise impossible, sinon en analysant l’arbre de vie, ou du savoir, abattu par Adam et Eve, arbre dont la disparition a introduit le temps dans l’espace : autrement dit la durée qui s’écoule pour l’homme qui va d’un point A à un point B, capacité soumise, a l’origine, au langage capable de par son essence divine « de faire apparaître », rien qu’en nommant.

Ce mythe que l’on y croit ou pas, permet de postuler l’existence d’un temps labyrinthique dont la connaissance de l’organisation devrait être consécutive d’une meilleure définition des trous noirs, ceux-ci qu’il s’agira de mesurer avant d’avoir la capacité de les parcourir. Ce qui d’un point de vue philosophique consiste à répondre a l’énigme suivante dont je traite dans << le Sentier Suprême des Ames bleues>> et sa suite : <<le Crépuscule de la Littérature et le Delirium Tremens>>. Soit, lorsque Alexandre l’africain se voit somme de contourner le paradoxe du mal, tel qu’il est défini par Zénéto, le juif idéal. A savoir : si le mal est concentre au bas d’un escalier situé dans une sorte de cave, faut-il s’en approcher, soit descendre les marches pour le connaître, sachant que par delà le bien et le mal, réside la vérité ?…

 

Partie IV

 

Revenons sur les techniques picturales qui ont suscité une telle vision. En autodidacte de la peinture qui commence où et quand il veut : j’ai peint d’abord les corps des primitifs, n’ayant comme repère que la tour aux figures dont je savais qu’elle serait située a l’avant dernier plan. En conséquence de quoi il est permis de dire que c’est l’intention architecturale de Dubuffet qui préfigure l’agencement des différents plans du tableau, motivant chaque coup de pinceau par une intention supérieure voulue cohérente.
Le chaman à l’extrême droite, le chef de clan au milieu, et le guerrier au premier plan, je les ai peint en utilisant la superposition de couche de peinture à l’huile, appelée glacis. Mais, sans utiliser divers produits chimiques, sinon un diluant usuel : l’essence de térébenthine. Et chacun des êtres du premier plan selon une technique différente, inventée ou réinventée, avec l’intention de personnaliser chacune de leur carnation.
Les personnages du deuxième et troisième, ou troisième et quatrième plan, sensée être plus jeunes, leur carnation est cree selon une technique sensiblement ressemblante, et a vrai dire réalisée a tâtons, tant il m’a été difficile de trouver un effet convenant a mon intention directrice. Soit : communiquer une sensation d’art brut, but, o combien utopique, qui revient à inventer un langage pictural idéal qui parlerait du langage pictural idéal.

La faille conceptuelle relevant des prémisses ; puisque le langage pictural obtenu semble, a priori, plus proche de la peinture classique de la Renaissance que de n’importe quel acte pictural affranchi de toutes références culturelles artistiques.

Mais a posteriori, cela est compréhensible si l’on considère que la référence culturelle adoptée correspond au point de vue de Dubuffet, point de vue saisi par le biais du monument qu’est-la <<tour aux figures>>, laquelle existe en trois dimensions. Du reste, sa reproduction a main levée, je l’ai réalisée au prix de mille et mille efforts répétés. Tant cette sculpture de 24 mètres de hauteur semble définie par un équilibre étrangement parfait entre : le caractère à priori contingent du tracé « aléatoire » de ses « figures », et sa détermination architecturale de tour. Comme il se faut que ce soit une tour, avant tout la tour de Babel, selon moi.

 

 

Aujourd’hui est-ce pareille qu’hier? cette aprés-midi est-elle la soeur de ce matin sans déluge sinon ces gouttes d’eau qui tombent de ton coeur afin d’exprimer ton humeur toi dont l’Univers est peuplé de sentiment, m’accorderas tu ce droit des intellectuels qu’avait reconnu Soleil man le magnifique quand il eut s’agit de voiler la beaute pour rendre les hommes égaux, sans se soucier de leur laideur, ou de leurs grimaces qui en d’autres temps nous auraient fait bien rire, mais voila en abattant l’arbre originel Adam, eve, leur enfants, et lilith qui était partie rejoindre les fils des hommes sur une barque faite du bois de cet arbre, tous ont rompus l’équilibre du Temps. Depuis l’etre humain est contraint au don de la LOI, alors emir, voila ma question: Le ramadan respecte-il bien la Diapose ? Question qu’il m’a ete permis de poser a Salomon :  » il reste trois architecte » m’a-t-il repondu alors. Qu’en est-il maintenant : la sagesse était-elle retenue par sept piliers le huitième jour de la création ?

Extrait de  » l’Ecrin aux Epines d’oursin » chapitre VII : description de l’institution psychiatrique

Certes Anne, tu m’as fait aimer Freud moi qui lui avais préféré son égal : Jung .
Certes, graçe à toi j’ai céssé de croire qu’à l’asile on s’acharnait seulement à m’empoisonner.
Certes, pour te plaire j’ai accepté ces piqures qui me faisaient dormir 15 heures par jour et grossir de jour en jour.
Certes, avec toi j’ai compris qu’on pouvait, qu’on devait renoncer à quelque chose, moi qui parfois en vous autres ne voyais que des choses auxquelles je ne pouvais pas m’identifier.
Certes, plus je t’ai couru après moins je t’ai attrapé, mais je te jure que sachant que Jeanne d’Arc est le premier travelo que Paco Rabane ait habillé, que si moi je l’avais lancé la mode ( j’ai inventé la mode en 1055 avant les cris de Jesus): des robes tu en aurais portées et si serrées que pour marcher il t’aurait fallu sautiller qu’ainsi je puisse te rattraper quand tu m’échappais.
Certes, tu me disais un baiser c’est une intrusion quand c’est volé. Mais j’étais niais avant que tu ne m’arraches mes derniers lambeaux de coeur pour me guérir, et dans ma niaiserie je me disais que si j’avais raté ton tout premier baiser qu’au moins j’aurais le privilège de te donner le dernier.
Certes… .

Alors pour la première fois ici, Anne, je te raconte et tu ne rigoles pas, comment se termina notre idylle myrtille:

d’abord, le matin o n est allé, tous les deux, main dans la main, à la piscine. Une fois arrivés près du bassin tu m’as dit dans l’eau pas d’urine ! que du pédalo ! Ainsi j’ai fait la planche et tes pieds dans la flotte ont fait des tranches. Après dix kilomètres, on a atteint une ile toute verte recouverte d’hetres. La tu m’as dit: sur la pelouse pas de parthouse que des bisous ventouses. Aussi je me suis transformé en Zèbre, toi en zigzag, et traversant la foret nous fumes l’animal le moins banal… .

Mais feu de Dieu, quand nous regagname notre auto bleue, il n’y avait plus de rouge, d’orange, de clignotant, de stop, de priorité maladroite, notre voiture à cent mille patates ne reconnaissait plus que les lignes droites, les queues de poissons, les écrasement d’escadrilles de moucherons sans compter les nécessaires renversements de piétons. Nécessaire car après il fallait bien s’arreter: comment aurions nous fait sans prélever l’impot éclair de Bouddha pour subventionner nos futurs repas, nos provisions de bonbons, coca-cola et marijuana?, morceaux de chair et abats?, pour toi Ste Marie couche toi la-la-tout contre moi ? Malheureusement ça s »est vite su dans la région que nous ne respections pas les lieux publics ou le public des lieux que nous visitions. Bande de limaces, nous, nous nous aimions d’un amour animal et cannibale; à en mériter quoi ? maintenant je sais: peut-etre le tribunal pénal international, pour avoir sacrifié tant de gens las! Puff!! disais-je: qu’importe de devoir prendre la porte à bord de notre bolide moi je sentais que la porte elle ‘tait pas solide.

Et te souviens-tu de cette course poursuite? la Gendarmerie d’abord, la police en hélicoptère après, puis l’ Armée en larmes, les dessins d’Hergé scientologue avant l’heure, las des G des S et des E, le maussade dans une voiture-pagay, le KGB nouvellement FSB, la CIA, pilotée à distance par la NSA ou la NASA : un million de scorpions voulaient nous espionner. Mais nous n’avions plus de chene… OOUAAA SAINTE ANNE de l’ile d’ibiza, combien de surfeur peuvent aborder? je suis pas un dealer, j’aime faire du roller avec avec jenifer killer, ai-je dit au dealer de botte en vrac qui met ses pattates dans un sac de bure car je ne fait que de la peinture monsieur nicolas et vous etes super chouette avec vos cacahuette touvée dans un kinder et hop apres un certain temps le cancer du poumon réaparait mais comme c’est hallo win une bouffée aspirée dans un aquarium et HOP champagne, le poumon prélevé devient une chaude pisse pour le mormon et pour toi homme si beau une bronchiole qui se ramifi, nicolas DAR LAIT, je t’aime.

ANNE dit aux habitant d’ibiza qu’on cante la chanson, suivante, et en coeour avec boufée d’hadi, pouf plouf, LE MORMON EST UN COCHON? IL NE TROURNE PAS ROND, CE SOIR GAINSBAROW FAIT DU RAKOTO? ET PICASSO MERDE LE ROBOT…. en COEUR ET AVEC DE LA HAUTEUREUReuurueuuruueuuruuuueueuuueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueurrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr, pas d’ereur c’est halloween et le père WIN WIN WIN comme la PENNICILINE, MAIS SANS CRIME parce que si je m’en JOHN JOHN JOHN JOHN LENNON BALIFROILLE BALLIFROLLE UNE F7VE OU AMANDE ou fève du brésil pour IBIZA mais pas de chocolat pas de bras por le nain mormon des anus anne, usa, U.S.A de patrick que tu receuille chaque jour par amour en apprenant que je t’aime chaque  jour et chaque jour, et s’il le faut nous sauverons l’amour, mon amour en apprenant à dire / bonjour pour que les allemand refilent la chaude pisse au mormon uni jambiste, ce lampitse qui confont les piste et le reglisse mais, FUCK YOU YOU YOU ? NON SKO SKO SKOU SKOU SKOU BIDOU OU ouooouooouooouoooouooouooouooououooouooouoouoouoooouooouooouooouoouoouooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuoooooooooooooouuuuuuuuuuuoouoooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooou § toujours égale à moi-meme puf daddy, je te le dit pardonne la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la kla ala ala ala llalala lai lit LILAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA A A j’aime bouddha mais dit moi Oç ôôô dit moi finir dans le petit vehicul c’est sur ibiza devenir une tarantul minuscule qui gesticule dans les couilles de ce couillon de mormon dont les enfant aime et connaisse les elefant et chante à barack libère le BONOBO laisse lui l’ordinateur car il est dans mon coeur et je m’en JOHN JOHN JOHN JOHN balifrouille les couille que l’uni-jambiste attrape la chaude pisse ton kinder c’est du beurre de pise pisse peace mais pas dans le chocolat pour toi ha la la la la, pantin aux trois main je te merde ton boukin les HELDER son des surfeur et FFFUCK? FUCK FUCK, grenouille de mes couilles tu n’aura pas autre chose qu’une putain d’amande n’est-ce pas NICOLAS SARKOZY oui je le dit j’ai voté pour mon blaireau ce matin et en me reveillant je n’étais pas dans un boukin ni dans un requin j’étais fin comme comme comme une tige grillée et en ce consummant ma cigarette à aussi consummée le consummérisme O¨isme de la pensensée PENS2E bonobo à une pensée aujourd’hui est un bon jour pour mourir ce matin je me suis réveillée charin comme un rein et mon refin serafin du mal un un un un choum le nain non seulement ta fille veut etre une pute main aujourd’hui ma cuite n’est pas fini je ne sai ou je me suis assis certainement dans la peau peau de couille d’un salaud de rakoto et la en désoulant je dit ha ha ha ha je sui calligula sssssssssssss tu glisse ? alors n’empeche pas la chaude pisse de ce malin de petit suisse que comme beau comme le sige si je suis une bonobo c’est qu je t’en merde et ta merde tu te la garde pour toi pa pa pa pompompom pas de chocolat pour un bras juste de la chaude pisse homme sans foi ni loi, cloon du cyclone cyclope de ma clope HA HA HA je te fuchk dieu de merde je t’encule spatule j’ai la me^me ête de cca ca ca huette ha ha ha me fredonne calligula en observant ta gueule de nain déformé refoeme du jardin du jardin de saint sainte sainet luc besson meme si ma cuite m’a fée mafe mafe mafe mafe mafe me trompé de fauteille jamais je ne serait triste trrritse comme un cerceuille si un surfeur tombe dans la piscine c’est normal et il n’y a pa s de mal reprenez tous en coeur la chanson du bohneur je suis un homme hop hip une feuille de chou chou fleur chou je ne suis que sur sa liste mais ne lui donnerait jamais la mort juste un corps de merde pour un nain-lapin la peint la la la la la la la un pain dans ta gueule mec si tu louchousse sur ma fille non seulement tu sang de chaude pisse mais dans ta cullotte de préférence l’eau rance de ton vieux con je n’en veux pas n’est pa pa pa chez moi l’amour c’est naturel je n’ai pas d’aile ni de devise je m’ en fou je ment fou de venise alors ma punition;,; fuck you die » c’est halloween sur terre mais pour toi que la chaude pisse dans ton nem unijaaaaaliste, dieu aucun mort à ibiza où je fait un carnage je déchire le coran la bible et je ne te laisse mort mot de con que l’oubliette de ce zip qui skrach ta bite minuscule, non seulement les helder je les ai trouvé beau poli intelligence d’engence mais ce son des surfeur né alors au lieu de faire la planche tombe dans ton livre de merde s’il veulent une planche je ne provoque pas une avalancve une avalanche, moi je ris de ta triste sottise ton chocolat de merde égale ton livre de merde alors laisse tes enfant devenir qui il veulent connard et moi mes légionnaire ils ne glisse pas du cul ppa pa pa pa pa de bon chocolat parce que tu manque de culture et au lieu de vouloir me donner ta puter luther mange du camember corbeau en été je mange des menthe  hallo president si ce nain ose emprisonné le bonobo je désintègre la terre de sa merde de personne hello hello ;; ha ha ha tu décroche cloche fragile ou je te rend débile de veille personne personne , hallo à l’eau les surfeur on surfffff jusqu’à ibiza sans s’arreter aaaaaAnne je t’aime en ma personne personne paul consomme grille grille ta clope avec le gars du bourg qui un jour à fané l’amour fleur de picasso-rakoto non non je ne suis pas un bonbon je dit just NON NON MUSICIEN VOUS N4AUREZ pas un quatrain je suis malgache au point de gacher le mal bande de vieux nin, alors si on reste un petit con de marionnette j’agite ma cacahuette et comme une maionnette si je casse les baton c’est quen les dansang comme mickel kloxone saxon puissant si tu veux me tuer je débarque en personne et je te merde ton champ de merde d’impuissant la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la un bras, fuck you dieu on danse mais toi tu n’est pas un enfant tu est un visse vieux stop, nous sommes en 2100.

Situation de l’extrait de cet opera electronique : Gulli le herault, apres avoir rencontre le fantome qu’il recherchait, decouvre Vaire sa fiancee future, la, il chante en anglais, continuant le chant entame par le coeur:

Gully

But what i have come todo in those gallows ?
here, i juste see your shadows
i want your saints shinning
to be your summer thinking
love me, love me please,
they are crying i’m the sky tender’s
instead of dreaming in the swing of your shoulders
but dont worry, i will never surender
it’s the indian summer time, in my mind…