POUR MONSIEUR SHIHIRO:

 

GULLY toujours à la recherche de son fantôme se réfugit dans un coin de ciel où il surprend un autre fantôme discuter avec CLARTE, le DIEU de Lumière:

 

GOTTHEIT :  << DOLY>> ko¨nnt ARISHE sein. Es ist ein kra¨nklich ZICK’ZACK, GeiBelung !

                   (  Doly ne peut pas être arienne. C’est trop un fragile détour, Chèvre! )

HITLEREICH : KEIN KULTUR !! …

                   ( Pas de culture !!… )

GOTTHEIT : CA¨IN KULTURE … AUSLESEN ! EINGEBOREN KU¨NTSLER !

                    ( Ou la culture de CÄin … Choisis et écoute : peintre aborigène ! )

LE COEUR OU LE VENT TRANSPORTE CETTE CHANSON JUSQU’A EUX TROIS:

<<  ARBEIT mart FREI die Aleine-SEIN ZEIT>>

<< Und ich SCHRIBE in die ALEINE NACHT>>

<< Ohne KUCHE,>>

<< Um zu EXISTIREN zu FIL ! >>

GOTTHEIT : Kein VERGESSEN, kein rude reise LACHEN

                   Arbeit macht frei die aleine-SEIN ZEIT

                   und ich SCHRIBE die ALEINE NACHT

                   Ohne KUCHE

                   Um zu EXISTIREN zu VIEL !

                  

LE COEUR : << KEIN VERGESSEN KEIN RUDE REISE LACHEN, KEIN, KEIN REIN REGE VERGESSEN !>>

                  << ARBEIT macht FREI die ALEINE-sein ZEIT>>

                  << Und ich SCHRIEBE die aleine NACHT>>

                  << Ohne KUCHE>>

                   << Um zu EXISTIREN zu VIEL…>>

GOTTHEIT s’adressant à HITLEREICH, et à GULLY qu’elle a vu derrière l’arbre : 

                 SEHEN : << EVE, CÄIN UND DIE SKLAVEREI >>

                 As EVE KAN NICHT ALEINE ODER MIT DASEIN,

                 SCHRIEBEN ohne UNTER’HALB

                                   ohne UNTER’HALT

                                   MITTERE MONDUMLAUF !

 

LE COEUR : << MOND von RINGELBLUM DOPPELGÄNGER SORGEN>>

                   << DOPPELGÄNGER und DENKEN>>

                    << Auf dieser IRDISCHEN WELT>> :

LE COEUR et GOTTHEIT: ARBEIT MARCHT FREI… DIE ALEINE-SEIN ZEIT !

GOTTHEIT : Arrbeit marrre FREI die Aleine-SEIN ZEIT !

GULLY: L’HALEINE de tes CHEVEUX mère, ondule les SAISONS

            Des IONS des PIONS de leur COULEUR,

            ET des ODEURS de leurs PEURS,

 

            Attachées au moteur de la TORPEUR,

            Aux boucliers de « l’appelez-moi raison »,

            En toutes saison de BOHNEUR,

             En toute LUEUR de RAISON,

             JASON du nom

              Du BRUIT du VIN

               Sur ton LEVIN

               Le PARCHEMIN

               De la GLOIRE, des MIROIRS, des AIGLES NOIRS,

               De la PENSEE pliée bizarrement par le BLIZARD,

               les NUITS et les BROUILLARDS,

               Les ZIGZAG de nos ARMOIRES,

               Les MIROIRS de nos MEMOIRES !

               Encombrés de SIGNES ABRUTIS !

               De SOLEIL d’Existence et de VIE,

                Sous la LUNE du SOUCIS !

 

                SOUCIS de LUNE et ORAISONS,

                INFORTUNES PLUMES,

                Summum BIBINDOMME, PLAY-MOBIL, et BEU BEUL GOMME, ne font pas HOMME :

               Maintenant dites moi où vous êtes ? Je ne vois qu’un fantôme !

               A toutes les tristesses, de toutes les FAIBLESSES du SOLEIL,

               Jet de GEANT, onguant d’HELIUM de BEU BEUL GOMME, et de bons VENTS,

               Dance dans tes CREUX les OCEANS !!!

 

LE COEUR : << ARBEIT MACHT FREI ALLEIN DICHT DICH

                                                        ALLEIN MEINUNGSVERSHIEDENHEIT

                         ARBEIT MARCHT FREI DIE ALEIN’SEIN ZEIT>>

 GULLY qui n’en tient plus sort de sa cachette s’adressant toujours au vent :

             ARBEIT MARCHT FREI NUR ICH KAN WERSTEHEN

             WARRUM BOUDDHA, MAHOMMET UND DICH PLANIEREN DARÜBER die LÜSTER

             GESHRIEBEN BY die MOND

              ARBEIT bei SICH

              SEHEN

             ELLE die MOND

             ELLE dich beim MONDSCHEIN,

             

LE COEUR : << MOND die TOT die TOT die TOT >>

                   << Die VERDEHT mein SEIN>>

                    << Am das TÜRMCHEN >>

                     << In die FLAMMEN SETZEN >>

                      << ZEN DENKEN VERGESSEN DANZEN !! >>

 

GULLY : MOND die HINGEBUNG

              Der KAUGUMMI

              Das PLAY-MOBIL

              Das BEU BEUL GOMME

              GEHEIMNISKRÄMEREI

              Des ARBEIT mÜhe MYTHOLOGISCH

              Ist OVERSTEHEN as OVERBEDANKEN

              In die LAGUNE fallstricken die HEIDE .

 

LE COEUR : << No « M » und eine GRÄSE GRAS >>

                  << EINKLEINDEN >>

                  << das KINGDOM >>

                  << RHUM der DOM >>

                  << KUPPEL DREHFFEIL >>

                  << DRECHSELBANK >>

                  << HERZ’ deine GEWIENEN >>

                  << GemÜtvoll HERZ-REICH >>

                  << Aus die eingute HERZTE HAFTIGHEIT ZEIT !! >>

 

HITLEREICH : Ich bin immer ÜBEL

GULLY : MIR gegen das LICHT BESEHEN

              Ohne bedenken der STECKEN, PFUI !!!

              DENKART der DENKER die NACHDENKLICHE aleine-sein ZEIT :

              ARBEIT MARCHT FREI die aleine-sein ZEIT …

              ARBEIT und FREI die aleine-sein ZEIT …

              REFLEX und REEPE die aleine-sein ZEIT !!!!

              OLE ! DENKEN !

Note : -/10
DEMONSTRATION DE L’INEXISTENCE DE LA LOGORREE
OU QUAND ON NE PEUT PARLER POUR NE RIEN DIRE
MEME SI ON EST FOU :MONOLOGUE DU FOU FACE A SON
MEDECIN:

Docteur,est-ce que les rimes liment la discipline de la penissiline ?

Elles glissent de mon corps, gisent de mon sort,tombe de la mort, comme mon remord ma nouvelle mort mais croissent et croassent encore plus fort que le vent dehors d’or
croissent encore plus vite que le vent dehors dort
sifflent encore plus huit que j’attend la suite
cuisent d’autant plus vite qu’elles sont complètement cuite
j’ai tout dit samedi
j’étourdis ça me dit :  » réflechi, vient ici !  »
moi,jeudi,toi,aussi,occi,vieilli;sali;pourri
tu fais comme Robinson pour te couper les ongles ?
tu attends Vendredi ?
ou est tu
ou et tu
où est tu
terre et terre taire ethère taire iter, i est et à quelle époque?
terre ré Terre quand ? tertre éther ni t, ni Thé ni K fée, capé,
Muse reitère territorialement correctement lentement doucement
reterre i tort A lis ZA SION et souffle en moi le si long sentiment Y
le sentiment de C Zon ! saison sezion de ses ions en pulle de ça vont,
savon, ça vont
la egal penis si spleen la penis is clean, la penis six lignes, non 7, pourquoi une de trop ? une de galop
Galaté galante attend les attalantes tandis que je pénètre dans la plante, quelle plante, la pennissiline ! pas S, C ! comme le penicillium, le vert de Véronaise ? , y a-t-il un rapport entre l’arsenic et la peine 28 à Boliwood en 41 ? Je vais à Bolliwood en 41 ! , an 41, j’ai 36 ans 6 et 8, 14, merci docteur si C est 8 sa place est la quatorzième lettre de l’Alphabet dans la forme de geométrie dans l’espace qui nous occupent

LA,la, las

j’ai eu un instant les mains paralysée comme le jour où j’ai goutté l’extasy extase mais pas pour moi

encore Y
i est grecque alors?

con dehors ! Sort, mort, morceau de l’or
courent encore et encore
tu sera plus fort que la mort du dehors de l’or
A corp B cote C cate ou cecable où c cable
l’ABC de trois mot volé esseule dans la liberté 2

egale

pensée esse cheveux lait
est ce l’oeuf, E et F, cheveulés ?

quoi ? il manque un e un l un s un accent sir complexe fleccible comme l’ex
X est un rayon ou un crayon d’ion ?
la penicilline un pinceau éléminant la vie de la bac Terre i
capbturé c a obturé la lumière
3 muse definissant le champ de la Cré

ré cré A SION

pourquoi je pense au protocole des sages de sion ?
Sagesse pionce
ça jet pont C et E
E aime ses 2 manière de créer

compter ou imaginer
T est le con où imaginer

20 survint dans cette démonstration
quoi des MONSTRES à SION ? quand ? ou ça ?
quel é poque !
que veut dire poquer

poK R

D des dés decedé
jamais un cou de D n’a bole ni Baltazar

chance et noir
le champ est noir ?
comme une hyperbole ?
Gueule d’amium

la je degage de l’A mi homme ni Rhum, ni ROME !
las je degage de l’H mi EUM ! HUM ! HUM ! HUM !

c bon docteur ?
lassez da cion
C égale AN 26

une muse me conduit trop loin pour compter, laquelle?
9 deesses des arts libéraux

un art ?
1 arbre
aberré

Tu meur abcède obèse et these parenthèse
je n’ai que 3 muses et 9 continents
comme un ver lent je passe le temps
il y a un art un avatar
quelle muse est la féal d’ ATTalante
ATTA égale asymptote
comment un
point peut s’éloigner
sur la courbe à l’infini ?
l’infini courbe t il ?
A saint chrome
DIEU I égale E
seul un cercle est une courbe à l’infini
il faut donc savoir si un cercle est une courte infini
si l’infini a une croute, gourde !

comment le point d’une droite peut-il tendre vers zero ?
Si c’est un point ce n’est pas rien ?
nous ne sommes pas chiens au point de croire que rien c’est le bien !

AN RAT G

enragé l’orage trepassez l’otage C égale laitage
donc quand on dit 123 on compte en montant ?
on pousse vers le ciel
– Picasso tait toi je ne ferai jamais de ciel vert deux fois !

suis-je donc seul à entendre vos voies raisonner sur mes pas, si las de la vie que je vous quitte déjà, muses de l’ennui
où est donc le paradis ?
quand je vous ai peinte j’ai toujours su que vous étiez trois.

l’hitoire Clio roule maintenant sur le monde bleu de tes cheveux vieux crasseux miteux d’AN vieux,
c’est vieux comme le monde un An
NAN,NAN,NAN,NAN,NAN,NAN,NAN,NAN,NAN
et moi maintenant je compte une deesses D et C 4 et 3,
un quatrain à trois les filles ?

Une deesse de plus, ô merci mon Dieu pour ton sérieux,
la solidité de mes yeux d’envieux, dans,dent,dance, vieux !
pourquoi s’arreter à huit Beethoven ? la veine bite au vent …
des passions! des pations! des pas si ON definit l’abreviation du groupe
dont l’haleine de l’eau, dont A l’aine de l’0 et tes hanches le bohneur ?

Chut Travaille!
OK

I HAVE BEEN KILLED IN ACTION WHEN I FEEL THE RELATION
NO MUM NO HEARTH summum de nos herses
No GOD nos anodes ne sont pas la méthode
criez pleuvez si vous fuyez à pied le soleil finira bien par se clamer
que l’âme C est un abcés de la pensée décédé decidée à céder evoquer sa liberté son util prés jugé jachère

jaja j’attends le pringtemps
Il n’est pas encore TEMPS

Le temps est le tympan des sentiments, ils s’accumulent sur le marteau et le couteau, fait couler le bateau bas tôt,
dit : je veux te voir à poil, quand tu veux voir s’avale, sa voile,fuit,PFUFF !

pourquoi dire CHRONOS a mangé tout des os de DIONYSOS ?
les ossements sont les Dents ( merci Freud, rentrez chez vous
vous êtes souffrant ), ça fait long temps ? Bon vents ?
ou Ca FEE RIEN , NADA, queue de DALE dans ce palais, ma zette, il faut une raquette pour jouer avec sa quiesse quete qui est-ce? qui est ce ?

c’est moi je viens chercher ce que deux droit on volé ! le DROIT de la nature et le DROIT de raison , deux face de la même chanson,
c’est donc ça, C donc ça, on a reussi à couper un peu de mes onde pour creer le monde, enrouler mes idées, dans des spirales mystiques,
athétique, parfaite muse, tic ! zzz ! Silice delicieux helium
de BEU BEUL GOMME

Qui a Beulé aveuglé par le : j’ai ! RIEN enfin d’année damné par tant de dé carné car D le stade 4 de l’humanité sous l’action des chiffres rare pert son energie ou disparait en créant une force montante,
ou, si le dé pouvait resenser le chiffre 8, ferait la même chose,
quand sa face observable tomberait sur le 8
tandis que le dé à jouer pourrait révéler les chiffres dû par l’humanité,
c’est à dire ceux symbolique de ceux parmis les humains, qui opèrent
des actions de contraction au voisinage d’une fenetre temporelle,
laquelle révèle qu’à la source agit un DIEU, à la foi, concret et abstrait.

Alors, la boite noire ou troisième cercle , ferait apparaitre, gentillement scintillement de la saccharose sur nous ses choses roses oooaoua! ,
le chemin qui est un.

Alors que si je savais réellement maitriser le Français, il y a longtemps que vous seriez mort ! Tous ! sans l’exeption d’aucunes exceptions.
C’est ce que vous pensez de moi ? Oui, et bien ceci n’est pas suffisant pour faire de moi un incapable curable…  »

 » Seule, la Justice est incapable d’agir sur la Folie quand elle peuple les hopitaux de faux lits ! Laissez moi sortir maintenant, je vous l’ordonne au nom de la somme d’une consonne consonnante. Mais vous ne me laisserez pas sortir, n’est-ce pas, car sans moi vous êtes dans de beau draps, le beau chez vous ne serait-il pas un drap un peu gras, trop maigre ici … . Mai voue cent mois à l’imbélicité, qui enseigne au hommes à aller sur Mars quand ils ne savent pas … ma zette : de la soie soyeuse comme un sou soit propre sur soi, soit surpropre d’être soi ! … quand il ne savent pas que: Mars et ça repart la guerre!

Mare rrrr récompense maintenant qu’on sait que l’exploration spatiale doit aller aussi loin mais exactement mais exactement dans le sens opposé,il ne s’agit pas d’aller voir Dieu, caché en lisière du système solaire ; mais en laissant Mars aux martien, de continuer le chemin ! »

 » Ne me dit pas merci d’avoir sauvé cette vie qui est votre, en épargnant seulement la scie la scie de la la lit de vos fosses vie, pour distinguer vos pas riant du bon coeur où j’ai abrité MA VIE. Ce petit coin de part d’hadi, distinct de vos folie, si si, je ris moi aussi en écrivant l’avis de la vie sur votre A vit dit T »

 » Taisez vous !, pour la deuxième foi, qu’on me laisse sortir de ce dangereux pas. Vous pensez bien que, à m’entendre, à me comprendre,ici, il n’en né rien. Et à m’entendre sans me comprendre, on comprend que je ne suis pas né de cette époque…là Assé, à mon corps des dés dé fendant, un sort, une escarre, une mouche, là, Déesse, je sens que je touche. Pic, tu louches chousse où sont nos couches ! ?  »

 » A tuer des mouches on desespère les Baleines et les femmes ne deviennent pas des reines ? N’est-ce pas que j’ai raison, et que ce que je dis s’entend comme une chanson ? Non homme laisse moi sortir avant que je t’assomme de ma somme. »

 » Je n’ai pas l’envie de dormir ici ! »

C

Patrick rakotoasitera (3eme lettre au president de la republique)
3e lettre au Président de la République, ENVOYEE LE 19 MAI 2009 , préfigurant les conceptions économiques à privilégier pour favoriser un meilleur partage de la richesse, que pourrait permettre une politique économique orientée par la prise en compte de l’impératif écologique notamment. A noter que mes réflexions découlent pour partie d’interrogations économiques mais tout autant d’autres domaines des sciences humaines, en l’occurrence du rôle de la COMMUNICATION dans les modalités de la superposition de la « base économique » et des « instances idéologique » comme dans toutes les sociétés des liaisons unissent l’état des forces de la production avec l’état des forces de la communication. Ainsi, la monnaie constitue un univers de signes d’autant plus primordiale qu’il peut quantifier l’univers des signes humains par le biais d’un signe d’autant moins neutre que coupé de sa dimension esthétique il dissimule l’éthique tout en conservant le pouvoir inhérent au concept d’écriture. Pour en débattre vous pouvez consulter les extraits de mon projet de recherche : « L’univers des signes, les signes de l’univers », bientôt mis en ligne dans la rubrique : « sa couleur », qui est le blog de mon site : www.patrick-rako.nuxit.net 

Pour une indépendance idéologique de l’économie

Monsieur le Président,

La simultanéité de deux évènements, éloignés dans l’espace, n’est vraie qu’en fonction du système de référence, soit sur le plan symbolique, selon la théorie de la relativité. Pourtant, l’état doit se maintenir afin d’harmoniser le projet architectural et la reconductibilité du lien social qui le justifie.

Le pouvoir du pharaon dans l’Egypte de l’Antiquité ne peut imposer un état centralisé qui influe sur tout, jusque dans la façon de traiter le commerce des animaux. Si jusqu’à un tiers de l’économie souterraine est mobilisée, quelle part dans l’économie réelle l’est par l’enrichissement du pouvoir dominant grâce au commerce des animaux empaillés ? Pouvoir dominant vendant des signes d’immortalité à ses sujets, comme de l’autre côté de la Méditerranée on pourra vendre des indulgences, lorsque les papes guerriers devront se refinancer.
Car, comme une entreprise qui serait capable de dire à ses employés qu’elle n’a pas obtenue les 1/3 des bénéfices pouvant subventionner l’investissement, donc l’investissement humain, celui, à priori, facteur de liens sociaux, et que par conséquent elle ne peut redistribuer 1/3 des bénéfices de son activité à ses salariés, à moins de fragiliser l’infrastructure de l’entreprise ; le pharaon ne peut ignorer qu’aucune expérience faite dans son système de référence ne permet de dire si le système de référence est immobile ou non. Car en réalité il ne l’est pas, et cette loi est immuable.
L’état est dépendant de l’écriture et des actes d’écriture pour réguler l’échange des biens et des services. Or, l’écriture et son enseignement, sont aux mains des prêtres, et des militaires, de la classe supérieure. Quant à la population dont il est le roi divin, on peut dire, là comme ailleurs, que joue le taux d’usure : stade ultime, ou l’élasticité de la demande, soit la capacité à payer du consommateur, est rendue impossible par la cherté de la vie, ou plutôt son manque de prix. Ce qui impose l’organisation du maintien de la spiritualité de la société dans la visée d’en assurer la cohésion, en accentuant l’aspect totalitaire de l’état.
Là ou l’état en imposant une redistribution des bénéfices par 1/3 aurait pu assurer un rééquilibrage des revenus en réduisant l’écart entre les plus bas salaires et les plus hauts, ce qui aurait contribué à garantir sa pérennité en neutralisant la dépendance de l’état vis-à-vis de la religion.
Dans nos économies, si des entreprises déclarent ne pas pouvoir payer : et les dividendes de leurs actionnaires et les salariés, la part des aides publique dévolue à l’entreprise doit être redistribuée aux salariés ainsi qu’employée à l’investissement, par la loi, afin de pallier les effets du taux d’usure de la consommation, lequel ne soutient plus l’économie, mais en créant du chômage, renforce le chaos des sociétés libérales et l’accaparement des capacités de production par l’économie souterraine. Le manque d’argent disponible, les foyers mis en état d’insolvabilité, grèvant le budget des banques, celles-ci plus sensibles que jamais à la masse monétaire mis en jeu par l’économie souterraine.
Lorsqu’un tiers des bénéfices des entreprises n’est pas redistribué aux salariés, la consommation finit par s’effondrer, par manque de solvabilité du consommateur, et l’organisation des relations commerciales régissant la distribution de produits de première nécessité, dans le sens d’une hausse globale des prix. Ces relations entre les distributeurs de biens de consommation et leurs producteurs pouvant être organisés en dehors du système d’échange de biens et de services. Dans une sphère différente : la sphère politique.
En vertu de quoi, l’homme ou la femme en charge des affaires de l’état, pharaon ou non, doit veiller à accepter le désordre apparent des sociétés, dit-on, s’il veut conserver l’essentiel : la liberté de penser qui favorise la démarche critique et le projet scientifique ; la liberté économique, en créant les conditions d’une organisation optimale du partage des ressources, ainsi que de la division du travail, et l’organisation de la restriction de l’écart entre bas salaires et hauts revenus ; afin d’obtenir une souplesse économique du système de référence, propre à amortir toute survenue de crise économique.
Or, si le 1/3 des bénéfices dévolu aux salariés est toujours maintenu, d’une manière ou d’une autre : intervention de l’état, obligation faite aux patrons d’entreprise : la part du budget des ménages consacrée aux logements n’influerait pas autant sur l’utilisation des revenus, et partant sur la liberté de mouvement, dans la condition ou prenant des mesure à la hauteur de l’évènement en cours, l’état maintient la part des entrepreneurs au 1/3 des bénéfices, en leur faisant supporter les baisses de la part des salariés.
Soit : en distinguant l’entrepreneur qui créé une valeur ajoutée fondée sur la spéculation dont les intérêts sont clairement orientés vers l’économie virtuelle, de celui qui contribue à l’existence des infrastructures, qu’elles soient industrielle ou correspondant à la propriété de biens immobiliers par exemple. Cette dernière catégorie d’entrepreneurs, les propriétaires, devant être celle dont l’engagement pour une meilleure accessibilité au logement doit être motivée. Seuil imposé des loyers en fonction de l’imminence du taux d’usure de la consommation, caractéristique de l’économie entrée en récession.
Car pour maintenir le lien social sans un excessif recours à l’ordre, l’économie doit être indépendante de l’état dans la mesure où c’est le mode de concertation des états entre eux qui doit aboutir à une recherche d’une dimension critique vis-à-vis des intervenants de l’économie, puisque l’économie ne participe que partiellement au processus d’ensemble de recherche libre de la vérité. De même que l’histoire semble ne pas avoir de sens à l’échelle des civilisations, sinon à dire que l’entropie est le caractère inéluctable de toutes activités économiques. Le déroulement de l’histoire pouvant marquer une inflexion des libertés, l’état rejetant la liberté individuelle au nom de la collectivité, et rejetant la liberté de la collectivité au nom d’une démarche philosophique supérieure dont participe son incurie propre. Comme l’entreprise perpétuant l’existence d’un niveau de vie minimal, auprès de ses salariés comme des ses consommateurs… .

Mais Monsieur le Président, vous ne semblez pas vouloir accepter le chaos apparent des sociétés libérales sans pour autant accepter l’indépendance de l’économie vis-à-vis de l’état ; sinon votre mandature ne serait pas autant marquée par une intervention au niveau législatif : l’écriture et le respect des lois garante et levier de l’ordre économique selon vous. Ce qui ne me semble pas une erreur de jugement.
Seulement les outils conceptuels qui sont utilisés dans l’art de gouverner les états, s’ils ont historiquement vu la fin de l’emprise philosophique au profit de la praxis – la philosophie communiste de la troisième internationale, modérée par la quatrième internationale voyant finalement la suprématie de l’économie libérale pratique advenir – laisse croire que la politique économique doit être établie dans la connaissance des principes de conservation d’énergie, régit par l’entropie, soit la disparition irréversible des échanges thermiques. La disparition des ressources de production interdisant l’élaboration d’un modèle économique immuable. En effet, si le modèle libérale a triomphé, c’est au prix d’une stabilité sociale basée sur l’accession du plus grand nombre au standard de la consommation dominante, à l’égalité des droits civiques et des libertés pour tous, selon une justice contractuelle où le marchandage politique et le calcul des lobbies influencent la recherche du profit jusque dans l’invention de nouvelles technologies, pourvoyeuses de travail, et jusque là toujours au rendez-vous de la relance économique des sociétés modernes, ce dans l’ignorance partielle de l’épuisement des ressources naturelles. Ce qui en trente ans aura contribué à la stabilité politique de l’état et de la société a aussi travaillé au détriment de l’écosystème jamais autant sollicité par l’homme depuis l’avènement de la civilisation. Le rêve d’un monde où l’augmentation de la vitesse des moyens de communication imposerait des échanges suivis entre toutes les sociétés, tandis que le tissage économique étant mis en avant là où le lien idéologique a failli, risque d’être mis à mal par une croissance zéro généralisée, interdisant à terme la satisfaction des besoins qu’ils soient nécessaires ou non des populations mondiales.
Or, de même que l’économie dans le calcul de la richesse doit intégrer la notion de richesse négative ou involutive : soit cette capacité de l’homme à s’enrichir alors qu’il détruit la possibilité même de produire. Appauvrissement de la terre, surexploitation des ressources forestières, marines et minérales. Afin d’optimiser l’économie des moyens de production, visée ultime de l’économie : le PNB, Produit National Brut et le produit intérieur brut de l’état doivent pouvoir recenser l’impact de l’activité négative, soit l’impact de l’activité de la production sur la création globale de CO2 et de sulfure d’hydrogène ou de tout élément connu, constitutif de la ressource de production dont l’évolution à la hausse marque l’avènement du taux d’usure de la ressource globale, et de ses répercutions sur la production qui aggrave à terme, ou que révèle le taux d’usure de la consommation. Quand celui-ci n’est pas artificiellement créé par une pratique économique déséquilibrée entre l’économie souterraine réelle et virtuelle. Symptôme d’une mauvaise domination de l’économie réelle ou quand les lois régissant l’offre et la demande sont manipulées par une classe dominante, quelle qu’elle soit. Ce qui, ni plus ni moins, est une subsistance de l’empreinte idéologique sur l’économie. Laquelle entrave la constitution d’une économie indépendante.
Aussi, une fois l’impact écologique de l’entreprise mesuré, impact dont la maitrise doit être le but ultime de la politique économique, l’impôt nouveau sur lequel appuyer une diminution maximale des taxes des collectivités locales pesant sur l’entreprise rendue ainsi capable d’assurer le partage par 1/3 équitables de ses bénéfices entre les salariés, les nécessités de l’investissement , les dirigeant et les actionnaires éventuels – cet impôt qui compense le manque des collectivités locales peut être celui d’une participation de l’entreprise au rééquilibrage de la production de CO2. Impôt qui pénalise l’entreprise irresponsable, et donne les moyens à l’état d’influencer la consommation comme on influence la vitesse sur les autoroutes, en pénalisant là, la production de CO2 générée par chaque produit par un jeu sur la TVA qui lui est appliquée. L’enjeu de la maîtrise de la TVA, devant être recentré au niveau Européen, autour de la notion directrice d’une production la moins involutive possible pour l’ensemble du système économique. Et non influencée par l’instauration de normes sans effets sur la production mondiale de CO2.
Ainsi l’économie performante ne peut plus favoriser le déséquilibre des revenus et des ressources naturelles, si elle ne veut pas que le chaos apparent des sociétés occidentales et de toutes sociétés ne se développe au-delà du point où la rupture du lien social est irréversible. Sinon après une période de relance de l’économie par la guerre. Celle des voies de communication et ressources primordiales. L’eau et l’énergie dominante dans la satisfaction des besoins immédiats et futurs, que la refondation du système économique doit prendre en compte instamment, au risque de voir disparaitre l’idéologie démocratique. Ultime idéologie. Celle qui favorise la démocratisation globale de l’accès aux ressources, freine la guerre en mondialisant les interdépendances économiques entre les pays. Même si jusque là elle a favorisé une guerre larvée. Première étape après laquelle elle doit coordonner l’action des états en fonction d’un partage des ressources obtenu à travers une protection juridique spécifique de la ressource coïncident avec un fonctionnement économique où la valeur ajoutée est rapportée à la valeur ajoutée globale des échanges de biens et de services qui doit correspondre sur un plan théorique comptable au degré de liberté individuelle de chacun généré par l’échange des biens et des services, degré mesuré par l’indice d’espérance de vie en bonne santé de chacun dans l’ère économique considérée, idéal micro et macroéconomique, que pourrait contribuer à améliorer une meilleure coïncidence entre l’état réelle des ressources de production et la liberté des acteurs économiques. Comme il se faut que l’harmonisation des outils économiques contribuent à l’émergence d’une conscience mondiale d’un passé et d’un avenir commun.
Alors une politique économique semblant accentuer les inégalités sociales deviendrait obsolète puisque la redistribution par 1/3 des bénéfices une fois instaurée juridiquement, la rationalisation des actes médicaux, par exemple, ne pourrait plus être envisagée en dehors de l’augmentation de l’espérance de vie en bonne santé, notion qualitative quantifiable dont les facteurs défavorisant peuvent être combattus juridiquement.
Certes, la course générale au lieux de résidence optimisant l’accès à un niveau de vie et d’éducation qualitative persistera, accentuant pour les moins bien lotis l’impact du chaos apparent indissociable du fonctionnement social, mais l’état psychosocial historique des villes et de leurs quartier sera d’autant mieux supporté que le citoyen pourra espérer d’une remise à plat des règles juridiques orientant le fonctionnement économique, une régulation des échanges économiques plus juste et non une énième épuration de l’économie basée sur la réduction des couts de production subit par la majorité pauvre des citoyens.
Car, partout où menace l’inégalité de l’accès à l’éducation et partant au meilleurs postes, charge est due à l’état d’instaurer une discrimination positive. Moins d’enseignants pour moins d’élève c’est logique, mais pas là où le lien social est déjà délité et marqué par l’économie souterraine et la subsistance sous le mode du système D.
Selon le même ordre de priorités, l’autonomie des universités ne doit pas entraver l’autonomie des chercheurs, garant du futur progrès scientifique sur lequel se fondera l’entrepreneur pour créer des emplois.
Et si l’on ne veut pas désespérer la génération montante dont l’inconscient collectif est modelé par l’apprentissage des sciences de la Terre autant que par le désir absolu de consommer, la raréfaction du travail ne doit être tolérée comme une raréfaction des revenus, modérée par la répartition par 1/3 des bénéfices, que si le ralentissement de l’économie est l’instauration naturelle d’une économie des ressources qui s’impose à nous. Dans un certain sens, la réduction du secteur automobile et la limitation de l’accès aux voitures neuves par les jeunes ménages est aussi le signe d’une régulation naturelle de la production de CO2. Instaurer une régulation économique artificielle de la production de CO2 doit donc favoriser la révolution des mentalités et l’adaptabilité aux nouvelles situations économiques que doit prendre en compte, voir prévenir l’intégration du taux d’usure globale dans le calcul comptable.
Ainsi, dans les trente prochaines années, si la Chine se réveille vieille avant d’être devenue riche, le maintient des retraites par les salariés en activités pourrait ne pas être assuré sur le mode de la redistribution ou la retraite par capitalisation. Le coût du maintient des aînés au domicile des jeunes ménages pourrait être allégé suivant un système économique qui envisage l’accès aux biens et aux services par les retraités selon le mode de la gratuité. Soit la nécessité d’élaborer des projets de fin de vie peut-être sur un modèle hybride, communiste et capitaliste, la prise en compte de l’entropie inhérente à l’activité économique et aux conditions de la vie elle-même et le soucis de l’indice d’espérance de vie en bonne santé : soit l’élaboration d’une économie indépendante idéologiquement, pourrait susciter la possibilité conceptuelle d’une régulation des échanges de biens et de services non dans le sens unique d’une course aux profit involutive. En établissant des modèles de développement toujours ajustables à la réalité. En dernière analyse, cela relève de la capacité déterminante de l’économie libérale capable de susciter l’émergence d’une contre-culture, de même qu’elle est mue par une loi capable de s’autodétruire pour se réajuster aux nécessités du moment. L’anticapitalisme serait encore une œuvre du libéralisme, sans contradiction sinon dans les moyens employés avec des mesures visant à restreindre la délocalisation des bénéfices dans les paradis fiscaux ou le circuit spéculatif internationale…

Le coût d’une santé sociale doit être financé par une juste répartition des bénéfices. Si l’on peut concevoir la nécessité de la réduction de la part des salariés en cas de crise, le maintient de la part idéale dévolue à l’investissement, la part des patrons doit être réduite proportionnellement à la part des salariés, afin que les prélèvements n’instituent pas de cercle non vertueux en pénalisant un peu plus la consommation.
Bien à vous. Patrick Rakotoasitéra
NB : mon site de peinture et de réflexion établit sur internet : www.patrick-rako.nuxit.net

ADDENDUM du 16 aout 2009:

un article récent du monde rédigé par le groupe écologiste dont fait partie mr Mammere rappelle fort à propos que ce groupe est à l’origine de la proposition de loi concernant ce que sous le martellement présidentiel j’appelle la taxe carbone et qu’il conviendrait mieux de nommer contribution climat-énergie. Je l’ignorais comme j’ignorais que le coeur de cette proposition était en instaurant cette contribution d’en redistribuer les gains aux foyers dont les revenus sont les plus modestes. bien évidemment cette redistribution si elle était appliquée me semblerait justifiée.

Patrick rakotoasitera (Lettre au president et reponse)
Patrick rakotoasitera (Lettre au president de la republique) 

LA POLITIQUE ET LA POESIE ET VICE VERS CA

La politique est la maitrise de la consequence de ses actes et des actes d’autrui. Pour autant pourquoi s’interresser a maitriser les depenses budgetaires par des mecanismes qui voudraient se reformer, ou du moins reformer un mode de fonctionnement, quand le concernement par lequel on souhaite maitriser la consequence de ses actes, implique l’instauration d’un mode de communication conflictuel, dont on peut se demander s’il ne peche pas dangeuresement vers une politique qui oublit d’aborder la SOCIOLOGIE, celle-ci fondee aussi par la Phenomenologie, apres laquelle on se demande encore pourquoi le COEUR est obnibule par la raison pure, celle-ci qui peut emprisonner pour eduquer ou eduquer pour emprisonner ?

Certes, penser a partager les benefices de l’entreprise par 1/3, est une partie de la solution. Car , comme on l’apprend quand, poursuivit par une dette, on reçoit un avis a tiers detenteur. Ce 1/3 est l’avoir financier de notre etre. Et c’est vrai, cet avoir, tous les avoirs financier, dans le cadre de l’entreprise, pourquoi ne pas les soumettre
a un meme sort reflechi. De telle sorte que pour 1/3, les benefices aillent a l’investicement. Tandis que dans le meme temps seraient synchronises humainement les 100% des salaries de l’entreprise, soit en offrant un support informatique personnalisé permettant la verification des paiement et de l’ensemble des salaries et de la banque elle-même, si l’entreprise est une banque.

Je ne vous cache pas Monsieur le president que vouloir retirer les taxes qui pesent sur l’entreprise et inventer un impot de remplacement, sera difficile a maitre en oeuvre, et pis que ça, risque de desoeuvrer nombre de communes. Les quelles n’auront d’autre choix que d’expliquer a leurs concitoyen qu’il faut manifester… ce d’autant plus que votre discours ne sera fondé philosophiquement.

Dans le meme ordre d’idée, la branche de la MEDECINE Psychiatrique
peut etre perçue comme le lieu d’achoppement de plusieurs disciplines. Or, si des espaces , des hopitaux, lui ont ete consacres, vouloir remodeler la Psychiatrie de secteur, n’est une bonne idee que si les grands complexes Hospitaliers en question, ne sont pas transformés en “prison”, disons le mot. Et comme vous l’a deja dit Madame Royale, qui, si elle pensait integrer des reflexions plus sensibles raisonnait tout de meme avec le coeur: Il n’est pas seulement question d’avoir de la compassion pour autrui, il n’est pas question de ne pas en avoir ! Et je ne parle pas des capacitées de stockage de l’information qui devraient etre devolues a la sociologie et non devenir un instrument de controle et de maintien de l’ordre: c’est le lien sociale qui maintien l’ordre , pas le contraire.

Ainsi, le projet architectural de l’hopital psychiatrique ne peut etre balaye par une politique ambigue qui d’une part, rend lisible le devoir des salariés, lequel apparaitrait au gré de votre humeur et de la mentalité manipulée. D’autre part, en faisant appel a la moralisation comme si l’etat ne devait determiner que ce qui est mal, role en l’occurence devolu au peu de medecins qui restent, a moins que ?…

Au sujet, d’une nouvelle régulation des marchés : ceux ci fonctionneront quoi qu’il arrive, c’est donc la masse monetaire mise en jeu d’une bourse a l’autre qui doit etre clairement definie et cela sera certainement le cas si la volonte politique se fait communication.

Dans ma premiere lettre je vous parlais de la necessite de ne pas laisser la JUSTICE entierement aux mains agissantes de la raison pure (lire “lettre aux presidents de la planete” et “lettre a Nicolas Sarkozy”).
Les raisons pures ignorent l’utilisation de la douce rigueur, celle respectueuse de la nature humaine, celle avec qui l’histoire personnelle se confond avec le destin psychosocial de nos societes, ce qui est le premier stade du pardon.

Mais voyez vous, l’art qui a ete integre dans le processus psychiatrique, est menace par votre politique dont l’esthetique semble a priori fondee par la raison pure. Or l’art ou son concept joue un role tres important dans la regulation de la superstructure, vous ne pouvez l’ignorer.

De plus, il est crucial que la TVA sur les produits de premieres necessites et dont l’impacte ecologique est la meilleur, soit abaissee.Cette mesure est si importante qu’en meme temps qu’elle s’inspire de la PYRAMIDE DE MASSE LOW, pourrait réorrienter la machine Europeenne dans le sens d’un progres partage par tous sur une ere culturelle devolue a tous.

Certes me direz-vous, mieux vaut batir que ne rien faire. Seulement le projet architectural n’a de sens que si la population qui le met en oeuvre peut satisfaire ses besoins primaires et culturels. Nourrir son peuple et aussi important que le soigner, ou le divertir en permettant de l’ameliorer.

Or, le progres, il faut le repeter n’est valable que s’il est l’affaire de tous et pas une machine a vous reproduire, comme peut l’etre le blé , d’un autre point de vue, qui nous reproduit.

Si la Terre ne peut pas supporter l’accroissement de ses populations, leurs dirigeant n’offrant comme seule reponse a leur concitoyen que le defrichement des forets, afin (belle utopie) de privilegier l’edification du reel sur une base industrielle; les entrepreneurs, les speculateurs, partant : les assemblée d’homme et de femme qui organisent leur manoeuvre, sont tous a leur niveau responsable de l’inscription dans le reel d’un concept né prematurement et correspondant a celui d’une production coupée de ses sources de production.

Parce que au final, peu importe la marchandise a vendre. Il fallait obtenir des gains de productivite: la valeur ajoutée correspondante devait etre multipliee par des operation de business ou les bourses apparaissaient comme d’Herculeen ressorts, et jeux de circulation des relation monetaire. Rien moins que l’incarnation dans le champ reel de l’effort d’une politique qui croit qu’on eduque quand on emprisonne, efforts tendus a seul fin de renforcer l’attachement de la personne au 1/3 de son identite. En realite, voila bien une stratification sociale d’autant plus rigide et inflammable que la peur est le ciment commun a toutes les strates, laissant tout de meme des failles que seuls les alpinistes chevronnes peuvent escalader.

Pour le commun des mortels le nouveau jeu sera egalement de monter plus haut, afin de mettre a l’abri le contenu de son coffre fort, seul garant de son present, son avenir et revelateur de son passe.

Mais m’objecterez vous, les marchands d’art alimentent eux aussi la speculation ! c’est qu’il s’agit d’une speculation a part entiere, elle, capable normalement de sublimer les pulsions de mort. D’ailleurs si toutes les oeuvres d’artistes cotes ne sont pas envisagees dans le CAC 40, c’est qu’il est plus aise de transporter une toile que des millions d’euro evalue et non pas devalue, aux encheres. Moyen par lequel l’argent sort de la bourse pour penetrer dans la colection publique ou privee, jusqu’au jour d’echec economique ou il faut retransformer cet objet en or.

Mais pourquoi vouloir penaliser la societe parce que les procés se multiplient ? A defaut d’etre enochien ( les PME durent en moyenne 30 a 50 ans), on peut toujours choisir d’investir dans la solidite de ses actifs- et la il vous faudra relire ma lettre sur le taux d’usure (www.patrick-rako.nuxit.net rubrique “sa couleur”); car la relance par l’investissement n’evite pas l’investissement humain. Comme l’investissement pousse a l’investissement.

Vos discours ne laissent, cependant, pas penser que la logique du cumul des gains sera reellement une redistribution. En effet: si 1/3 des benefices vont aux salaries, en sondant un peu cette idee, on se demande qui du cadre ou de l’ouvrier verra son revenu nettement ameliore ?

Car, en definitive, la part du salarie le situe dans la position de l’ecartellement des membres. Ainsi, le chef d’entreprise peut toujours
profiter de la valeur ajoutee créé par l’efficacite de l’ouvrier, tout en repercutant sur les salaires le cout des taxes de l’entreprise, tandis que dans un mouvement en spirale le revenu des salariers se voit grevé par l’impot indirect avec une Taxe sur la Valeur Ajoutée applicable a tous.

Or, quid de l’immobilier? Le proprietaire est un entrepreneur comme les autres: il preleve sa part lui aussi sur les salariers, l’acquisition de bien et de services, se realisant dans le sens d’une farce, puisque le salarié, et votre gouvernement en a pri conscience,ce salarié qui peut tres bien etre proprietaire ne peut que constater l’existence du flux de l’argent.

Alors quoi ? notre corps est au mains de docteurs dont les actes, a l’instar de la fonction politique, doivent etre calcules. Notre infortune aux main des banquiers dont les scrupules n’outrepassent pas leur frais de fonctionnement?

Le role de l’institution banquaire s’inscrit, pourtant, dans la lignée du processus historique de la desacralisation des signes artistiques, parce que d’un point de vue economique, l’art en se democratisant a vu s’elargir ses domaines de competences; ainsi a-t-il pu s’affranchir du mecenat religieux: premier moyen par lequel les 1/3 de la personne dévolu a la spiritualite, etaient mis en vente.

C’est donc soit un sombre calcul, soit un relan de religion mal vecu que de presenter la folie a travers les actes d’un skizophrene. Specialement si on ne s’interresse qu’à cette fraction de la population ultra minoritaire dont les faits divers rendent celebre l’incapacité de la Justice a agir sur la folie.

Mais revenons a notre salarie. Non seulement il doit assurer l’existence de ses pairs, en cotisant pour sa retraite mais, comble de l’humain assisté par l’ordinateur, tandis que son argent alimente le circuit speculatif, et, puisque la logique est a celle d’un profit immediat delesté d’avenir; il se produit l’impensable.

Le salarié a travers les fond de pension, summum de la xenophobie, contraint les entreprise dont il s’est accaparé le capitale, a licencier là, pour relocaliser ailleurs; la où le cou de la main-d’oeuvre peut etre tranché. Autrement dit dans le monde qui ignore la loi des trois tier, le ou la salariée (manipulée) élimine le salarié.

Le salarié n’étant qu’un terme puisqu’un salarié ne ressemble pas à un autre salarié et que c’est cette abscence de lien qui frene l’accaparement des capacités de production par l’etre humain, si tant est que ce geste ne debouche pas sur une nouvelle utopie du soleil.

La fonction de l’etat à priori incapable de proteger les salariés, impose de savoir manipuler les concepts ( pour ma part j’ai cessé d’en inventer); car la capacité à nommer les animaux impartie à Adam et Eve, etait-t-elle destinee a s’accaparer dans un meme mouvement cannibalistique toutes choses et son essence ? meme le dernier de la classe pourrait repondre… .

La monnaie n’est qu’un avatar du verbe divin, pour autant cela ne signifit pas qu’au -dela de sa dimension esthetique, on doive la couper de son ethique.

Les flux financier fonctionnent a la fois de maniere rationnelle et alleatoire et c’est la rationnalité qui optimise l’efficacité de l’aléatoire en le rendant créateur de valeur ajoutée.

Aussi, au moment ou l’aléatoire (jusqu’au prochain coup de dé), semble, grace a la capacité de stocker de la memoire, et par le médiat informatique, capable de tisser un réseau comportant des points fixes et/ou constant: il est primordiale de preserver le revenu de chacun seul capable d’echaffauder des projets de vie authentique, que l’on croit a l’interret du travail ou non.

Par ailleurs, le taux licite au-dela duquel l’interet de la somme pretée est illegal devrait decouler d’une juris prudence, afin de libérer le salarié de sa vie de credit. Ce taux d’usure devrait pouvoir etre calculé pour ce qui concerne l’economie virtuelle. Dans l’economie reelle, le taux d’usure est lui aussi a surveiller puisqu’il a un rapport avec l’élasticité de la demande. En revanche l’économie souterraine dont les avoirs réintègrent toujours l’économie réelle sera peut-etre visée lorsqu’on etudiera les reseaux de collusion qui ont provoqués la crise planetaire.

A dessein de stopper ou plutot fragmenter le mouvement qui resulte de la mise en branle de ce taux d’usure des ressources naturelles, car dans le fond ce n’est pas autre chose que la Terre nous fait savoir: Si les syndicats s’entendent honnetement avec les patrons d’entreprise, si l’Europe abaisse d’urgence la TVA sur les produits de premieres necessite; si Obama donne de la voix pour le bien des population africaines, on peut espérer que le partage equitable de la Valeur Ajoutée mondiale devrait permettre de trouver un equilibre indefini, là ou le desequilibre des castes n’entraine pas la dechirure du tissus sociale manipule par l’accaparement des ressources.

A ce stade de la reflexion, je ne peux que vous enjoindre de ne pas opposer les groupes sociaux par une politique de repression des boucs emissaires.

En effet, le tissus sociale doit etre doux , solide, et suffisamment influance par l’architecture pour qu ‘à son plus bas niveau ou stade de la decheance humaine, l’elasticité de ce tissus humain, tel un trampoline, serait de permettre un retour à la vie sociale.

Mais l’amortissement de la souffrance, monsieur le president, doit etre supporté par l’état, si l’on veut voir un jour le tissus des relations sociales racommodé par de jeunes gent, peut etre des psychologue, a la rigueur ayant le soucis de l’efficacité, mais plus certainement oeuvrant: là ou le signe et son objet ont ete separés de leur relation symbolique d’amour par une realité sociale défavorable pour la famille.

Là aussi ou les concepts qui régulent la superstructure sont trop soumis a la delocalisation de leur lieu de rencontre. L’art masquant la religion, la religion masquant la banque, la banque masquant l’exercice du pouvoir absolu: l’état.

Monsieur le president en resumé il est bon de penser avec le coeur et non pas laisser le coeur n’etre qu’une pensee.

En vous souhaitant bien du courage, veuiller recevoir cette fois ci comme il se faut, mes salutation de bonne année.

NB: puissiez vous etre assez clair-voyant pour comprendre que la bataille d’Hernani a eut lieu: la virgule appartient aux artistes. Ainsi les 1/3 des benefices attribués aux salariés, devraient etre le mecanisme par lequel ce qui va au-dela de la decimale appartient a tous , soit ni a la banque, ni a l’entrepreneur; et que par consequent l’exercice comptable devrait toujours etre un nombre rond.

NB2: prochaine étape
” A PARTIR DE QUELLE TAILLE D’ENTREPRISE L’USAGE DES INVESTISSEMENT EST DEVOLU AU SALARIE ?

PATRICK RAKOTOASITERA

Rédigé par : patrick rakotoasitera | le 13 mars 2009 à 17:53

REPONSE RECUE LE 17 AVRIL 2009 DE MR CEDRIC GOUBET Chef de Cabinet du President :

Cher monsieur,

Le Président de la République a bien reçu votre courrier.
Monsieur Nicolas Sarkozy m’a chargé de vous remercier d’avoir souhaité lui adresser votre réflexion à laquelle vous pouvez être assuré qu’il a été porté l’attention requise.



 

Sensation d’art brut
Jean Dubuffet est un artiste du XX siècle bien connu dans l’ouest parisien, ne serait-ce que par sa monumentale « tour aux figures » dont les habitants de Boulogne, d’Issy les Moulineaux et des alentours peuvent admirer l’ingéniosité de ses 24mètres de hauteurs dans le parc de l’île Saint Germain où la statue trône.

 

Alors, imaginez qu’on prenne l’expression « art brut » attribuée à Jean Dubuffet dans son sens le plus large : l’art brut ce ne serait plus seulement l’art du peintre isolé, indemne de culture artistique, le fou des asiles : « fou d’invention picturale », la production des enfants ou des mediums, cela pourrait être aussi les fabuleuses peintures corporelles des primitifs, débarqués avec leurs animaux, sur l’île Saint Germain où l’architecte paysager aurait lui aussi tenté de faire de l’art brut .

Des vingtaines de marguerites, des tulipes, d’insolites fleurs d’artichaut, un arbre inconnu, avec fleurs en cercle, en rectangle, en triangle etc.…

Tout cela se voudrait explosion de couleurs, sous un ciel sensation d’art brut, soit étrange ou possible. Pour que le réalisme côtois l’hyperréalisme, le figuratif mystique, le pas fini, même : mais que l’ensemble laisse une trace colorée dans la rétine : peut-être une sensation d’art brut ?


Exégèse

Partie I
Selon le peintre sculpteur Jean Dubuffet qui en aurait inventé l’expression : «  l’art brut » désigne les créations de toutes personnes indemne de culture artistique : les « non professionnel », tel que les pensionnaires d’asile psychiatrique, les autodidactes isolés, les enfants voir les mediums ; chez qui il est question d’un art spontané, sans prétention culturelle, ni démarche intellectuelle ; art où se manifeste la seule fonction de l’invention.

Sachant cela, dans le tableau « art brut » j’ai tenté de pousser jusqu’à leur paroxysme les domaines que recouvrent l’art brut. Le tableau est de facture réaliste presque hyperréaliste pourtant la Tour aux figures de Dubuffet, symbole de l’art brut dans sa dimension architecturale bien connue des Boulonnais qui en allant sur l’île Saint Germain peuvent en admirer les 24 mètres de hauteur. Cette sculpture, dans mon tableau, entre en résonance avec les peintures corporelle de mes primitifs, et est soulignée par l’agencement architectural du paysage soit deux formes d’art que je propose d’inclure sous le terme d’art brut.

 

 

 

 

D’abord comme les peintures corporelles relevent d’un art spontané bien que codifie, tant aussi, l’architecte paysager structure l’organisation de l’espace en mettant à profit l’essentielle fonction de l’invention rehaussée par la beauté brut de la flore sa matière première.
Mais le paradoxe relève de la facture du tableau, celui-ci, on l’a souligne est réaliste voir hyperréaliste. Comme si ces trois domaines de l’art brut : la sculpture de Dubuffet, les corps peints des primitifs et le paysage ne pouvaient coexister dans l’espace-temps que sous l’hospice de la coïncidence, celle-ci révélée par l’hyperréalisme, autrement dit, en extrapolant, le réel lui-même.
Or, cet instant du réel ou l’on verrait 7 êtres, 3 bêtes a corne, 2 flamants rose, un paon, 2 oiseaux devant la sculpture de Dubuffet, cet instant est un possible peut-être utopique, mais pas irréalisable. Il correspondrait à une apogée du concept d’art suivant laquelle le lien entre tous les êtres préoccupés par la refondation esthétique du monde, soit les artistes des cinq continents, pourraient exister dans le même monde sans avoir à être classés selon le type de société qui les abrite (capitaliste, communiste, primitive ou autre).

 

 

 

Monde où le fou, à l’instar de l’injonction de Dubuffet pourrait dépasser son aliénation mentale en devenant vecteur des signes d’art influant l’ensemble des signes d’art de par sa simple existence.
Monde où le chaman qu’on a longtemps pris pour un schizophrène de par sa propension à faire de l’hallucination un moyen de connaissance, deviendrait et avec lui les membres de sa société, les promoteurs d’une culture dont les signes d’art sont primordiaux soit brut en ce qu’ils sont mus par une prétention culturelle et intellectuelle non dévoyée et aussi « pure » que les prétentions culturelle et intellectuelle à l’origine du besoin de créer l’art brut.
Monde enfin où l’architecture, art suprême dit-on, serait subordonnée au paysage et donc au respect de la nature au lieu que d’être soit une rupture avec le passé historique des villes soit l’expression ratée d’un impératif social de créer des habitats, inesthétiques faute de moyens et de but recommandables.

L’art brut dans le prolongement de l’intention de Dubuffet n’est donc pas seulement l’art pour l’art mais l’art ontologique, soit celui d’un monde primordial régit par la conscience poétique, celle qui définit la loi et dessine des armes grammaticales destinées à proposer toujours de nouveau chemin pour l’homme, sachant que le chemin primordial est un, tel que le laisse deviner un art primitif capable de faire coïncider le présent avec les temps ancestraux.

Monde encore où tous les discours celui du scientifique comme du politique se confondent avec la poésie, chair du langage organisatrice naturelle des rapports de l’être humain à l’univers. Ce dans le sens d’un signal ou second degré toujours accessible, toujours pourvoyeur de savoir et donc de pouvoir.

Tandis que le retardement de la satisfaction des instincts n’est pas le faîte de la pensée analytique et calculatrice, mais le fait de l’intuition cadrée par les règles poétiques, soit la pensée intuitive seule vraiment capable d’appréhender le sentiment poétique de la nature.

Ainsi compris comme un retour à la source pure de l’énergie créatrice, l’art brut élève l’esprit foudroyé par la maladie mentale, celui foudroyé par la solitude ou la vision surnaturelle ou enfantine à une dignité humaine enfin retrouvée grâce au médiateur artistique. Et plus le champ de ce qui est art se répand sur la terre des damnés ou poètes maudits, pourrait-on dire, plus, à contrario de cet afflux de nouveaux artistes, la notion d’art s’en trouve resserrée et réduite à l’essentiel de ce que l’art est : un domaine universel, mi-réel, mi-symbolique, régit par l’invention, soit le centre d’un mouvement qui contourne les obstacles issu de la hiérarchie des êtres en proposant un philtre ou une traduction du surnaturel dans un langage esthétique abordable intuitivement par tout un chacun.


 

 

 

Partie II

La beauté qui résulte d’une telle éthique esthétique pour ne pas dire morale esthétique, est le lieu de l’affrontement du carré inscrit dans un cercle pour ne pas dire maîtrisé par le cercle. Ainsi la plupart des tableaux de malade que j’ai pu observer ressemblent souvent par leur entrelacement de courbe et l’usage de couleurs extrêmement vives et mobiles, à des instantanés de l’énergie invisible qui tient l’univers par delà les lois physiques.
Energie perceptible grâce à un langage pictural original mobilisant toutes les capacités grammaticales de la poésie libre. Ici bien évidement il n’est pas question de faire le procès de la beauté des créations des artistes brut, sinon a dire qu’excepté moi et sans doute d’autres, lorsque le corps humain est représenté il est souvent réduit a un symbole naïf ou plutôt primordial, comme si ces artistes au corps meurtri ne pouvaient viser la forme corporelle sans la percer tel un rayon X pour accéder a son intérieur, siège de la beauté déchirante et tragique d’un réseau de veines et de nerfs, dont l’artiste brut adore retranscrire les échanges énergétique.

Echanges n’ayant rien a voir, ou si peu, avec l’agencement académique des couleurs chaudes (le rouge) et froides (le bleu). Ainsi ces artistes bruts nous font percevoir une beauté tout en instinct animal et surhumain, une beauté parfois monstrueuse. Celle que les peintres classiques trop soucieux du respect de Dieu, sans doute, n’ont pu aborder qu’en introduisant une dimension mythologique ou biblique pour noyer le corps académique dans une beauté dont l’aspect monstrueux n’était perceptible que grâce a une culture artistique de la tragédie partagée par le peintre et son spectateur. Culture perdue pour la plupart des humains aujourd’hui.

Face au constat de cette perte, le génie artistique poussé par la nécessité du sens a élaborer au début du XXe siècle un art conceptuel ou définit par une démarche intellectuelle. En réaction donc a l’histoire de la culture artistique ou plutôt a ce déficit culturel historique du grand public qui quand il ne faisait pas défaut (soit lorsque l’art n’était pas aussi démocratique) définissait les conditions d’une exaltation morale encline a mettre en branle l’âme sur le chemin Divin. Celui-la même que l’art conceptuel éludera au profit d’une mise en branle de l’être sur le chemin de l’imagination.

Mais l’imagination n’est pas l’invention, plutôt son présupposé. Aussi, si Dubuffet veut privilégier l’art où se manifeste la seule fonction de l’invention, peut-être est-ce la marque d’une sorte de dédain de la réalité visible. L’artiste brut lui préférant la saisie du cœur des êtres et des choses par la force et l’impétuosité de la pensée, à travers une sorte d’idolâtrie des symboles féminins et masculins (l’anima et l’animus dont parle Jung). Car en définitif, ceux-ci laissent le spectateur libre- cela en dépit de l’agnostique Dubuffet- d’en nommer le pivot organisateur par le terme de Dieu, ou esprit humain : soit les deux énergies réussissant à se jouer de l’imposante matière ou nature.

 

 

 

Partie III


Pour ma part, si j’aime a représenter la réalité de l’enveloppe humaine telle que je sens qu’elle a été, sera, et serait, une fois le poison de l’innocence dissipé dans le code génétique, c’est qu’a l’exemple de Michel Ange, le corps athlétique, pour ne pas dire guerrier s’est toujours imposé a moi, comme le symbole et la preuve de l’éternité possible de l’homme. Cela dans un monde ou le hasard ne serait plus qu’un facteur scientifique clairement délimité. Soit un monde tyrannique ou réconcilié avec son créateur.
C’est en visant cette réconciliation que j’orne les corps de signes distinctifs autant que primitifs, et que je les confronte a une dimension esthétique moderne et contemporaine, afin d’établir des passerelles de la compréhension mutuelle. Comme il se faut que l’artiste du XXIe siècle sache dessiner comme Raphaël, tout en n’omettant pas de jouir de la spontanéité créatrice d’un enfant de six ans, a l’exemple du cheminement spirituel débroussaillé par Picasso, le Gulliver de la peinture, et partant, de l’art, en cela : frère d’arme de Dubuffet, pourrait-on dire.
Or, voila la réflexion qu’a suscitée en moi la peinture du ciel, dans le tableau : « art brut ». Le sort de l’humanité dont la condamnation a mort découle de la condition humaine elle-même, tient tout entier dans notre capacité à lire l’univers au-delà de son organisation mathématique. Peut-être s’agirait-il de dissocier l’espace-temps de ses deux composantes, celle spatiale et celle temporelle ? Entreprise impossible, sinon en analysant l’arbre de vie, ou du savoir, abattu par Adam et Eve, arbre dont la disparition a introduit le temps dans l’espace : autrement dit la durée qui s’écoule pour l’homme qui va d’un point A à un point B, capacité soumise, a l’origine, au langage capable de par son essence divine « de faire apparaître », rien qu’en nommant.

Ce mythe que l’on y croit ou pas, permet de postuler l’existence d’un temps labyrinthique dont la connaissance de l’organisation devrait être consécutive d’une meilleure définition des trous noirs, ceux-ci qu’il s’agira de mesurer avant d’avoir la capacité de les parcourir. Ce qui d’un point de vue philosophique consiste à répondre a l’énigme suivante dont je traite dans << le Sentier Suprême des Ames bleues>> et sa suite : <<le Crépuscule de la Littérature et le Delirium Tremens>>. Soit, lorsque Alexandre l’africain se voit somme de contourner le paradoxe du mal, tel qu’il est défini par Zénéto, le juif idéal. A savoir : si le mal est concentre au bas d’un escalier situé dans une sorte de cave, faut-il s’en approcher, soit descendre les marches pour le connaître, sachant que par delà le bien et le mal, réside la vérité ?…

 

Partie IV

 

Revenons sur les techniques picturales qui ont suscité une telle vision. En autodidacte de la peinture qui commence où et quand il veut : j’ai peint d’abord les corps des primitifs, n’ayant comme repère que la tour aux figures dont je savais qu’elle serait située a l’avant dernier plan. En conséquence de quoi il est permis de dire que c’est l’intention architecturale de Dubuffet qui préfigure l’agencement des différents plans du tableau, motivant chaque coup de pinceau par une intention supérieure voulue cohérente.
Le chaman à l’extrême droite, le chef de clan au milieu, et le guerrier au premier plan, je les ai peint en utilisant la superposition de couche de peinture à l’huile, appelée glacis. Mais, sans utiliser divers produits chimiques, sinon un diluant usuel : l’essence de térébenthine. Et chacun des êtres du premier plan selon une technique différente, inventée ou réinventée, avec l’intention de personnaliser chacune de leur carnation.
Les personnages du deuxième et troisième, ou troisième et quatrième plan, sensée être plus jeunes, leur carnation est cree selon une technique sensiblement ressemblante, et a vrai dire réalisée a tâtons, tant il m’a été difficile de trouver un effet convenant a mon intention directrice. Soit : communiquer une sensation d’art brut, but, o combien utopique, qui revient à inventer un langage pictural idéal qui parlerait du langage pictural idéal.

La faille conceptuelle relevant des prémisses ; puisque le langage pictural obtenu semble, a priori, plus proche de la peinture classique de la Renaissance que de n’importe quel acte pictural affranchi de toutes références culturelles artistiques.

Mais a posteriori, cela est compréhensible si l’on considère que la référence culturelle adoptée correspond au point de vue de Dubuffet, point de vue saisi par le biais du monument qu’est-la <<tour aux figures>>, laquelle existe en trois dimensions. Du reste, sa reproduction a main levée, je l’ai réalisée au prix de mille et mille efforts répétés. Tant cette sculpture de 24 mètres de hauteur semble définie par un équilibre étrangement parfait entre : le caractère à priori contingent du tracé « aléatoire » de ses « figures », et sa détermination architecturale de tour. Comme il se faut que ce soit une tour, avant tout la tour de Babel, selon moi.

 

 

Si tu veux préparer la paix prépare la guerre ! , est-ce vrai? et pourquoi est-ce un à priori stupide:

tout d’abord parce que la guerre depuis le 9ème jour de la création qu’elle a commencée a toujours été un anti-destin pour la femme évangélique et la posibilité d’un destin pour la fuligineuse Pandore. Autrement dit quand les hommes vont à la guerre les sourires crispés peuvent danser sur les lèvres libérées des femmes ainsi affranchies de la dette éternelle qui pèse sur leur destin.

De plus, à la fin de la guerre la Dette se reporte toujours sur les épaules des perdants, homme, femme, comme enfant. Sachant que les femmes de l’autre camp ont perçu elle également la possibilité d’un anti-destin, affranchies à leur tour de la dette, celle-ci se reportera sur leurs enfants. Où l’on voit la nécessité lors du prochain sommet internationnal de libérer les peuples de leurs dettes intélligemment et pour de bon, afin d’éviter de préparer la paix…

La Vie n’est pas un capital elle est juste capitale pour consommer humainement les fruits de la planète Terre, la considérer autrement que comme un acquis cela revient à nier l’existence du concept de Dieu et la lutte ontologique de chaque homme pour acquérir son épouse et la mettre en floraison dans un monde choisi. Et si l’on ne choisit pas d’être, pour autant, il est malsain qu’on supporte les multiplications de l’aigre vieillesse, elle qui veut pouvoir quand la jeunesse veut savoir. Paradoxe économique résolu si l’étalon international était le BITS, car alors la jeunesse n’aurait plus a payer les fautes de la vieillesse et en entrant dans l’aire de l’offre et la demande, pourrait-elle apprendre à savoir ce qu’elle veut, quand la vieillesse pourrait vouloir ce qu’elle veut une fois affranchie de l’obligation d’utiliser la monnaie sonnante et trébuchante; comme il se faudrait que ses besoins soient assurés en BITS, ceux-ci non immédiatement convertibles en or pour cette tranche d’age.

Pour comprendre le chapitre VII de « L’Univers des Signes les Signes de L’Univers » à savoir celui de la 2eme partie traitant de l’approche de la resolution du conflit ( Rôle de la diffusion de l’écriture et du développement des moyens de communication, dans la stabilité de l’empire romain); il est nécessaire de le confronter avec le VIIeme chapitre de la 3ème partie: La Figure de l’autre, intitulé : La Sorcière et la figure de l’ENFANT; tout en ne perdant pas de vue le VIIème chapitre de la 4ème partie ( Révolution des modes de transmission de l’INFORMATION) dont le titre est: Dédoublement de l’art: L’art totalitaire, et diffusion croissante de l’image-information; ce, si l’on veut comprendre le VII chapitre de la cinquième Partie du projet de recherche ( Montée de la face cachée du monde, dont nous sommes les contemporains), Chapitre s’intitulant: Le projet Architectural et la volonté politique.

En effet, en proposant mon projet de recherche au collège international de philosophie je ne pensais pas ou si peu, que ce projet fondé par l’interrogation du concept d’art servirait de colonne vertébrale aux guerriers des 9 continents, cela m’a valu d’être un temps arbitre international perpétuellement en procès, devenu fou parmi la folie inhumaine, donc clairvoyant et sinon peintre du moins poète, soit un des législateurs méconnus du monde terrestre.

Mais ne perdons pas de vue l’axe de notre projet de recherche du sens de l’art. Souhaitons être encore plongé dans le terreau de la communication de n’importe quelle société sans la dépouiller de sa chair languangière afin que ses fruits fécondent une anciennement nouvelle philosophie de l’art, puisque nous sommes mus par le besoins impérieux de ne plus créer de nouveaux concepts, attitude perpétuant la guerre.

Ainsi, souhaitons que notre démarche n’enferme pas le questionnement philosophique sur lui-même comme ce fut le cas lors de la seconde guerre mondiale, lorsque le nazisme et le fascisme pendant du liberalisme et du communisme voulurent tous en même temps habiller Eve de leurs signes distinctifs en lui proposant ce nouvel homme mi-Dieu, mi-satanique dont seul Lilith, l’Eve au coeur déchiqueté aurait pu espérer vouloir. Eve insatisfaite de Beauté pure qui en la personne de Simone wiel refusera toujours d’enfanter malgré les injonction du conseil israélite déstabilisé par ce membre incapable de s’élever socialement, donc de quitter le travail à la chaine, comme il se fallut que Simone au nom de Dieu refusa d’abandonner ses amis ouvriers, donc esclaves modernes, quand bien même son travail d’écrivain lui aurait permis de briguer les plus fameuses recompenses, elle, être de mumière qui avait tout compris des raisons qui poussèrent Léonard de Vinci à écrire à l’envers. Elle, pion de Freud et point de référence qui lui aurait permis au coeur du mal de chercher le beau, et de mieux s’interroger sur sa laideur. Si et seulement si Freud à l’instar des Surréalistes avait reconnu combien ce n’était pas un hasard si tous les fous l’avait autorisé a regarder le diable droit dans les yeux par l’intermédiaire du miroir psychanalitique propre à considérer l’envers du monde de Dieu et idoine à trouver et retrouver d’autres chemins pour les hommes.

Mais à Vienne, berceau d’une valse des regards s’entrecroisant pour tisser un réel où les sensibilités de chacun se défendaient d’être ramenées à la pensée d’un seul sujet énonciateur, Freud piètre médecin, dont il était de notoriété publique que ses frères maitrisaient verticalement et horizontalement la production de la cocaïne, lui qui tel Caïn mortifié à l’idée d’avoir assassiné son frère héroïnomane, s’était juré et noblement juré d’aller à la rencontre d’autrui et de la matérialité des choses en s’inscrivant dans la lignée de cette intention philosophique caractérisée par une dimension critique vis à vis du langage, telle que l’avait réactualisé Nietzshe, puis plus tard telle que la réactualiseront, aprés la seconde guerre mondiale, Foucault ou Wittgenstein. Mais là, à la différence prés ou à la trop grande ressemblance de qui, ayant mal compris Victor Hugo quand il nous enjoignait de mettre du génie dans notre vie, Freud l’inventeur de la cocaïne, verra dans chacune de ses patientes l’héroïne qu’il faut plonger dans le noir (l’inconscient), de telle manière qu’ainsi aveuglée, elle recherche à travers la brèche du language le point surréel: mi-réel, mi-symbolique, grâce auquel, le discours cesse d’être un motif de dissimulation des mobiles humain, point lumineux qui rayonne dans le coeur de l’homme, étalon de la véritable beauté, la plupart du temps sans rapport, ou plutôt ayant cent rapports avec la beauté de son enveloppe terrestre. Homme que les veines circulatoires de la Terre taillée dans sa chair argileuse, véhicule toujours de la même manière depuis la nuit profonde des premiers temps, tandis que seuls la guerre ou l’art permettent d’inflechir les caprices, (excusez moi du terme),de l’espace temps en se révélant destin ou anti-destin.

Aujourd’hui est-ce pareille qu’hier? cette aprés-midi est-elle la soeur de ce matin sans déluge sinon ces gouttes d’eau qui tombent de ton coeur afin d’exprimer ton humeur toi dont l’Univers est peuplé de sentiment, m’accorderas tu ce droit des intellectuels qu’avait reconnu Soleil man le magnifique quand il eut s’agit de voiler la beaute pour rendre les hommes égaux, sans se soucier de leur laideur, ou de leurs grimaces qui en d’autres temps nous auraient fait bien rire, mais voila en abattant l’arbre originel Adam, eve, leur enfants, et lilith qui était partie rejoindre les fils des hommes sur une barque faite du bois de cet arbre, tous ont rompus l’équilibre du Temps. Depuis l’etre humain est contraint au don de la LOI, alors emir, voila ma question: Le ramadan respecte-il bien la Diapose ? Question qu’il m’a ete permis de poser a Salomon :  » il reste trois architecte » m’a-t-il repondu alors. Qu’en est-il maintenant : la sagesse était-elle retenue par sept piliers le huitième jour de la création ?