Catégorie : Histoire
DES RAISONS DE SE REVOLTER ( billet d’humeur)
En cinquante ans, la nécessaire adaptation du salariat au développement mondial des stratégies industrielles et financières internationales a bouleverser jusqu’au mode de consommation du citoyen français. Ou peut-être est-ce le mode de consommation qui est le grand responsable de ces stratégies industrielles et financières ? Car, dorénavant le citoyen est dépendant de la perpétuation du système de production industriel de la filière agroalimentaire qui le nourrit. Comme à un échelon collectif, le destin financier de la France, à l’instar de celui des autres états, est, lui, dépendant d’un mode de gestion financière caractérisé par un système d’internationalisation des risques financiers, supportés en dernière analyse par le salarié lui-même.
Dit autrement : en cinquante ans, le mode de vie et de consommation de masse aura été si systématiquement adopté et formaté de par le monde, que le revenu de l’Homme du début du XXIème siècle, comme l’autonomie financière du pays qui l’abrite, sont strictement déterminés par des stratégies industrielles et financières qui semblent devoir leur échaper. Et si impérieusement que ces stratégies favorisent l’enrichissement d’une oligarchie mondiale composée de dynasties d’industriels, de magnats de l’énergie, de cercles d’actionnaires en tous genres. Lesquels sont en apparence d’autant moins concernés par le développement d’une nation ou d’une autre que leur empire terrestre chevauche les richesses de plusieurs pays, dont le niveau de dépendance au système économique international interdit la possibilité pour leur classe politique nationale ( quelle que soit sa tendance) de voter et d’appliquer les lois qui protègeraient leurs citoyens.
Or, si disparates soient-ils de par leur origine religieuse, ethnique; si différentes soient les affinités historiques des pays alliés dont ils sont issus, ce qui les détermines en groupes rivaux, les membres de cette oligarchie s’accordent sur le postulat de la nécessité d’une hégémonie collective sur le monde qui soit pérennante. Comme ces hommes et ces femmes semblent capable, afin de se maintenir radicalement, de se combattre , en tous les cas de ne pas empêcher la destruction partielle et redoutée du système économique actuel, si tel est le prix du maintien de la domination de leur membres les plus redoutables. Système économique qui aura, en un demi siècle, réussi à relever tant bien que mal le niveau de vie mondial, faisant reculer au moins partiellement la pauvreté endémique ( même si l’avidité de cette oligarchie a fait progresser artificiellement la misère dans les pays industrialisés eux-même ces dernières années) ; système ayant contenu les conflits traditionnels entre états par un maillage économique mondial vecteur de commerce et de paix relative. Mais notamment en Europe et potentiellement partout où les agissements de cette oligarchie induira une crise de la gouvernance ( conséquence inévitables du modèle de consommation sur lequel s’est fondé leur emprise mondiale) , il semble que soit déjà atteint ce stade paroxystique où la subordination de la loi démocratique à la loi économique dévoyée, a si bien décrédibilisé la fonction politique, si bien dévalorisé le travail salarié, si bien appauvri la qualité du bien de consommation, si bien épuisé les ressources du monde – que pour contrecarrer la révolte des salariés et déjouer les mécanismes institutionnels de taxation des gros avoirs financiers, cette oligarchie mondiale sera tentée de laisser s’instaurer les conditions idéales d’une relance économique internationale effective seulement après une révolution ou plutôt une guerre majeure. Dessein que servirait la confrontation de n’importe quelle idéologie contraire : le monde musulman contre le monde occidental, les anciens pays industrialisés contre les pays émergents, les U.S.A contre la Chine, etc … Du moment que la destruction soit suivie d’une reconstruction des économies alors dévastées. Comme alors s’agira-t-il d’édifier un nouveau et pourtant identique système économique dominé par cette partie de l’oligarchie qui aura vaincue ses concurrents.
L’impératif de l’accumulation du capital et le dogme fou de sa nécessaire rentabilité maximale est bien à l’origine des manœuvres incessantes de concentration-fusion, redéploiement de l’activité industrielle, et revente des activités les moins rémunératrices, au sein des grands groupes que leurs membres se partagent. Le tout, financé par la démultiplication des montages financiers sur les marchés à risques si rémunérateurs, et dont les pertes sont jusque là toujours compensées par l’intervention coupables des états désireux de maintenir le système financier international tel quel. Tandis que les collusions particulières entre économique et politique nécessaires à cette stratégie mondiale , auront été accentuées à mesure que s’opérait un repli communautaire au sein des pays eux même. Repli corollaire de l’affaiblissement des états, de l’affaiblissement de la cohésion nationale mise à mal. Par suite d’un accaparement mondial des richesses qui a contraint les états a écorner leur projet social, faute d’argent. Qui a provoquer l’endettement des ménages désireux de maintenir leur niveau de vie par le recours de l’emprunt. Qui a ruiné le petit entrepreneuriat sur qui aura pesé le véritable poids de l’impôt collectif. Petit entrepreneuriat seul véritable créateur d’emploi. Celui auquel le système bancaire dévoyé n’accorde déjà plus le financement nécessaire au développement de son activité.
Pour dire vrai, à l’égard d’une situation économique et politique mondiale qui menace d’aboutir à la destruction du système économique actuel, et plus spécifiquement à la destruction du système démocratique fondé sur l’intervention d’un état-nation déjà plus capable de répondre correctement au souci social de la juste redistribution des richesses ; destruction qu’on pourrait nommer » l’écroulement infini du capitalisme » comme l’oligarchie dominante a déjà prévu d’investir ses avoirs dans les systèmes économiques qui survivront – le cas de la France est emblématique.
Depuis trente ans, la politique économique et financière de la France a correspondu à un dogme économique et international suivant lequel les Etats devaient promulguer des lois de dérégulation financière qui ont finalement favorisé l’émergence d’un système financier de l’ombre. Réputé incontrôlable, et dont l’origine des avoirs qu’il capitalise sont in-traçables, mal imposable. Avoirs, dont il est sûr à ce jour, qu’ils sont le moyen par lequel l’économie souterraine issue des commerces illégaux ou de la collecte des évasions fiscales par les paradis fiscaux, se retrouvent légalement investis sur des marchés financiers pesant directement sur le destin des Etats. Car tel est le deuxième volet du dogme financier qu’a suivi la France : réduire la fiscalité pesant sur les grandes multinationales. Et financer le déficit de ses recettes dû à cette défiscalisation du capital, par le recours d’emprunts sur les marchés. Une manière de payer à crédit le bâton qui vous battra. Car additionné à une politique économique passive, c’est-à-dire laissant libre cours aux actionnaires de remodeler le tissu industriel, en démultipliant les gains de leurs dividendes par le levier de la délocalisation notamment, c’était encourir le risque politique insoupçonné d’une crise durable de la gouvernance.
En effet, un an après son élection favorisé par le rejet de la politique de son prédécesseur; jugé alors partial, inique, et sectaire, François Hollande semble lui aussi incapable de trouver grâce aux yeux des Français. Pourquoi ? Et comment la prolongation d’une telle situation politique peut elle mener la France et les pays européens englués dans une situation économico-politique similaire sur le chemin de la révolte ?
Il faut dire tout d’abord, qu’au delà d’une réelle difficulté à communiquer à la nation française un élan, ou l’envie d’affronter le XXIème siècle avec la vigueur d’un pays à la grande Histoire, que ce qui reste de clairvoyance à la discipline économique dont la faillite intellectuelle est pourtant patente depuis quinze ans, devrait faire dire aux économistes combien François Hollande se fourvoie en voulant fonder la relance économique française sur les principes asphyxiant d’une politique économique aux relents d’austérité, en croyant aux chimères d’une croissance impossible en l’état.
Ce que j’annonçais dans ma précédente lettre à François Hollande fait en effet maintenant consensus dans la communauté économique : la restriction budgétaire, l’affaiblissement programmé des dépenses sociales, pèsent directement sur le budget des ménages. Donc sur la consommation, ce qui explique en partie la paralysie de la machine économique, et l’atomisation de la croissance. Croissance dont par ailleurs, il faut se demander de quelle nature elle peut être. La finitude des ressources interdit de penser que la production puisse être en perpétuelle croissance. Car la croissance de l’économie, où l’augmentation des bénéfices des entreprises dans un monde dont la raréfaction des matières premières entraîne leur renchérissement, ne peut être qu’une croissance des prix des produits vendus, provoquée par la stagnation de la production à terme. Ce qui en connaissance de cause motive les politiques industrielles d’obsolescence programmée des produits vendus. A dessein de maintenir et d’accroître artificiellement les niveaux de production. Politique industrielle insoutenable sans l’instauration d’une économie du recyclage, et parallèlement, sans l’accentuation des politiques sociales des Etats, pour contenir l’effritement du budget des ménages qu’impliquent de telles dépenses programmées. Où l’on voit ainsi, l’absurdité qu’il y a à attendre la croissance, dans un pays dont les ménages sont fournis en biens d’équipement, disposent d’un revenu stagnant, pays quasiment sans sources d’énergie exploitables sur son sol, pays situé sur ce versant du monde dont l’hégémonie économique semble prendre fin en ce début de XXIème siècle.
Pire : au delà de la conscience collective française d’une impasse économique dans laquelle serait la France, l’impopularité de François Hollande tient également à son incapacité à adopter des mesures même symboliques pour apaiser le sentiment d’injustice que provoque l’inégalité effective qui s’est accrue au sein de la société française. En France, comme dans le reste de l’Europe, une oligarchie détient dans ses mains d’actionnaires l’essentiel du tissu industriel français. Et comme dans le reste du monde, ces possédants échappent à l’imposition nationale en devenant des exilés fiscaux; sans qu’aucune politique n’ait réussie à inverser cette tendance. La taxation de cette économie virtuelle comme la régularisation annoncée du monde de la finance n’ont ainsi pas estompé les soupçons d’incompétence, voire de trahison ressentis par le salarié.
Quant aux retraités dont il est coutume de dire qu’en France leur rôle est décisif lors de l’élection présidentielle, ils feront peut-être pencher la balance en faveur d’un vote nationaliste d’extrême-droite. Avec d’autant moins de remords que le système de retraite par répartition, instaurant de fait une amputation du revenu pour le retraité, plus l’implacable dureté du monde du travail envers les plus de 50 ans, a vu apparaître une nouvelle catégorie de pauvres. Pré-retraités au chômage et retraités au revenu insuffisant obligés de prétendre à des emplois sous-payés. Constituer un nouveau vivier d’opposants à une Europe de la monnaie unique dont les bénéfices pour le moins n’auront pas été d’amoindrir le coût de la vie, mais l’occasion d’une hausse généralisée des prix, impliquant une guerre commerciale dans tous les secteurs. Suivi de la mort de l’éthique du commerce chère aux générations que la jeunesse a fui.
De la génération la plus jeune, il faut rappeler que, soumise déjà à une reconduction du destin social familial, cette génération n’ignore pas qu’elle risque de surcroit d’avoir un niveau de vie inférieur à celui de ses parents. Peut-être est-ce là une des raisons du résultat surprenant du sondage concernant les 18-25 ans, organisé lors de l’élection de Hollande, lequel indiquait que plus de 30% de cette classe d’âge se disait prête elle aussi, à voter pour le parti d’extrême-droite qu’elle considérait « dé-diabolisé »
A contrario, le nivellement du taux de chômage à la hauteur du taux record atteint lors de la fin des années 90, n’a pas fait grossir le rang des syndicats ; ni mobilisé lors des dernières manifestations au-delà de la base militante. Au mieux pouvait-on sentir dans les rangs un frémissement, l’espoir, la croyance en une mobilisation possible de toute l’opinion publique. L’ immolation récente d’un chômeur en fin de droit n’a pas elle-non plus fédérée l’indignation collective. Le fait-divers n’a pas même un temps soit peu , truster les unes des journaux. L’augmentation en dizaine de pour cent de la demande de nourriture gratuite distribuée par les associations caritatives , vrai marqueur de l’augmentation de la misère en France, n’a pas causé d’émeutes de la faim cet hivers. En 89, ( 1789 ) l’augmentation du prix du pain, certes,
alors nourriture de base, suffisait à provoquer la révolte des Parisiens. Depuis 10 ans que le coût de la nourriture augmente d’une année sur l’autre, d’un magasin à l’autre, d’un quartier l’autre, c’est à se demander ce qui pourrait bien pousser le français du XXIème siècle à la révolte, tant l’atonie collective est patente. Il semble donc bien que le sursaut collectif français doive passer par un vote inhabituel.
L’échec de François Hollande, l’échec du gouvernement socialiste augure donc, si un remaniement ministériel n’en change pas la donne, un cataclysme politique en 2017 ; dont la caractéristique consistera à la consécration des extrêmes par les urnes. Revirement à l’extrême gauche ou à l’extrême droite qui risque de décomplexer le vote extrême en Europe, et dont on peut prédire qu’il emporterait avec lui le radeau de la zone Euro, déjà ballotant d’une critique à l’autre.
Mais cette triste hypothèse ( à minorer tout de même si l’extrême gauche prend le pouvoir : c’est à souligner ) ne constituera jamais que l’occasion attendue par l’oligarchie du monde pour accélérer la destruction partielle de l’économie mondiale nécessaire à toutes reconstruction, ou consolidation d’une zone économique dominante et,
politiquement sous contrôle. Le transfert des avoirs financiers faisant partie du jeux complexe d’accaparement des terres arables , des sols riches en énergie, des entreprises d’une même filière – auquel sempiternellement se prête sans vergogne cette oligarchie économique et financière.
Alors que reste-il au citoyen en ce début de siècle par delà la certitude que la société qui l’abrite ne se révoltera pas pour conquérir sa liberté sinon par suite d’un chômage touchant plus de 20% de la population active ? Sinon à la condition elle aussi peu probable du dérèglement d’une matrice économique informatique ruinant en une seule journée des milliers d’entreprises ? Sinon à la condition déjà plus plausible de l’épuisement subite de plusieurs zones de pêche, cumulé avec une sécheresse inédite induisant et une révolution alimentaire et une révolution tout court … sinon … que reste-il en dehors d’un vote présidentiel de tous les dangers, tentation du pire qui ne mènera qu’au pire, oui, que reste-il au citoyen en quoi croire ?
A n’en pas douter doit demeurer en chacun, ou plutôt s’instaurer la conscience claire que notre mode de vie comme le mode de vie de notre société ne sera révolutionné qu’à la condition sinequanon que d’abord le mode de consommation industriel, auquel chaque consommateur-citoyen apporte son obole, soit infléchi là où il ne s’agit que d’une dérive économique et morale.
Car avec certitude aucune révolution sociale n’ébranlerait plus le système économique corrompu qui gouverne le monde qu’une » révolution des assiettes « , suite et avant-gout de ce que pourrait être le prolongement du mouvement des indignés. A l’échelle individuelle et familiale cette révolution est déjà praticable pour les revenus moyens et les personnes de bonne volonté prêtes à consacrer un peu plus de temps à cuisiner, en privilégiant les produits le moins manipulés industriellement, produits de saison, et le plus possible provenant d’une filière courte d’acheminement ; cela, en suivant un régime alimentaire moins protéinique. A considérer le succès des émissions culinaires, le dégoût qu’a inspiré aux Européens le scandale d’une filière agroalimentaire industrielle corrompue proposant à la consommation publique ce qu’il y a de pire du moment qu’un goût acceptable est chimiquement garanti, il y a des raisons de penser que cette révolution est en marche.
Et tant pis, tant pis s’il est peut-être déjà trop tard. Tant pis si l’oligarchie a déjà devancé ce retour à l’authentique en tentant d’asservir les paysans du monde entier par l’instauration de brevets sur les légumes, la nécessité qui leur est imposée d’acheter des semences dont auparavant ils disposaient librement.
Tous dévoiement de la filière alimentaire devraient être l’occasion d’un combat politique et en aval, d’un sacerdoce citoyen. Il en va ainsi des farines animales que l’Europe a décidé de recycler dans la filière aquacole en l’autorisant dans la nourriture des poissons d’élevages. Cette pratique inique et dangereuse comme le recyclage de la viande avariée dans la filière surgelée, n’auraient pas de raison d’être sans le manque de vigilance du consommateur. Sans le coupable assentiment de notre fainéantise. Et certes, la plus part du temps, sans la nécessité imposée aux moins bien lotis de consommer ce qui coûte le moins cher. Il demeure vrai cependant la plus part du temps que cuisiner un plat est quantitativement et qualitativement plus profitable que de l’acheter tout fait.
Alors qu’attendons nous pour nous révolter ?
Qu’attendez-vous cher consommateur ?
Le XXIème siècle a commencé par le partage mondial de l’information, et c’est par la démocratisation des moyens de communication que s’échangeront les idées qui consacreront la démocratisation des moyens de production, ou l’hégémonie d’une oligarchie sur la Terre pour encore trois cents ans … .
AU DELA DE LA TREVE ARMEE LA PAIX EST POSSIBLE
L’embrasement du monde musulman du point de vue de Tsahal
Il est problématique de vouloir répondre à la montée de la violence en en appelant à la raison quand la guerre dont il est question se nourrit d’idéologie sur fond de sentiment religieux exacerbé et qu’elle perdure parce que chaque nouvelle génération submergée par l’héritage d’une situation géopoliqtique et culturel, est sommée de taire en elle les aspirations naturelles de la jeunesse envers la paix, pour ajouter à la rancoeur, à la haine des anciens, le sacrifice par les armes de son propre avenir. Avant que l’escalade guerrière n’emporte le radeau de la paix au calandre grecque, je rappelle que ma prise de position est motivée par l’horizon de la paix unilatéralle, que si j’emploi le biais du point de vue militaire et stratégique, je le fais dans l’urgence, sans pouvoir détailler par des chiffres ou des faits datés le contenu de mon propos et que si le temps est à l’appréciation rationnelle des forces en présence et des risques qui sont encourus par chaque parti , mon seul guide moral est l’horreur que m’ont toujours inspirés les crimes de guerre.
LA JUSTIFICATION DE L’ACTION ARMEE DU POINT DE VUE DE TSAHAL
Monsieur Netanyahu lors d’une allocution a justifié la réponse militaire d’Israel par l’atteinte faite aux civils israeliens dont le bombardement a repris et s’est intensifié depuis la venue d’une délégation officielle du Quatar à Gaza. La décision d’une action est cependant sans doutes une option militaire envisagée depuis que la position stratégique d’Israel dans la région s’est d’autant plus détériorée qu’ aux relations bilatérales fondées sur un certain statut quo avec les dictatures qui occupaient les pays de la région, a succédé l’incertitude de révolutions ou de guerres civiles acréditant l’existence d’une reflexion sratégique globale supportée par des combattants internationnaux aguerris et mobiles, oeuvrant pour l’avènement d’une seule nation islamique, prêts, du reste comme les épigones de Bush et de la nouvelle théorie de l’impérialisme Américain, a changer le moyen-orient au pris de la guerre généralisée, planifiée et sans états d’âme militaires.
AU-DELA DE LA TREVE LA PAIX EST POSSIBLE
… Sans états d’âme militaire, du moins est-ce ce que j’ai cru hier samedi. Car j’ai réellement cru que le peuple musulman m’avait trahi. Et ô combien, le chemin de l’escalade était tracé , même si les invressemblances étaient nombreuses : le quatar selon un plan machiavélique non comptant de soutenir l’armée libre de Syrie, avait promis aux palestinien de gaza les même conditions que Bachar el Hassad leur avait promis jusque là, doublé de l’incitation à reprendre les armes sur le champ, arguant qu’il était entendu que les Syriens rompraient le statut quo à leur frontière avec Israel, l’étau de la guerre n’ayant qu’à se refermer puisque au regard de l’affrontement actuel entre Israel et l’Iran, certes pour le moment sur des théatres d’opération intermédiaires, les pobabilités étaient grandes que le président Iranien qui va bientôt être confronté aux élections, à l’instar de Netanyahu, ne décide d’utiliser les navires de guerre qu’il a fait acheminer en mer méditerrannée pour bombarder Israel, sachant que de toutes façon la guerre était inéluctable au regard des récentes manoeuvres militaires conjointes d’Israel et des Etats-Unis…Heureusement, il semble que je me sois fourvoyé : le ministre Français des affaires étrangères rencontre aujuourd’hui les partis en présence et son action sera d’autant facilitée que dans la nuit monsieur Mohamed Morsi le président de l’Egypte a fait savoir qu’il lui semblait, après les entretiens qu’il a eu avec les deux partis, qu’aussi bien les palestiniens qu ‘ Israel étaient prés d’un accord de cessez-le feu.
Aussi afin de rendre effective cette décision que je souhaite de toute mon âme, j’aimerai que la conscience musulmane collective des combattants et spécialement que les combattants de l’armée Syrienne libre réfléchissent intimement à la possibilité d’un revirement stratégique tactique concernant Israel.
Mais avant, dois-je saluer la décision, qu’il faudra maintenir, d’accorder à chaque minorité syrienne sa place dans la gouvernance de la Syrie libre. J’ai bien noté qu’en cela l’armée libre avait répondu à l’ exigence du respect de la paix entre communautés qui devrait prévaloir après tout conflit armé.
Le silence qui a prévalut concernant la pacification souhaitée avec Israel, est sans doutes ce qui retiendra le plus la France de livrer les missiles anti-aériens qui permettraient à l’armée libre de ne pas être harcelée par l’aviation de Bahar el Hassad, et l’attitude de l’armée libre relativement à ce qui se produit à la frontière commune avec Israel, sera déterminante, car il est impératif de faire savoir qui bombarde Israel exactement, Bachar el Hassad ou des membres de l’armée libre incontrôlés.
Mais avant toutes crispations des positions de chacun, qu’il me soit permis ici de rappeler la réalité de la situation militaire.
Un évènement lourd de conséquence pour la stratégie militaire de tous les pays vient de se produire. L’armée de tsahal avec succès vient de prouver qu’un bouclier anti-missile pouvait être optimal à plus de 80%, ce qui rend toute proche la réalisation du bouclier nucléaire optimal, dont la détention non seulement va bouleverser ce qu’on entend par » équilibre nucléaire », mais aussi peut changer le parti-pris tactique adopté jusque là par Israel relativement à la détention de l’arme nucléaire par l’Iran.
Du point de vue des palestiniens, l’appréhension de la réalité de leurs dispositions militaires ne peut qu’être reconsidérée. Car quoi ? A quoi sert de détenir 50 000 voir même 100 0000 roquettes ou missiles, qui n’ont pas de réalité militaire dissuasive ? Faut-il même concevoir encore des attaques suicides quand le bénéfice tout relatif de la terreur chez l’adversaire, peut entrainer au moins le bombardement de la population palestinienne, au pire l’intervention terrestre d’une armée dont on sait les éléments les plus extrémistes capables de crimes de guerre ?
Non, mille fois non. Et si des copies de ma lettre aux musulmans sont encore accessibles sur internet rappelez-vous que la situation de la Palestine ne pourra réellement être inversée qu’à la condition qu’Israel soit bordée par de véritables démocraties.
Lao Tzeu apprend que lorsque votre adversaire vous est supérieur, il convient de l’adoucir par l’amour… Je rajouterais que lorsqu’on ne peut pas l’aimer non plus, au moins essaye-t-on de n’avoir pas le même amour de la fascination du pire…
Car le véritable défis d’Israel n’est décidemment pas la guerre à laquelle elle a toujours fait face vaillement, mais bien la PAIX dont elle ignore toutes les réelles forces de transformation sur l’organisation de son propre tissus social lui-même. Israel méconnait le rôle que son peuple doit tenir dans le monde du XXIème siècle.
Elle méconnait la force des peuples qui se battent sans armes dont les exemples notamment lors de l’indépendance de l’ Inde doivent tous nous inspirer, de même qu’il est remarquable que le gouvernement élu démocratiquement après le pringtemps arabe, celui-là même à l’image de son voisin, dont les hommes de coeur attendent avec patience qu’il sache démontrer que l’Islam n’a pas plus peur de la DEMOCRATIE que les femmes ne devraient avoir peur de l’ISLAM, il est remarquable que leurs dirigeants soient au rendez-vous de l’HISTOIRE.
Aussi n’osez pas la trève, osez le cessez-le feu, L’amélioration des conditions de vie des Palestiniens, de nouvelles formes de lutte pacifiques,ô combien moins capricieuse qu’une victoire militaire qui n’assure jamais de facto qu’il s’agira également d’une victoire politique.
En m’associant à la douleur des familles des victimes, permettez-moi d’espérer la victoire de la PAIX et du compromis sur le théatre Africain où la guerre s’annonce une perte de temps encore plus criante.
En cas de compromis manquant avec l’armée libre Syrienne, peut-être faut-il s’attendre à ce que l’Europe aux missiles anti-aériens privilégie l’aide aérienne.
Patrick Rakotoasitera
VERS UNE MAITRISE DES ENJEUX ECONOMIQUES ET SOCIAUX
Lettre adressée à François Hollande le 09.11.2012
Monsieur le Président,
Mon silence épistolaire depuis votre élection, et alors que mes lettres à votre prédécesseur, voulues critiques et constructives, ont alimenté le débat économique et géopolitique d’internet, lors de la précédente mandature ( mon site recense 150 000 commentaires et est très consulté par une audience en constante augmentation aux États-Unis et en Inde ( taper « patrick rako » sur google et sélectionner » sa couleur ») ( nota bene : depuis le 8 septembre les articles les plus anciens qui pourraient vous intéresser sont inaccessibles et je tente de rétablir l’usage normal de mon site) …) qu’à cela ne tienne : mon silence a correspondu au temps nécessaire à l’observation de votre action et à la tentative de compréhension des anticipations économiques et politiques majeures de l’année 2012-13, 2013-14.
Je joins à ce dossier la 3ème lettre au Président de la République datée du 19 mai 2009, car elle approfondit des thèmes ici repris et cruellement d’actualité. ( voir article de la date correspondante)
THÈMES ABORDES DANS CE DOSSIER
L’indépendance de la France dans le contexte global :
————————————————————————
Les mesures contre les pertes d’emplois liées
————————————————————
à la financiarisation :
——————————-
La compétitivité :
———————–
Les banques, les bonus, les hedge funds :
——————————————————–
La relance :
—————-
La dette souveraine :
—————————–
Les grands risques systémiques :
————————————————
Andorre :
————-
1 L’indépendance de la France dans le contexte global :
————————————————
Le début du XXIème siècle est marqué en Occident par le déséquilibre budgétaire des états industrialisés ; la probable impasse de l’augmentation de la dette des ménages acculés à recourir aux crédits pour maintenir leur niveau de vie ; dans un double contexte d’inégalité croissante des revenus, jamais observé, sinon à croire installée la situation qui prévalait au XIXème siècle ; sur un fond de financiarisation extrême de l’économie : à l’économie réelle étant préférée la notion de rentabilité de l’accumulation du capital qui subordonne l’impératif de la production, à l’impératif de la rentabilité de l’action, comme seul cœur de cible du nouveau business du XXIème siècle.
Dans ce contexte de suprématie des marchés et de renversement de la hiérarchie mondiale au profit des états du sud, il tient à l’action d’un état-nation comme la France, monsieur le Président :
– de se distinguer par sa politique économique pour atteindre à l’indépendance financière ; ou à défaut : de légiférer pour protéger son tissus financier et économique.
– de perdurer dans l’indépendance énergétique.
– d’opérer la transition écologique de son indépendance agricole.
– et favoriser toutes les entreprises qui pourraient renforcer le secteur de son indépendance technologique.
Tout d’abord est-il nécessaire d’infléchir les lois économiques des décennies 70 et 80, qui ont favorisées la dérégulation des banques et des marchés ; et furent suivies de la fin des règles de prudence et des plans de rentabilité nécessaires à l’entrée en bourse des entreprises.
Il convient ainsi de ne pas légiférer seulement en fonction de la nature des produits financiers. Constater que par le passé les excès de liquidité générés par la dérégulation ont alimenté et alimentent les bulles spéculatives immobilières et internet ou numériques pour celles à venir, n’est pas suffisant. A la limitation par l’imposition des liquidités investies dans les produits dérivés à risques de l’assurance , qui représentent maintenant 1/3 des investissements mondiaux, doit être adjoint un mécanisme de contrôle en fonction de la taille des organismes financiers concernés.
De manière tendancielle, la France , dotée d’un projet global de croissance écologique, secteur par secteur, cherchera, avant sa régulation internationale, à attirer le « mark to market » qui consiste à investir dans ce qui n’a pas encore rapporté, dont les dérives sont caricaturées par le scandale « d’ENRON » que l’état évitera en favorisant les projets des entrepreneurs créateurs d’emplois pérennes après revente de l’entreprise.
Cela pourrait se faire dans le cadre d’une politique d’inversion de la réorganisation de la géographie industrielle entamée, depuis les années 70, au profit des pays à faibles coûts de main-d’œuvre – par la recherche d’investissements pour le tissus industriel national soutenu par l’état.
2 Mesures contre les pertes d’emplois liées à la financiarisation
—————————————————-
La financiarisation extrême de l’économie mondiale de la fin du XXème siècle est d’autant plus ultime aujourd’hui, monsieur le Président, que l’économie virtuelle des bourses créant maintenant plus d’argent que l’économie réelle, constitue de plus une dépendance malsaine des états vis à vis des marchés financiers. Car, non seulement après avoir rendu effectif la fin du contrôle des capitaux, les états du nord ont rendu chronique leurs déséquilibres budgétaires ; depuis que, ne réussissant plus à se financer par l’impôt des ménages et des entreprises, leurs budgets, constitués par une part sans cesse croissante de dette souveraine, ont rendu toutes politiques économiques tributaires de la spéculation des marchés, que les états doivent n’avoir de cesse de rassurer pour se « refinancer ».
Dans ce contexte, il serait d’autant plus mal perçu par l’opinion publique de mal modifier la fiscalité des entreprises et spécialement des grandes entreprises que la suprématie de la spéculation des marchés dans la part de l’économie, a eu pour corolaire, en France, une imposition des entreprises qui n’a cessée de décroitre depuis 20 ans. Celle-ci additionnée ces dernières années avec une augmentation de l’imposition du travail et de la consommation, il va sans dire que personne, mis à part les actionnaires, n’a pu bénéficier de la manne des marchés financiers. Au point que dans le même temps, l’écart salarial entre les plus bas et les plus hauts revenus ( de 1 à 100 dans nombre de cas ) , a correspondu à une inégalité des rémunérations et un affaiblissement des syndicats dans les sociétés industrialisées, elles-même.
Il revient donc à l’état la mission de rechercher les réserves de liquidités secteur par secteur, pour établir la hiérarchie des secteurs d’activité qu’il imposera prioritairement. Ainsi, le fait remarquable de ce début du XXIème siècle, vient de ce que les états Européens ne peuvent plus se permettre, s’ils veulent financer leurs dépenses et maintenir un juste niveau de redistribution, de ne pas améliorer l’imposition des flux financiers qui relèvent du « shadows banking » : ceux des fonds spéculatifs, des paradis fiscaux et du système de l’assurance et du marché des dérivés lequel est sans doutes sur-valorisé par les investissements bancaires.
Car, comble du cynisme, la privatisation des profits par ce qu’il convient de nommer l’oligarchie financière des banquiers et des actionnaires s’est, depuis le sauvetage d’AIG et des banques, accompagné d’une socialisation des pertes : l’état, quasiment sans contre-partie – sinon en Allemagne où le réseau bancaire a été nationalisé pendant la crise – ayant compensé par de l’argent publique les pertes de leurs mésaventures sur les marchés à risques. Aussi, il va sans dire que la taxe sur les opérations boursières vient donc à point nommé. Encore faut-il que l’argent dégagé renforce l’axe social de votre politique.
Du point de vue de l’économie internationale, les anciennes sociétés dites plus avancées vivent un bouleversement d’autant plus inédit qu’il a vu s’opérer un retournement des valeurs, dont votre politique sociale, justement, doit éminemment tenir compte, afin de mieux opposer aux lois iniques de la finance, la justesse de lois étatiques établies dans la plus grande ère économique possible, de sorte que la flexibilité du travail nécessaire à la reprise économique ne soit pas bâtie sur le socle d’une généralisation de la précarité des salariés comme en Allemagne, en Grèce, en Espagne, … .
Car depuis les années 80, flexibilité a rimé avec précarité, en épousant un mouvement de réorganisation général de la géographie industrielle, au profit des pays à faibles coûts de main-d’œuvre, que lors des plans sociaux, la loi française, autorisant le reclassement dans des unités de production étrangères, a favorisé : ce qui doit cesser ; le reclassement des salariés licenciés être interdit s’il se fait à l’étranger.
La société française pour être plus humaine et plus sûre, devrait placer au cœur de son dynamisme et son harmonie, la protection des lois du travail, comme pierre angulaire ; afin de répondre aux défis qu’impose un marché, depuis le point de vue duquel, dorénavant, « coca-cola » est jugé un placement plus sûr et rentable que l’état américain…
Ainsi le « cher over value » ou le remplacement ou la revente des secteurs moins rentables qui en 1997, en Allemagne, fit dépasser les 4 millions de chômeurs, devrait être interdit pour les sociétés bénéficiaires, sinon être l’objet de transactions surtaxées pour les banques qui s’adonnent à ces démembrements industriels néfastes, quand il n’est finalement question que de plus-values boursières.
3 La compétitivité :
————————–
Ces mesures ne doivent pas cependant entraver la réorganisation de l’outil industriel et l’innovation. Ainsi, le choc ou le pacte de compétitivité pourrait-il surgir d’une mesure révolutionnaire : l’inscription dans la loi du partage des bénéfices des entreprises par 1/3, qui, s’il s’accompagne d’un assouplissement des mesures d’embauche, une fois appliqué à tous les types de contrats de travail, devrait contenter les salariés grâce à l’augmentation de leurs revenus qu’il implique. Car les bénéfices des entreprises seraient répartis comme suit :
– 1/3 revenant aux actionnaires ou patrons
– et afin de soutenir l’innovation garante de l’emploi de demain: 1/3 revenant à l’investissement
– et enfin, dans le but de soutenir la consommation et l’impôt des ménages: 1/3 revenant aux salariés ( 1/3 justement réparti entre ouvriers et cadres ) .
Bien évidemment cette mesure révolutionnaire ne peut être le fait que d’une politique volontaire, déterminée et certainement pas molle. Aussi, ayez le courage de la reprendre à votre compte, lorsque les discutions patronat/syndicats auront mené à une impasse, car cette mesure s’ajusterait parfaitement avec un crédit d’impôt aux entreprises soutenant l’emploi et l’investissement.
Sans être exclusive d’un plan industriel étatique centré sur les sus-nommés « pôles de compétitivités », ces mesures plus ciblées en seraient le pendant privé, garant par la relance de la consommation et l’innovation de l’auto-approvisionnement de la demande intérieure.
La répartition des bénéfices des entreprises par 1/3, devra également être accompagnée d’un droit fiscal adapté, instaurant au préalable, une taxe sur la vente des parts industrielles des banques d’autant plus élevée que ces parts seront cédées à des banques étrangères. Ce, afin de maintenir la cohésion nationale du tissus industriel français, ainsi que son non-démembrement en cas de resurgissement ( toujours possible) des effets de la crise.
Aussi, après avoir libéré l’innovation et soutenu la consommation l’état aurait intérêt à accélérer son influence sur le marché réel, en créant au ministère du redressement productif une cellule spécialisée dans le développement de gisement d’emplois, par la création et le rachat d’entreprises conditionnées en structures auto-gérées, par exemple : pour relancer le développement économique territorial sur un bassin d’emplois jugé à risques. Ou alors, s’agirait-il de solliciter des investisseurs pour qu’ils soutiennent le tissus industriel français. En tout état de cause, le crédit d’impôt doit favoriser par décret les entreprises des secteurs à risques qui s’engagent à maintenir leurs effectifs sur les 5 années à venir, et celles qui consacreront 1/3 de leurs bénéfices à l’investissement et plus particulièrement à l’innovation.
4 Les banques, les bonus et les « hedge funds » :
—————————————————————–
Par ailleurs, l’encadrement des institutions bancaires au dernier sommet Européen, doit, ce me semble, sans cesse être perfectionné, ce pour plusieurs raisons liées aux effets systémiques de l’interconnexion bancaire.
Bien sûr : aucun acteur financier ne devrait pouvoir cumuler les activités de banque de dépôts, de banque d’affaire, d’assureur et de gérant de portefeuille , cela va sans dire.
Dans le même ordre d’idées, l’encadrement des bonus et des dividendes des grands patrons devrait être soumis aux résultats réels de l’entreprise, comme d’un autre point de vue, il est essentiel de savoir que les lois d’encadrement des banques outre-atlantique doivent être relativisées, considération de leur portée réelle, puisque la nature des grands investisseurs a profondément changée depuis 15 ans.
Et pour cause : les fonds d’investissements « hedge funds » dominent le marché des placements boursiers sur le marche des dérivés en 2012. Au point que les 11000 « hedge funds » du marché auraient cumulé 280 milliards de dollar de gains en 1an : soit plus que les gains réalisés par les 6 plus grandes banques de crédit. De plus : 2/3 des « hedge funds » sont basés dans les paradis fiscaux, dont on estime légitimement qu’ils totalisent et engloutissent 50 % des flux financiers mondiaux.
Or, ces flux réapparaissent dans ces fonds sans obligation de transparence ni d’explication vis à vis de leurs investisseurs ou de l’état, ce qui est d’autant plus préjudiciable à une éventuelle tentative de régulation des marchés qu’ils y occupent le rôle de structures spécialisées prenant des paris sur l’avenir, ce qui revient à spéculer sur l’attaque des monnaies…
Aucun encadrement des banques s’il se veut exhaustif, à moins de tromper le monde, ne peut donc se passer de son corolaire : l’encadrement des « hedge funds », dont l’avènement est la consécration internationale de l’économie souterraine mise sur le même plan que l’économie dite légale. Car voilà ce qu’à engendré le déséquilibre de l’économie virtuelle par rapport à l’économie réelle, ni plus ni moins pour les économies parallèles qu’une forme de titrisation du trafic d’armes, d’animaux ou de drogue, en dernière analyse.
Une cellule spécialisée au ministère de l’économie où, pour reprendre une expression de Roosevelt » il n’y a que des voleurs pour attraper d’autres voleurs » devrait donc être dévolue à la préparation de lois internationale visant la modération de l’influence des « hedge funds »… afin de prévenir la défaillance du système de régulation des marchés… . Cette cellule pourrait avoir aussi pour ambition la création d’un organisme moins corrompu et plus juste que les organismes de notation du marché… .
5 La relance :
——————
Il est aussi nécessaire que l’intention directrice de l’état soit de pratiquer une politique de croissance écologique. C’est à dire, ayant considéré que les ressources en quantités finies imposent de repenser la notion de « croissance » et de « PNB » seulement comme ce qui mesure des gisements d’emplois pas forcément cher en consommation de ressources, mais opposable aux créations de richesses qui n’améliorent pas le niveau de vie qualitatif. Ce qui détermine donc l’adoption durable d’une fiscalité écologique.
L’état cherchera des gisements de croissance dans les secteurs :
– de la transition énergétique écologique.
– la relance du bâtiment par l’incitation à la rénovation et l’adaptation aux normes écologiques ; ainsi qu’en maintenant un niveau élevé de construction de logements à caractère social sur un modèle durable.
– concernant la distribution : l’état peut agir en soutenant les réseaux écologiques locaux de distribution ( développement des ventes aux particuliers des maraichers locaux…)
– et cherchera à l’agriculture intensive des monocultures trop riches en pesticides, l’alternative de l’agriculture écologique aux rendements égaux voir supérieurs en cas de sècheresse, ce qui permettra de revitaliser les sols.
Du point de vue de la financiarisation de l’économie, la croissance écologique se distingue en adoptant ce parti-pris relativement à la dette des ménages, des collectivités ou des états, qui veut que soient employés tous les moyens juridiques possibles ( contestation de contrat, élaboration de nouveaux échéanciers) qui tendent à modérer et plafonner les intérêts de toutes dettes.
( la section dévolue au ministère de l’économie à la création de lois internationales visant à réguler les flux financiers des « hedge funds », pourrait travailler, parallèlement, à l’étude détaillée des » contrats de partenariat privé/publique; et aux autres contrats pérennisant la dette des collectivités dans le but de prévenir à toutes arnaques…)
La baisse du pouvoir d’achat des ménages sera, elle, compensée par le jeu des aides sociales ciblées pour compenser la baisse du revenu moyen due à l’augmentation des taxes, par l’amélioration de la couverture maladie, du statut de locataire, et du droit aux transports en commun.
( A noter que la taxe carbone si elle se développe ne doit pas donner lieu à un marché spéculatif de la revente des bonus et malus écologiques par les entreprises. Ce qui rendrait virtuelle la baisse de l’empreinte écologique de l’industrie française. De plus, imaginée à l’origine par les écologistes, il est important de rappeler que les revenus de la taxe carbone étaient initialement destinés à aider les plus pauvres …)
Plusieurs analystes que je crois il faut prendre au sérieux prédisent, eux, l’éclatement de la bulle immobilière sur le sol Européen d’ici à 2015.
Cette baisse des loyers, il faudra la considérer telle une aubaine qui pourrait servir au mieux la relance de la consommation Européenne , car le soutien aux entreprises et spécialement aux PME pourvoyeuses d’emplois, aura été supporté par une banque d’investissements dédiée, palliant à la raréfaction des crédits observée sur le marché bancaire français, par la mise en circulation de taux d’intérêts bas et d’argent pas cher.
Ce qui est la caractéristique typique de la relance à l’Américaine qui doit faire contre-point à la relance Européenne Allemande, caractérisée par le contrôle des quantités d’argent mises en circulation et la consolidation des budgets des états, qu’ici on qualifiera de relance par l’austérité, tant les risques de blocages de l’activité qu’elle fait peser sur l’économie de la zone Euro, sont importants.
6 La dette souveraine :
——————-
Ainsi, cet argent mis à la disposition des entreprises proviendra de ce que l’état-providence insuffisamment financé par l’impôt et les cotisations sociales, prolongera intelligemment la baisse des impôts sur les entreprises amorcée depuis 20 ans ; en profitant de la bonne conjoncture de la spéculation des marchés sur sa dette souveraine. Laquelle est rendue possible par l’investissement des excédents des pays émergents dans la dette souveraine des pays du nord, nouvelle hiérarchisation inversée des marchés qu’on peut qualifier de tendance profonde de l’économie du début du XXIème siècle.
Dans ce sens, et à dessein de bénéficier de taux d’intérêts peu élevés, monsieur le Président, un évènement dans l’économie mondiale qui tarde à se concrétiser, a certainement dû intéresser votre curiosité, car il constitue pour la France une source certaine d’argent pas cher, si les mouvements sur les marchés des devises devaient reprendre.
Même si l’Europe devrait être la propre détentrice de sa dette, à certains égards, comme la réserve fédérale Américaine détient 60% de la dette Américaine ou à l’instar du Japon – il n’est pas indifférent, cependant, que l’Elysée suive, lors des 3 prochaines années, le mouvement que la Chine souhaite amorcer pour procéder à une libération de la balance de ses capitaux, par une diversification de ses réserves de change, au profit de la décroissance de ses réserves de dollar ; suivant un mouvement ascendant du degré de convertibilité du « Renmibi » (le Yuan) selon une fluctuation face aux autres devises actuellement de 3% qui d’ici à 10 ans, devrait fluctuer à l’augmentation jusqu’à 20% par rapport au dollar. Ce qui selon les analystes chinois devrait passer par une intensification des prêts à l’étranger en Yuan, pour les banques chinoises. Et d’ici 5 à 10 ans, par une ouverture des transactions de biens immobiliers ( actions et obligations de son économie ) a des investissements étrangers. Votre rôle en la demeure pourrait être celui de facilitateur et de conseil auprès du Président Chinois, avant que ce rôle ne soit phagocyté par les agents de » Goldman Sachs ».
Car, en plus de nouvelles parts de marché pour les entreprises, cela augure pour la zone Euro, et spécialement pour la France un taux bas pour le financement de sa dette, dont le faible taux d’emprunt pourrait compenser les points de croissance que font peser sur l’économie les 33 milliards de réduction du déficit que vous avez prévu d’organiser.
Mais, encore une fois, précisons qu’en la matière, la réunion et la détention des dettes européennes par un état Européen fédéralisé, vaudra toujours mieux d’autant que cette centralisation peut et devrait augurer cette nécessaire harmonisation fiscale des entreprises Européennes qui, après la circulation des capitaux pourrait et devrait être l’occasion de défendre ce fameux socle social commun qui, actuellement, manque à la défense des intérêts des salariés Européens. A défaut d’un seuil de protection social commun pour une ère qui concentre tout de même 20% de l’économie mondiale, contre 19% pour l’économie Américaine et 14% pour l’économie Chinoise… .
Aussi, monsieur le Président faîtes rayonner en France et ailleurs le rêve, la conscience, le besoin d’une Europe, partenaire particulier des États-Unis, et actrice majeure dans un monde multipolaire, sur lequel pèse, malheureusement, le risque d’un embrasement généralisé du monde musulman…
7 Les grands risques systémiques :
—————————–
A noter que si un ralentissement sur le marché des devises devait augurer prochainement une nouvelle crise économique mondiale, celle-ci pourrait avoir comme point de départ réel l’endettement des étudiants Américains ( 1000 milliards de dollars ) ou l’endettement relatif aux cartes bleues qui ont largement été titrisés sur les marchés financiers internationaux dans le même agrégat financier que celui des subprimes…
Ou alors, la baisse attractive des bons du trésor Américains, délaissés au profit d’autres réserves de change, pourrait provoquer un effondrement du financement de l’économie Américaine, à terme, entrainant la paralysie de l’économie mondiale…
Ou alors, la paralysie du marché des devises pourrait avoir pour origine profonde un taux d’usure de la Terre et ses ressources, supérieur aux hypothèses les plus pessimistes…
8 Andorre :
————
Je terminerai en précisant combien je suis persuadé qu’aucune politique économique moderne ne peut procéder à un relèvement économique sans s’attaquer au « shadow banking » de son économie qui lui est le plus préjudiciable. A savoir ici : sans s’attaquer à Andorre, le paradis fiscale historique de la France et comme un curieux hasard aussi celui de l’Espagne.
Car si les paradis fiscaux cachent 50% des investissement mondiaux ( certes qui reviennent dans le circuit spéculatif mais sans qu’aucun bénéfice soit soumis au prélèvement pour le bien commun ) – ce ne sont pas 20 milliards d’économie de dépenses de l’état, ni même 20 milliards de crédit d’impôt pour les entreprises qui seraient possibles ; mais d’après mes estimations c’est une manne supérieure à 70 milliards d’Euros qui viendrait soutenir le budget de l’état. Sans qu’il soit même besoin de recourir aux impôts indirects, comme la TVA, injuste car elle grève le pouvoir d’achat moyen ; quand les paradis fiscaux sont ni plus ni moins : que de l’épargne défiscalisée illicitement, ce qui est encore plus injuste… .
En espérant que ces pistes de recherches auront des suites productives, qu’elles vous aient confortées dans l’exercice périlleux qui consiste à diriger sans le soutien de la confiance populaire – périodes incontournables de toutes mandatures modernes – je vous prie d’agréer l’assurance de ma considération, l’assurance de ma foi en la nation.
Nota bene: mon prochain courrier devrait traiter de » l’embrasement du monde musulman ».
Cordialement
Patrick Rakotoasitera
LETTRE A MONSIEUR LE PRESIDENT DES ETATS-UNIS
Monsieur OBAMA,
Le peuple américain quand il est acculé à la misère d’une vie indigne qui sied mal avec les élans de son cœur vaillant, peut faire les pires choix électoraux : votre non reconduction risque d’en faire partie.
Comment placer sa confiance en un homme dont, en effet, les moyens – non clairement expliqués- par lesquels il compte réduire de plusieurs milliards de dollars les dépenses de l’état, laisse supposer que son programme est télécommandé par des intérêts financiers déjà bien identifiés, car ils ont déjà mené le système interbancaire à la faillite, plusieurs fois au cours de l’histoire américaine ?
Ici, un palier supplémentaire pouvant être franchi, car sous couvert de redonner leur autonomie décisionnaire aux états afin de respecter la liberté individuelle de chacun, il est question par cette décentralisation annoncée de saucissonner le mammouth étatique et de n’en conserver-une fois étoffé- que la superstructure militaire… où comment faire ce que la morale réprouve: un complexe militaro-industriel, caractérisé par un état de jungle urbaine permanent, impitoyable pour les plus faibles, complexe capable de DIEU sait quelle atrocité historique si l’on en juge par ce qu’il prévaudra d’injustice envers ses concitoyens.
Et la mise en œuvre de ce gâchis social, peut être d’autant plus vrai que votre adversaire en prévenant que point trop de contrôle des banques n’est nécessaire, se donne là le moyen de financer le rêve de propriété individuelle une nouvelle fois, en laissant les banques arnaquer les plus démunis, elles, dont les effectifs corrompus ont survécus aux tribunal des hommes.
Par ailleurs, la création massive d’emplois pourrait n’être que l’embauche d’une main-d’œuvre que nécessiterait la logistique d’une guerre, ou du moins de LA guerre de trop.
Les femmes qui ont été séduite par la belle mine, la belle stature, la belle famille, devront se rappeler, à l’approche de l’isoloir, combien votre adversaire est seulement beau parleur, mais, autoritaire dans la gestion de ses entreprises, au point de virer les gens sans remords,incapable de répondre de ses discours privés comme de ses discours publiques, au point d’être d’une parole douteuse.
Les électeurs qui n’en peuvent plus d’attendre cette reprise économique qui leur fournira une éclaircie dans leurs vies de désespoir transformé en rage d’impuissance, à cette partie de vos électeurs, peut-être aurait-il fallu demander pardon, pardon pour ce paquebot, l’AMERIQUE, qui se répare lentement, patiemment, mais dont le chemin qu’il emprunte ne doit pas être un désert de glace…
Monsieur Obama j’ai déjà eu ailleurs, à vous dire ce que j’avais pensé de votre politique, sachez que si vous perdez cette élection, votre sensibilité politique serait fortement appréciée à l’ONU….
bien à vous monsieur le Président
Patrick Rakotoasitera
LETTRE OUVERTE A FRANCOIS HOLLANDE
Monsieur le Président,
La stratégie de l’écroulement intérieur des institutions déviantes et totalitaires, semble s’enliser en SYRIE parce qu’elle bute sur trois rideaux militaires qui empêchent les opposants SYRIEN de mener à son terme la lutte qu’ils ont engagé depuis un an. Que peuvent-ils faire face à des forces actives (295 000 hommes), s’appuyant sur des forces paramilitaires ( 108 000 hommes), sans compter l’armée de terre, grosse de 220 000 hommes ?
La réponse est que sans un appui extérieur qui exerce une pression sur les institutions dévoyées, l’écroulement intérieur ne vaincra pas. Bien sûr aucune initiative militaire ne doit être effectuée en dehors d’un cadre juridique qui la légitimerait. Mais comme vous l’a fait savoir BERNARD HENRI LEVY, dans sa lettre, pourquoi attendre une décision onusienne que le conseil de sécurité se refuse à voter, quand toutes actions du club des amis de la SYRIE peuvent se faire dans le cadre de l’OTAN ? L’intrusion , il y a peu, sur le territoire turque de militaires tirant sur des réfugiés, justifie à elle seule que la TURQUIE en appelle à l’OTAN pour le motif que ses frontières ont été violées par une force militaire étrangère.
La ligue arabe a fait savoir hier qu’elle ne serait pas opposée à une intervention armée lorsque les pressions diplomatiques et économiques seraient épuisées. Mais pour que ces pressions soient un temps soit peu crédibles et dissuasives, encore faut-il masser des chars et des hommes sur la frontière commune à la TURQUIE et la SYRIE, afin que BACHAR EL HASSADE comprenne bien qu’il n’a d’autre attitude possible que celle de suivre la feuille de route de KOFI HANNANE. Afin que ces troupes ne soient pas attaquées par voie aérienne, il est également nécessaire d’utiliser la base militaire d’ Incirlik et d’y faire stationner plus de 500 avions, comme telle est la force de frappe aérienne de la SYRIE.
Une telle entreprise doit tenir compte également du ressentiment des pays voisins de l’isthme « SYRIEN », car l’occident doit éviter de froisser les sensibilités rétives à voir sur la terre sacrée des forces militaires étrangères. Tandis que les opposants au régime doivent assurer par une déclaration solennel qu’ils respecterons les accord passés entre la SYRIE et ISRAEL , qu’il n’opprimeront pas les alaouites une fois au pouvoir. Il devront donner des gages sur la sorte de politique qu’ils comptent mener au LIBAN. Et bien sûr s’engager à créer une démocratie basée sur le respect et la liberté du culte.
Quant-à la coalition qui prendra part au combat le cas échéant, elle doit s’assuré de ne pas commettre les même erreurs qu’en LYBIE, dont les répercutions au MALI sont directement liées à l’inondation incontrôlée de toute la région par des armes. Mais bien évidemment personne n’est plus à même d’envisager les détails logistiques, budgétaires et stratégiques qu’une telle action implique que le général ARIAL.
Je me contenterai donc de revenir sur un point idéostratégique d’importance concernant les concepts qui agitent le monde depuis bientôt 80 ans. Je veux parler de l’islamisme en tant qu’idéologie mettant la religion au service du politique, ayant jailli sous l’impulsion des frères musulmans, dont on peut dire qu’ils ont fait bouger le monde, et à qui on peut reproché d’avoir, par ailleurs, paralysé l’ISTIHAD ( l’effort intellectuel préconisé par le prophète), en le subordonnant au DJIHAD armé, quand leur but était de vaincre l’injustice économique et sociale.
Et bien je suis pour ma part persuadé notamment par les derniers évènement survenus en EGYPTE, que si perdure le rétablissement du droit des intellectuels du monde à participer à l’ISTIHADE, en vertu du droit coutumier hérité de SOLIMAN LE MAGNIFIQUE, dont il faut préciser qu’il a été rétabli implicitement sous la mandature de votre prédécesseur, que les frères musulmans ne pourront atteindre leur but qu’en apparence s’il ne fondent pas de véritables démocraties religieuses, ayant la caractéristique de devenir des démocraties tout court, suivant le résultat des urnes. La question de l’attitude devant l’occident devant être ajustée à la réalité économique. Que feraient la TUNISIE et L’EGYPTE sans le tourisme ?
De telles réflexions doivent être le terreau de la FRANCE par lequel elle fait germer la Liberté dans le monde.
En vous priant de croire à l’assurance de ma considération à votre égard.
PATRICK RAKOTOASITERA
LETTRE AUX DIRIGEANTS DES NATIONS EUROPEENNES
Le sommet du G20 qui se réunit en ces moments d’incertitudes quant aux véritables décisions et postures que l’EUROPE se doit de tenir vis à vis du monde industriel et financier d’une part, et de sa population, tous pays membres confondus d’autre part, ne doit pas masquer les enjeux mondiaux dont ce sommet devrait être l’occasion de débattre.
Le taux d’usure, soit la limite au-delà de laquelle les taux d’intérêts d’un prêt fait à un ménage , une entreprises, une commune , un pays même sont illégaux car fixés par une limite définie par la loi des Hommes , et dans son extension :la notion que l’économie néo-libérale vivra à ses dépends à défaut d’ une nouvelle définition de ce qu’est la croissance face à l’entropie naturelle de tous système limité par la croissance d’autres systèmes concurrents, eux-même limités par le taux d’usure, au sens littérale, de la nature elle-même, définition qui interdit de penser comme une certitude la possibilité d’être pérenne de tous modèles économiques non fondé sur l’économie réelle : personne ne doit plus l’ignorer.
La gestion des mégalopoles : de ses infrastructures à la gestion des fonctions et rôles de chacun, soumis aux seules lois de la finances mondiale, qui sait spéculer mais dont le rôle ne peut être de réguler le travail, l’architecture, l’art, les moyens de communications, comme les moyens de productions est aussi bien intenable que non nécessaire,en l’état; pour la raison, qui à chaque dirigeants devrait paraitre évidente qu’elles ignorent comment créer du lien social, fonction dévolue à la loi démocratique; autrement dit, après l’assentiment du peuple , aux hommes et femmes politiques.
Aussi, avant même que le peuple Grecque, refuse le nouveau plan d’austérité qu’on veut lui imposer de force, dans une EUROPE ignorante des fondements antiques de la DEMOCRATIE qui pour les état-cités grecques dépendirent, on y revient, de l’abolitions des dettes collectives et particulières autant que de l’unification par la reconnaissance de la CULTURE et de l’ART , comme vecteur de lien social ; il s’agira , puisque le risque d’un manque de liquidité dans la zone EURO augmentera, dans la mesure où l’effectivité du référendum sera patente, d’avoir établi une BANQUE CENTRALE EUROPEENNE à l’égale de celle qui émet des dollars aux ETATS-UNIS ou du YUAN en CHINE , qui serait une véritable banque centrale venant appuyer le FOND D’INVESTISSEMENT , récemment créé, plutôt qu’une institution , n’en déplaise aux ALLEMANDS , dont le rôle actuel est suranné. Ce réajustement devant être l’occasion d’un acheminement vers une EUROPE fédérale basée sur un socle démocratique commun , impliquant de fait une base sociale et fiscale commune sans laquelle il serait vain ne serait-ce que de songer que les peuples européens dont les revenus moyens sont les plus menacés par l’injuste austérité accepteront d’être autrement qu’indignés et révolté, comme il est de fait que l’élasticité de la demande , soit l’augmentation des prix , comme le taux d’usure répondent à des lois économiques intangibles, dont les institutions doivent tenir , plus que jamais compte, à défaut de voir la loi juridique démocratique s’auto-détruire .
Cette question du taux d’usure dans l’économie débattue, lors du sommet , il viendra le temps d’évoquer la situation d’un monde multi-polaire où ne peuvent perdurer décemment un déséquilibre entre le DOLLAR , l’EURO , le YEN et le YUAN , dont le taux doit donner lieu à des accords au moins aussi fondamentaux que ce de BRETTON WOOD, car il existe un lien vérifiable entre la désindustrialisation du continent EUROPEEN et l’accroissement du PIB chinois. Une telle distorcion à terme ne sera profitable à personne , d’abord comme elle entretient la suprématie du rôle de la finance mondiale et de son instabilité dans les états occidentaux ne pouvant rivaliser et faisant perdurer un vieux système que le néo-libéralisme entretient : la fuite des capitaux de tous les états dans les paradis fiscaux , de même qu’elle élude aux yeux des décideurs le véritable taux d’usure de la Terre dont le seuil au-delà duquel l’entropie du système d’organisation des sociétés humaines serait définitive, est l’enjeu du millénaire.
En conséquence de quoi, une certitude fait jour, ne serait-il pas temps de renoncer à toutes les DETTES des états, de considérer les ressources indispensables comme l’eau en bien commun de l’humanité sur lequel le profit doit être interdit, et de lier la prochaine conférence d’URBAN lors de laquelle, dans la constitution de tous les états, un statut juridique adapté doit être accordé à l’indispensable arbre, source d’oxigène et reserve de CO2 – à la question du respect du TRAVAIL , selon des normes universelles liées au droit de l’homme , la femme et l’enfant ?
"L'UNIVERS DES SIGNES,LES SIGNES DE L'UNIVERS" 5EME PARTIE : MONTEE DE LA FACE CACHEE DU MONDE
A RESISTANCES DES SOCIETES PRIMORDIALES ET STRATEGIE ETATIQUE DE SOUMISSION:
thème: décolonisation et agriculture extensive remplacée progressivement par un culture intensive utilisant les engrais chimiques issus des surplus de la chimie de la seconde guerre mondiale.
B CROISSANCE DES VILLES, GESTION DES FONCTIONS ET RESISTANCES DES MILIEUX ARTISTIQUES:
thème: désertification des campagnes, prise de pouvoir de la sphère virtuelle sur l’économie réelle et rébellion dans les villes de la deuxième génération d’immigrés soutenue par la sphère artistique, dans les années 80.
C UNIFORMISATION DES MODES DE VIE ET INTERNATIONALISATION DU CONCEPT D’ART :
thème: monopole de la grande distribution sur la détermination de la consommation et dénonciation de l’art conceptuel et contemporain de ce mouvement d’uniformisation qui l’a fait accédé à un statut mondial par ailleurs, l’art engendrant des zones d’innovations urbaines, où se concentrent un nouveau tissus urbain.
D L’APPORT DE L’ART AFRICAIN A LA CULTURE DE MASSE DES MEGALOPOLES.
thème: du jazz à la pop, au reggae, en passant par le rap, le renouvellement incessant de la musique noire dans l’éventail des styles adoptés par les jeunes générations du monde globale.
E CRISE DU THEATRE ET SENTIMENT DE LA THEATRALITE DES RELATIONS SOCIALES:
thème: théâtre subventionné et théâtralité des relations dans le monde de l’entreprise conditionnées par les nouvelles techniques managériales des années 90.
F TELEVISION ET AUTRE AVATARS DE LA PEINTURE:
thème: Quand la peinture moderne meurt, la télévision n’en est qu’à ses balbutiements, loin de ce que pourrait offrir un écran non plus délire d’artiste mais reflet stricto sensu des pensées et rêves du téléspectateur, mort de l’artiste,avènement de l’artiste -téléspectateur en un processus d’inter-activité croissant, l’écran pouvant lire l’image mentale du spectateur , préalable à sa futur télé-transportation physique.
H LE POUVOIR DE L’ECRITURE DANS UN MONDE DE LECTEUR :
thème: développement croissant de la signalétique dans l’espace urbain, expansion de l’illusion d’une croissance sans entropie et résistance de la littérature noire ou branche de la littérature dénonçant les travers de l’utopie d’une société moralisante.
I LE PROJET ARCHITECTURAL ET LA VOLONTE POLITIQUE :
thème: du désir de désenclavement des ghettos sociaux-culturel par le développement des mégalopole à la réduction des marges de manoeuvres de la politique néo-libérale du point de vue social.
J L’UNIVERS BIDIMENTIONNEL ET LES SIGNES DE L’UNIVERS
thème: du petit écran à l’ère informatique , rien n’aura empêché le XXIème siècle d’être spirituel et tourné vers des interrogations religieuses.
MONTEE DE LA FACE CACHEE DU MONDE :
_________________________________________
A l’aube du IIIème millénaire, le monde parlait du « bug » informatique de l’an 2000. Les ordinateurs du monde entier pouvaient être déréglés. Il ne s’était rien passé. Le bug, redouté, n’avait pas eut lieu.
La TERRE, ceinte depuis l’espace par des satellites artificiels d’observation et de relais en télécommunication, hoquetait les rythmes électroniques et les performances vocales du mouvement « hip-hop », jaillis des décombres du Bronx, 20 ans plus tôt, avec le même impact universel que le jazz en son temps, sur ce que la conscience mondiale nomme maintenant la planète. Notre planète, celle des humains désireux de sauver la TERRE d’une catastrophe climatique annoncée.
Tandis que la génération des années 40, attendait du XXIème siècle : la fin de son labeur. Pour certains, c’était l’espoir d’un progrès quasi absolu, qu’avaient inauguré les fabuleuses avancées médicales. La greffe du cœur… le séquençage du génome humain… Quand bien même les recherches sur l’embryon humain, le premier clonage d’un être vivant, estompait la conscience ethique au sein de la recherche scientifique ; faisait même redouter la ruine de l’âme : l’éternité n’avait jamais semblé aussi proche pour les humains.
Lorsque, inopinément, au désespoir terrifiant des uns, au bonheur des autres : le monde s’était rappelé au monde. Et tous, nous pûmes constater sur le petit écran, le premier évènement historique du XXIème siècle, retransmis en direct.
Les deux géantes de NEW-YORK, vacillaient, percutées par deux avions de ligne détournés par des terroristes, s’effondraient, boutées, comme par un doigt géant, hors de leur verticalité hallucinante ; en une disharmonie de métal hurlant, de béton décharné, de bureaux déchiquetés, plein de cris, de peurs, de tremblements. « Twin Towers » s’écrasant une à une. Mue, chacune, en poussières et en cendres. Bientôt remplacées par une nuée incroyable : surhumaine colonne grisâtre aux flancs noirs, s’élevant au milieu des gras de ciel, en noyant tout sur son passage. La voyez-vous, depuis l’espace, cette nuée ? Elle a plongé le monde dans la hantise du terrorisme, et a été le déclencheur de deux guerres majeures qui ont fait plus de cent mille victimes. Guerres censées laver l’affront fait à la superpuissance américaine, blessée dans sa chair et sur son sol.
Ravages d’une guerre censée instaurer un ordre nouveau dans le Moyen-Orient… cette guerre aura marqué la dérive autoritaire des pays démocratiques, levés comme un seul homme, contre le terrorisme islamique, en déclanchant un processus sécuritaire préventif, par le vote de lois spéciales inédites, qui autorisent un système international de surveillance des individus. Hérité du programme nommé « échelon », mis en état d’activation dans les années 90, à la fin de la guerre froide entre les deux superpuissances, les USA et l’URSS, le procédé consiste, muni d’un lexique informatisé de mots clé, à classer de manière électronique, les télécommunications, et à tracer les appels le cas échéant.
mais la montée de la face cachée du monde prend plusieurs aspect, en ce début de siècle. Il ne s’agit pas que de la montée en puissance de l’économie CHINOISE et des pays emergeants ,relativement à l’Occident dont la crise est au moins aussi économique qu’existencielle.
La figure emblématique à retenir n’est pas seulement celle du trader, du Président noir, ou du terroriste monopolisant les consciences par un acte de guerre inimaginable, elle nous est révélée , en cette année 2011, par la volte-face des peuples arabes eux-même que toute vision déformée eut pu nous montrer soumis à un ISLAM salafiste extrémiste , tandis même que leur soulèvement contre leurs vieux dirigeants, relève de l’aspiration à l’idéal démocratique.
Prétendre que l’Islam est antinomique au mouvement démocratique,c’est méconnaitre l’organisation conceptuelle du processus de prise de décision de la communauté musulmane qui, certes, semble marcher sur le tête en ce début de siècle. Car le Coran est compréhensible par la Souna; et l’acte de pensée du croyant devrait être guidé par l’activité de quatre écoles ayant leur particularité.
Lorsqu’un fait n’est compréhensible, dans son injustice, ni par le Coran, ni par la Souna ( qui s’attache à relater la vie du prophète), ni par les quatre écoles, ni par la coutume : le scientifique recourt à ce qu’on peut traduire comme la connaissance. Celle-ci, après une étape intermediaire, consacre l’effort intellectuel, soit l’acte par lequel l’effort de pensée des autorités religieuses devrait tendre à répondre à ce qui était incompréhensible. La fatoua, dont on a tant parlé, étant le consensus des savants pour réaliser quelque chose qui n’était pas écrit ( dans le sens de pas lisible). Elle ne consacre pas spécifiquement l’attaque, mais peut faire acte de jurisprudence, pour ceux qui suivent ses recommandations. L’important étant de souligner le message du prophète par l’étude de la Souna, qui permet de ne pas focaliser sur une interprétation simpliste du Coran. Pas d’étude du Coran sans compréhension par la vie du prophète, ce que ne font pas les salafistes extremistes.
Mais il est vrai : la guerre entre les américains et les arabes est déjà latente dans les années cinquante. Le coup d’état en IRAN , organisé par la C.I.A, pour installer le shah d’IRAN, permet aux ETAT-UNIS d’avoir la mains mise sur l’or noir, tant convoité. Par ailleurs, un accord lie , à cette époque , la FRANCE et le pouvoir en place relativement à une participation financiere déstinée à doter la france d’installation permettant la création d’uranium enrichi, or le contrat stipule qu’une partie de cet uranium doit revenir en IRAN, le contrat ne sera jamais honnoré et réclamé en vain par khomenei et ses successeurs. Ceci est à la source même des litiges actuels autour de l’accès au nucléaire iranien.Le conflit Israelo-palestinien de 1967, le soutient des ETATS-UNIS à ISRAEL,puis la guerre d’AFGHANISTANT contre l’URSS, bien qu’ayant vu le parti pris des ETATS-UNIS pour les afghants, n’aura fait qu’accentuer le desir de revanche des plus extrémistes, ce ,comble du cynisme démocratique , d’autant lorsque du jour au lendemain , en 1990 SADDAM HUSSEIN , au par avant allié de l’occident , devient l’homme à abattre : s’en est trop pour BEN LADEN rompu au combat par la C.I.A , elle-même…
10 ans après les attentats, sa mort ne marque que l’épilogue du 11 SEPTEMBRE 20o1, l’Histoire ne nous instruit sur les peuples eux-même que lorsqu’ils arrivent à faire choir toutes les tyrannies ; et certes, les nations arabes doivent entendre que la tyrannie religieuse n’est pas viable quand elle n’est pas supportée par les nations dominantes… Et si les nations dominantes du monde n’ont pas sue dans un premier temps favoriser la portée universelle de ce rapprochement de l’ISLAM avec l’idéal démocratique, il faut espérer que ces soulèvement en TUNISIE, en EGYPTE, au MAROC, en lybie avec la contribution de la FRANCE et du philosophe diplomate et guerrier BERNARD-HENRY–LEVY,ce soulèvement en SYRIE dont on veut souhaiter qu’il accouche d’une véritable démocratie,ces soulèvements au barhrein, au YEMEN : que cela inaugure le véritable 1er épilogue du 11 SEPTEMBRE, le second devant être l’intégration de la PALESTINE à L’ONU… et non l’embrasement généralisé du monde musulman dans une guerre qui soit les prémices d’un futur obscurantisme religieux impitoyable et pour les libertés humaines et pour la condition de la femme en Orient…
quant à la TURQUIE , celle-ci n’intègrera l’EUROPE que lorsque cette dernière sera réconciliée avec elle-même, comme pour l’EUROPE l’avenir n’est peut-être pas seulement géographique mais plutôt politique et affaire d’idéaux et qu’un consensus avec les pays bordant la MEDITERANNEE doit contribuer à faire naitre les ETATS-UNIS d’EUROPE et plus au sud les ETATS-UNIS d’AFRIQUE. Préalable à l’affirmation du continent AFRICAIN,qui serait le dernier acte de la montée de la face cachée du monde.Mais les populations africaines pourront-elles s’animer si leur ressortissant present sur le sol europeen par leur don, continuent d’assurer leur silence ?
(plusieurs absurdités historiques avaient été glissée dans cet essai ici corrigé. Elles étaient destinées à mesurer dans quelle mesure les lecteurs de ce blog sont vigilants et critiques. Personne n’ayant fait de remarques, ma foi, je ne réitèrerai pas …Par ailleurs,beaucoup de critiques m’ont été formulées après l’écriture de ce brouillon du projet »l’univers des signes ,les signes de l’Univers ». Je dois avouer qu’elles sont en partie fondées : mon enthousiasme pour le pringtemps arabe ne pouvant se fonder aussi sur le fonctionnement des institutions islamiques en les prenant pour un gage de future démocratie, si tant est que je veuille bien faire acte d' »IDEOSTRATEGIE », aussi ai-je corrigé mon texte dans le sens d’un exhortation au monde musulman)
LETTRE AUX MUSULMANS
LETTRE AUX MUSULMANS
Après le temps des sacrifices, nous ne pouvons que nous honorer de croire venu le temps des victoires de la Foi. Une notion théologique connue du Christ, ne doit cependant pas échapper à la réflexion de chaque croyant dans sa connaissance de Dieu.
Si le Christ connaissait les circonstances exactes de sa mort, il n’ignorait pas non plus ce qu’avait enseigné la kabbale sur l’histoire de la Tour de Babel ; ou comment il fut suscité à la communauté humaine par Dieu la punition des langues, afin de freiner son projet architectural inhumain, symbolisé par la tentative de l’édification de la tour dite de « Babel ». Car elle impliquait la réduction à l’esclavage de la plus grande partie de l’humanité.
Si à ce jour, le royaume Chrétien semble s’effondrer en divers endroits revendiqués par le royaume Islamique, l’Âme islamique ne doit jamais oublier que quant à ses frontières symboliques avec l’Inde, le Mahatma Gandhi dans ses « lettres à l’hasram » avait prédit l’inévitable rencontre des langues, et nous rappelait combien le juste combat profite quand il trouve la voie de la non-violence et que ce qu’avait enseigné Bouddha [comme Socrate] doit nous renseigner sur l’accolement du Coran aux fondamentaux bouddhistes, chrétiens, et juifs.
Car il n’y aura pas de stabilisation des royaumes sans affermissement de la Démocratie en eux et autour d’eux. Royaume et Démocratie sont comme deux langues qui sont fondées par le concept d’Amour, mais dont l’incompréhension mutuelle est comparable à ce qui se dut passer à l’intérieur de la tour de Babel ; oùlorsque le projet architectural, facilité par l’entente humaine, laquelle, coordonnée par l’usage d’une langue unique, uniformisante et source d’injustice, comme exprimée dans une modalité sociale totalitaire, symbolisée par la perte de valeur de l’humain asservi par sa tache absurde et haram, car cadenassée au travers de l’inversion des valeurs elle-même engendrée par le mal usage du système monétaire qui ne peut être accaparé par une seule religion ou langue ou Homme: au risque d’assurer le courroux de Dieu, raison pour laquelle existe la Démocratie en tant que concept. Cet écueil, le Christ aussi l’a compris, raison pour laquelle il a choisit à la fois d’interrompre et d’élargir le cercle de la communauté des élus de Dieu, sachant qu’il engendre une nouvelle religion par son sacrifice dont l’essence est le refus de prendre le pouvoir et ne commettre qu’un acte d’Amour pour ne pas construire de Tour de Babel. L’accès à l’éveil de Bouddha s’opère dans une dynamique comparable.
Ce qu’il faut conclure des « Lettres à l’hasram » de Gandhi, je le conçois ainsi : si les musulmans ne veulent plus croire en Christ, ils auront toujours la possibilité spirituelle de s’en rapprocher à travers la conversion de l’expansion territoriale en une expansion spirituelle. Les musulmans n’approfondiront leur connaissance du Coran et ne saisiront la signification des lettres qui inaugurent les versets qu’en accomplissant le chemin qui relie toutes les langues et que savait Mahommet.
Je préconise aux Intellectuels et aux Penseurs de relire « lettres à l’hasram » de Gandhi, et remercie le peuple Turc d’avoir facilité la circulation des idées dont ils peuvent aujourd’hui mesurer le pouvoir à l’aulne du soulèvement de la jeunesse du jeune monde, et prie pour qu’on ne la contente pas qu’en chair à Chrétiens. Combat fort périlleux qui obligera la chrétienté à s’unir à jamais aux peuples israélites. Au moment même où Israël, qui si elle est bordée par de véritables Démocraties adaptées dont il faut tout concevoir des modalités de coexistence des communautés et du respect du droit humain – ne pourra qu’être prête à la naissance de la Palestine, du moment qu’il s’agisse au moins de ne pas crisper toute possibilité d’accord par un désir trop rigide de voir respecter le tracé de 1967, dont je n’ai pas trouvé trace dans le Coran, ce qui n’a rien à voir avec la poursuite des criminels de guerre. La question de Jérusalem ne peut se traiter sur un plan politique mais essentiellement religieux.
Blague surréaliste : si Socrate a changé le vin en eau, Jésus a changé l’eau en vain. Réponse de Dieu : « Il y a parmi nous un prophète qui sait ce qui va se passer demain. L’envoyé de Dieu lui dit : « Laisse cela et continue à dire ce que tu disais ». ( rapporté par Al Bukhân)
Dans une autre version, il a rajouté : « nul autre que Dieu ne sait ce qui va se passer demain ! » ( rapporté par At-Tabarâni).
DE LA CRISE A LA REVOLUTION EN PASSANT PAR ALQUAIDA
DE LA CRISE A LA REVOLUTION EN PASSANT PAR ALQUAIDA
MONSIEUR LE PRESIDENT,
NE VOYEZ-VOUS PAS QUE LE MONDE EST MECANIQUEMENT BLOQUE PAR DEUX TENDANCES QUI S’OPPOSENT : CELLE DE CEUX QUI CROIENT EN UNE ECONOMIE DE TOUS INSTANTS MARQUEE PAR LE SOUCIS DE L’HEGEMONIE DE LA FORCE ; ET CELLE DE CELUI-CI, CELLE-LA, QUI CROIT EN DIEU, SI SIMPLEMENT, QU’ETRE UN OU UNE DE SES PROMISES N’EST PAS INENVISAGEABLE. ET MALGRE LES SIGNES DE L’ATMOSPHERE QUI TENTE DE NE PAS SE DEGRADER MAIS PAR RAZ DE MAREE, TREMBLEMENT DE TERRE, PLUIE DILLUVIENNE, ACCOMPAGNE LE COMBAT QUE LE MONDE SE LIVRE A LUI-MEME : VOUS NE PROTEGEZ PAS LA FRANCE COMME IL FAUT, BIEN QU’IL SOIT CERTAIN QUE L’EXERCICE EST DIFFICILE, D’ABORD PARCE QUE CE N’EST PAS UN EXERCICE.
LES CIRCONSTANCES ECONOMIQUES DEFAVORABLES AU DEVELOPPEMENT DU NIVEAU DE VIE DU CITOYEN M’INCITENT A VOUS ECRIRE DE NOUVEAU AFIN DE VOUS ENJOINDRE D’ETRE LUCIDE, MAIS PAS SOURD AUX ASPIRATIONS DES POPULATIONS, QU’ON PEUT QUALIFIER D’EUROPEENNES DONT LA PRESURISATION DES REVENUS ( PRESURISATION DES REVENUS DE LA PROPRIETE, PLUS INJUSTE ENCORE : PRESURISATION DU REVENU SOCIAL, ET POUR BEAUCOUP TROP, PRESURISATION DU REVENU DU TRAVAIL ) – RISQUENT D’AUTANT PLUS D’ETRE VECTRICE D’UN MOUVEMENT REVOLUTIONNAIRE SANS PRECEDANT, QUE CELUI-CI AURA ETE NOURRI PAR UN CYNISME POLITIQUE ET FINANCIER INCAPABLE D’ENRAYER : LE DESESPOIR, LE RESSENTIMENT , LA RAGE, LA HAINE, PUIS LA FUREUR QU’ENGENDRERA ET QU’ENGENDRE DEJA UN SYSTEME ECONOMIQUE OU LES BANQUES PRODUISENT PLUS D’ARGENT QUE LES INDUSTRIES ( » EN 2007, LE SECTEUR FINANCIER REPRESENTAIT PRESQUE 42% DE TOUS LES PROFITS DES ENTREPRISES AMERICAINES CONTRE 19% EN 1986 » ) – ET DE PAR CETTE SUPERIORITE DE LEUR MASSE MONAITERE : ELLES PEUVENT SE PASSER DE STIMULER LA PRODUCTION.[addendum du 19 fev : il est devenu incertain pour les entreprise de petite taille de se refinancer aupres des banques francaises ] AU PLUS LES BANQUES REPONDENT-ELLES DURANT LES MOUVEMENTS DE PANIQUES. MAIS MAINTENANT ENCORE PROFITENT DE CES MOUVEMENTS SYSTEMIQUES POUR OBLIGER LES ETATS COMPLICES A LEUR EMPRUNTER DE L’ARGENT, A SEULES FINS QUE CEUX CI , CERCLE NON VERTUEUX, PUISSENT S’ACQUITTER DES INTERETS D’UNE DETTE QU’ILS ONT CONTRACTE ENVERS CES MEME BANQUES : DETTE QUE LES PAYS QUI S’ENFONCENT DANS LA CRISE, LA PAUPERISATION GENERALISEE SEMBLENT NE JAMAIS POUVOIR ASSUMER, ENCORE MOINS QUAND LES ELEMENTS S’EN MELENT OBLIGEANT LE SYSTEME PAR LES PRINCIPES D’ASSURANCE ET DE REASSURANCE A S’APPAUVRIR, FRAPPANT TOUJOURS LES INDIVIDUS LES MOINS FAVORISES.
OR, CETTE PRATIQUE REDUIT LE PROJET SOCIAL DES ETATS A UN SIMPLE PARAMETRE D’AJUSTEMENT, A L’INSTAR DU REVENU DES SALARIES QUE LES ENTREPRISES CROIENT ENCORE TROP REDUCTIBLE A L’INFINI, QUITTE A DELOCALISER LE TRAVAIL, SANS SAVOIR QUE LORSQUE LES ETATS EUROPEENS AURONT PAR DES MESURES DE RIGUEURS INCESSANTES, AURONT CORRODER JUSQU’A LA LIBERTE MEME DU CITOYEN, DEVENU POTENTIELLEMENT DANGEREUX, CE QU’INDIQUE LES LEGISLATIONS QUI TRAITENT LA FOLIE PAR UNE CARCERALISATION ACCRUE, PENALISENT CHAQUE MOMENT DE LA VIE DU CITOYEN, CHERCHENT A REGULER A LEUR PROFIT LES FLUX D’INFORMATIONS ( ACTIVITE PAR AILLEURS NORMALE DU FONCTIONNEMENT D’UN ETAT ) , ACCENTUANT L’USAGE DE LA FORCE QUE REQUIERRE LES DEREGULATIONS SOCIALES, AU LIEU QUE DE S’ATTAQUER AUX CAUSES STRUCTURELLES REELLES QUI LES GENERENT; D’UN POINT DE VUE MACRO-ECONOMIQUE LA DESTRUCTION ENGENDREE PAR LES DEUX FORCES QUI AGITENT LE MONDE IDEOSTRATEGIQUE [LIRE » les signes de L’univers , l’univers des signes ] ET D’UN POINT DE VUE MICRO-ECONOMIQUE : L’ECART SALARIAL OU LA DIFFERENCE DE REVENU – CETTE PRATIQUE QUI FAIT DE LA GUERRE UNE PRATIQUE EGALEMENT TRAVERSEE PAR DES CONSIDERATIONS D’ORDRE MONETAIRES DONT LE LIEU EST LA SPHERE VIRTUELLE DE L’ECONOMIE, NE FERA QU’UN PEU PLUS BASCULER LE SYSTEME, PAR REACTION, DANS L’ECONOMIE INFORMELLE, CERCLE NON VERTUEUX A NOUVEAU, OBLIGEANT L’ETAT A SANS CESSE AUGMENTER LES DEPENSES RELATIVES A LA PROTECTION INTERIEURE ET EXTERIEURE.
DEUX MOUVEMENTS ECONOMIQUES VONT TRAVERSER LA PERIODE QUI VIENT, UNE DISPARITION DE L’ARGENT PAR LE BAS ( ENTENTE ENTRE PATRON ET SALARIES SUR DES PAIEMENTS EN LIQUIDE, DEVELOPPEMENT DES ECONOMIES PARALELLES …ETC ), D’UNE PART, ET REAFFECTATION DES MODES DE CREDITS ; QUAND ILS ETAIENT JUSQUE LA ASPIRES PAR LE HAUT, VIA L’ETAT, LES ORGANISMES INTERNATIONNAUX ET LES TISSUS FINANCIERS ANIMES PAR LES FONDS D’INVESTISSEMENTS ( QUE JE NOMME DEREGULATEURS, CONSCIENT DES RISQUES SYSTEMIQUES QU’ILS PEUVENT PROVOQUER ) ; ANIMES, BIEN SUR, PAR LES GRANDS GROUPES ECONOMIQUES ( DONT LES PREOCCUPATIONS SONT ENCORE LOIN DE PRODUIRE UN SYSTEME OU CHAQUE ENTITE ECONOMIQUE S’EMBOITERAIT DANS UNE AUTRE POUR REAFFECTER SES DECHETS, DANS LE SENS D’UN SYSTEME TENDANT VERS UNE EMPREINTE ECOLOGIQUE NULLE ) – MAIS, PRIMO PROBLEME QU’il FAUT REGLER, QUITTE A EN FAIRE VOTRE NOUVEAU CHEVAL DE BATAILLE : ARGENT ASPIRE PAR LES BANQUES POUR DISPARAITRE DANS LES NEBULEUSES FINANCIERES, OU DILAPIDE A CAUSE DE LA VOLATILITE DES MARCHE. ( » LA RECESSSION MONDIALE MASSIVE (…) DE SON POINT CULMINANT A SON POINT LE PLUS BAS, A ANEANTI PLUS DE 30 000 MILLIARDS DE DOLLARDS D’EPARGNE » ) MEME LA PART D’ARGENT ANEANTI EN 2010 ( POURTANT DE 1/3 EN AUGMENTATION COMPAREE AUX ANNEES PRECEDANTES, SEMBLE-T-IL ? ) PAR LES CATASTROPHES NATURELLES EST JUGEE INFERIEURE. POUR L’AMERIQUE LA DETTE PUBLIQUE SEMBLE DEVOIR PASSER DE 60% DU PIB EN 2007, A ENVIRON 90% SELON LES ESTIMATIONS DU MAGAZINE » PROBLEME ECONOMIQUE », LE SYSTEME MONDIALE ETANT FAIT D’INTER-DEPENDANCE , QUE LA CHINE CHERCHE A DIVERSIFIER SES RESERVES EN DEVISES N’AUGURE PAS FORCEMENT LA MISE EN CLOISONNEMENT DU VORTEX DE L’ANEANTISSEMENT DE L’ARGENT ET L’ECROULEMENT RECURRENT DU CHATEAU DE CARTE , AUTREMENT DIT.
OR, DANS CES NEBULEUSE FINANCIERES IL S’Y SERAIT ACCUMULE BIEN PLUS QUE 1000 MILLIARDS D’EUROS, SIMPLE EXEMPLE O COMBIEN EMBLEMATIQUE, QUAND L’AFRIQUE GAGNE 100 MILLIONS D’EUROS GRACE A LA REDISTRIBUTION INTERNATIONNALE, 900 MILLIONS D’EUROS LUI SONT DETOURNES VERS CES NEBULEUSES FINANCIERES ; NEBULEUSE RICHES D’EN TOUS LES CAS FACILEMENT SIX FOIS PLUS QUE LE BON MILLIER DE MILLIARD D’EUROS AYANT SERVI AUX ETATS ET A LA BANQUE CENTRALE EUROPEENNE POUR RENFLOUER LE TISSUS FINANCIER ETATIQUE LORS DE LA CRISE DES FONDS SOUVERAINS ( 750 [prevu] + 250 MILLIARDS D’EUROS ).
LE TISSUS FINANCIER EUROPEEN QUI NE MANQUERA PAS D’ETRE INFLUENCE PAR LE REMANIEMENT DU SYSTEME FINANCIER OUTRE-ATLANTIQUE, PEUT ENCORE ETRE VICTIME D’UNE ATTAQUE PAR LES FONDS D’INVESTISSEMENTS ( POURTANT MENACES DE TRANSPARENCE OUTRE-ATLANTIQUE, CEUX MANIPULANT PLUS DE 100 MILLIONS DE DOLLARS DEVANT ETRE REFERENCES ). DE MEME QUE PAR L’INTRODUCTION EN BOURSE DES GRANDS GROUPES CHINOIS QUI S’ILS SEMBLENT AVOIR PLUSIEURS COUPS D’AVANCE, NE RISQUENT PAS D’ETRE VIEUX AVANT D’ETRE RICHE, MAIS VIEUX ET RUINES, SI CETTE PRISE DE POUVOIR DE LA SPHERE VIRTUELLE NE S’ACCOMPAGNE PAS DE SA REFORME EN PROFONDEUR. CAR SI ON PEUT IMAGINER QUE LE SYSTEME MONDIALE CARACTERISE PAR UNE CHINE, LES PAYS DU MOYEN-ORIENT, ET LES PAYS EMERGEANT A FORTE CROISSANCE QUI PRETERAIENT DE L’ARGENT AUX PAYS ANCIENNEMENT SUS-NOMMES « DEVELOPPE », CELA SERA-T-IL SUFFISANT, DANS LE CAS DE L’EUROPE, POUR CONTRE BALANCER LES EFFETS DES CURES D’AUSTERITE SALARIALE ET DES REVENUS SOCIAUX SUR LA CROISSANCE DES PAYS QUI LA COMPOSENT, EN CREANT DE L’INFLATION TOUJOURS PREJUDICIABLE A LA CROISSANCE QUAND LE POUVOIR D’ACHAT N’AUGMENTE PAS, ET QU’IL NE JOUE PAS CE MECANISME DE LA DEVALUATION DE LA MONNAIE, D’UNE MANIERE SUFFISANTE SUR LES EXPORTATIONS.
REFORMER LA SPHERE VIRTUELLE DE L’ECONOMIE EST ESSENTIEL A L’ACCESSION OU A L’ACCEPTATION MORALE DE LA FORCE DEMOCRATIQUE VIS A VIS DE LA FORCE RELIGIEUSE DONT L’ ANTAGONISME NE BROUILLE PAS LA DONNE ECONOMIQUE, MAIS EN ACCENTUE LA DIMENSION SOUTERRAINE DANS LE MONDE. ET REFORMER CETTE SPHERE C’EST RENDRE LES FONDS D’INVESTISSEMENTS – LOCALISABLES ET ANALYSABLE – C’EST DIRE D’OU VIENNENT CES FONDS. RENDRE OFFICIEL LE ROLE JOUE PAR LES ENTREPRISES DANS L’AUGMENTATION CONSTANTE, DEPUIS LES ANNEES 80, DE LEUR PART SUR LA V.A [ valeur ajoute] AU DETRIMENT DE LA PART DES SALARIES. RENONCER, POUR CONQUERIR CETTE PARTIE DE L’ELECTORAT QUI NE VOUS SOUTIENT PAS, A UNE POLITIQUE OBSERVABLE DEPUIS LE MILIEU DES ANNEES 80 OU » ON A (…) UNE TENDANCE A L’ABAISSEMENT DES TAUX DE L’IMPOT SUR LES SOCIETES ET SUR LES HAUTS REVENUS EN EUROPE ET UN ALLOURDISSEMENT PROGRESSIF DE L’IMPOSITION DU TRAVAIL, DANS UN PREMIER TEMPS, ET, PLUS RECEMMENT DE LA CONSOMMATION » ( JEAN-PAUL FITOUSSI ET ELOI LAURANT ). C’EST DIRE OU PLUTOT DENONCER POUR QUE LE POLITIQUE REPRENNE LA MAIN SUR L’ASPECT FINANCIER, LA PART DES ENTREPRISES DANS LA CONSTITUTION DE CES FONDS D’INVESTISSEMENTS ET MOBILISER LES AUTRES ETATS MIEUX QU’IL N’A ETE FAIT, POUR CONSTITUER DES FONDS D’INVESTISSEMENTS ETATIQUES ET PARA-NATIONNAUX COMBATIFS. CAR SI LA PART DE L’ARGENT ANEANTI EN 2011 PAR LES CATASTROPHES NATURELLES AUGMENTE PROPORTIONNELLEMENT AUX PALLIER DU RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE ( A CALCULER ) DE MANIERE DEFAVORABLE, CE N’EST PAS EN FONDANT LE SYSTEME SUR UN FINANCEMENT VIRTUEL QUE SERA COMBLE PAR DU LIEN HUMAIN LE FOSSE ENTRE LES FORCES DEMOCRATIQUES [ capitalistes] ET RELIGIEUSES. IL N’Y AURA PAS DE VICTOIRE MILITAIRE SANS UNE VICTOIRE D’ABORD MORALE. ( ALQUAIDA AU MAGREB ISLAMIQUE EST BIEN IMPLANTE CECI N’EST PLUS UN SECRET. STRATEGIQUEMENT IL S’AGIT D’OUVRIR UNE NOUVELLE LIGNE DE FRONT ET D’ISOLER L’ EUROPE ET PARTICULIEREMENT LA FRANCE QUITTE A REMPLACER LES PARTENARIATS PRIVILEGIERSQU’ELLE ENTRETIENT NOTAMMENT AU NIGER PAR UN PARTENARIAT CHINOIS, MOINS REGARDANT, MOINS LIE A LA COLONNISATION, MAIS PAS MOINS IDEOLOGIQUEMENT CORROMPU SELON LA TENDANCE SALAFISTE DOMINANTE DANS LA PENSEE MILITAIRE ISLAMISTE [ d’aujourd’hui ] . SEULEMENT LE PROJET ISLAMIQUE MONDIALE QUI S’ASSIMILE A UNE GUERRE DE RELIGIONS QUI NE CACHE PLUS SON NOM DANS CETTE AIRE GEOGRAPHIQUE ( EVENEMENT RECENT EN EGYPTE [ reference aux attentats contre les coptes et pas la revolution qui a eu lieu dont je parlerai plus haut ] ) NE PEUT SE PASSER DES NEBULEUSES FINANCIERES, A UN NIVEAU MACRO-ECONOMIQUE INSOUPCONNE, CAR JE NE PENSE PAS QUE LES STRATEGES IGNORENT QUE L’ANNEE 2011 SERA PEUT-ETRE CELLE OU IL MANQUERA 53 MILLIONS DE BARIL / JOUR ; AUTREMENT DIT QUE L’ISLAM POURRAIT FAIRE PENCHER LA BASCULE DURABLEMENT ENTRE LA CHINE ET LES E.U, TOUS RISQUES SYSTEMIQUES SERVANT SES VISEES A COURT TERME , COMME LE SALAFISME TRADITIONNALISTE, SOIT : ADEPTE D’UN RETOUR AUX MODES DE VIE DU PROPHETE, PAIX A SON AME, EST UN SCENARIO ENVISAGE )
[ ADDENDUM DU 19 FEVRIER 2011 : LES REVOLUTIONS QUI AGITENT EN CES MOMENTS HISTORIQUES LE MONDE ARABE SERONT , IL FAUT L’ESPERER, LE TOURNANT FATIDIQUE DANS LA GUERRE QUI OPPOSE LE CAMP OCCIDENTALE A UNE PARTIE DU MONDE MUSULMAN, CELUI D’UN CHANGEMENT DE STRATEGIE DU CAMP ISLAMISTE QUI NE PEUT QUE CONSTATER QUE LE PEUPLE MUSULMAN EST AGITE PAR LA MEME CONSCIENCE QUE CELLE DES PEUPLES OCCIDENTAUX, CONSCIENCE MONDIALE DESIREUSE DE LIBERTES DE PAROLE, DE JUSTICE SALARIALE, DE PROGRES DANS L’ACCESSION AUX BIENS ET SOUCIEUSE DE CETTE DEMOCRATIE QUI N’EXISTE NULLE PART ET QUE SEULE LA VOLONTE COMMUNE PEUT FAIRE ADVENIR. LA REFORME DU SYSTEME FINANCIER ETAIT UNE OCCASIOIN DE PRENDRE EN ETAU LES SYSTEMES DICTATORIAUX; LES REVOLUTIONS ARABES UNE CHANCE DE NOUER DE NOUVEAUX PARTENARIATS REFONDANT LES ECHANGES BILATERAUX SUR UN SOCLE COMMUN DE DROIT HUMAINS INTANGIBLES ET INALIENABLES OU A PARTIR DES ETAT LIBERES IL SERAIT QUESTION D’IMPOSER DES NORMES DE TRAVAIL ET DE REMUNERATION A ECHELLE HUMAINE, EN VUE DE LES VOIR CONQUERIR LA TERRE. EN LA MATIERE : L’INERTIE DE LA FRANCE, LE MANQUE DE REACTIVITE JURIDIQUE ET DU POINT DE VUE FINANCIER LE MANQUE DE VERITABLES SANCTIONS EUROPEENNE ET L’ABSENCE D’UN SOUTIENT DIRECT AUX OPPOSANTS RISQUE DE PROLONGER LA PERIODE DE CHAOS JURIDIQUE ET ECONOMIQUE DES PAYS TOUCHES PAR LE « MAI 68″ REUSSSI DE L’ISLAM. COMME JE L’ANNONCAIS DANS » L’UNIVERS DES SIGNES LES SIGNES DE L’UNIVERS » CE QUI SE DESSINE EST NEANMOINS UN PARTAGE MONDIALE DU CONCEPT DE COMMUNICATION PREALABLE AU PARTAGE DES MOYENS DE PRODUCTION, SOIT L’AVENEMENT DU CITOYEN DE LA TERRE, DETENTEUR, CONSOMMATEUR ET CONSERVATEUR DE SON ENVIRONNEMENT NATUREL.]
[fin de la lettre apres un passage sur la politique interieure]
EN VOUS SOUHAITANT UNE ANNEE RICHE EN REBONDISSEMENT FINALEMENT HEUREUX POUR LA FRANCE, SES ALLIERS, COMME SES ADVERSAIRES, JE VOUS ADRESSE MES VOEUX DE BONNE ANNEE.
POINT A DEFENDRE LORS DU G20:
– UNE PARITE DOLLAR, YUAN, EURO, ET BANKOR ( RAPPEL DES PRECEPTES DE KEYNES)
– PARTAGE DE LA V.A PAR 1/3 ENTRE PATRON , INVESTISSEURS, ET SALARIES ; LES DEUX PREMIERES PART COMPTANT POUR UNE ET LA TROISIEME RELATIVE A LA PART DE L’INVESTISSEMENT ECOLOGIQUE OU PERMETTANT UNE MISE EN BOUCLE DU SYSTEME POUR QU’IL REUTILISE INDEFINIMENT LES MATERIAUX DE SES OBJETS DE CONSOMMATION.
– LE BANKOR DEVANT PERMETTRE DE PASSER D’UNE MONNAIE A L’AUTRE DANS LES PAYS EN VOIE DE DEVELOPPEMENT. OU DE PASSER DIRECTEMENT PAR LEUR MONNAIE.